Alors ne vous, attentez pas à ce que je vous raconte l’histoire de la légende de POPO, venez à sa rencontre .
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Cette histoire ne doit être connue que de ceux qui ont pris le temps de la découvrir. Mais quel voyage, quel plongeon historique dans ce qui dessinera notre présent au passé simple et notre futur immédiat.
Alex J. Uri a pris tous les risques, alors qu’il aurait pu nous sortir une compilation de tous ses reportages, il a préféré se mettre en danger en choisissant d’écrire un roman. Oui, un roman. Pour quelqu’un qui dans ses papiers devait éviter de raconter des histoires, il nous en conte une qui nous captive au point de se faire voler ce roman par les plus proches. Oui, Alex Uri, est journaliste d'origine guadeloupéenne et il a, été pendant dix ans, envoyé spécial permanent puis rédacteur en chef de RFO (Télévision Française d'Outre-Mer). Il demeure l'un des rares experts européens de la presse télévisuelle française. Anglophone, il a suivi pendant deux décennies les questions relatives au commerce international, à l'action de l'Union européenne dans les régions ultrapériphériques et en faveur des pays ACP, les pays d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique. Cela ne lui aura pas sans doute donné envie d’où nous venions. Sans doute, a –t-il voulu savoir d’où nous venions, pour mieux comprendre pourquoi nous étions ainsi.
Rien donc à voir avec ce récit d’ époque, mais? tellement présent. La légende de POPO est un cri sourd. Un souffle pour construire la liberté dans la Caraïbe, comme dans le reste du monde, où le XIXe a vu se décliner les abolitions de l'esclavage. Pour les anciennes puissances coloniales. La légende POPO, c’est à la fois une histoire vraie qui se raconte, et dont on adoucit les angles en la romançant. C’est en fait l'histoire des libertés privées, arrachées, mais jamais vécues. C’est aussi l’histoire de l’égalité due, mais jamais obtenue, d’une évolution bizarre aux couleurs d’une émancipation promise, mais dont le bénéficiaire refuse de garder en face des limites.
C’est ce que l’on appelle une histoire arrangée qu’ont fait tourner en boucle, mais dont on sait inéluctablement qu’elle doit un jour aboutir à une liberté réelle, une égalité vraie, dans le partage et le respect des cultures et des personnes.
Alex J. Uri nous apprend à aimer ces personnages avec la douleur que Félicie Hatcha ressentait des souffrances au bas-ventre chaque fois qu'elle se penchait pour enlever les mauvaises herbes autour des caféiers. Dans la sensualité toujours avec le personnage principal qui neuf mois plus tôt lors de sa pause-déjeuner sous un manguier, cède aux avances d'Émile. Et puis c’est l’entrelacement des corps : ils se dévorèrent corps et âme jusqu'au clair de lune. C’est ainsi que naît POPO dont la destinée sera très différente de la douceur et de l’amour dont ces parents sauront faire l’un vers l’autre.
La légende de Popo, le livre d’un auteur, qui prend des risques et qui finit par nous embarquer dans son affaire au point de nous faire parler de lui en des termes très élogieux.
Achetez ce livre lisez let prenez le temps de le laisser macérer avant d’en parler. C’est aux éditions Fortuna, c’est la légende de POPO par l'auteur Alex Uri avec une très belle préface de George Pau-Langevin 228 pages à lire
Alex J. Uri a pris tous les risques, alors qu’il aurait pu nous sortir une compilation de tous ses reportages, il a préféré se mettre en danger en choisissant d’écrire un roman. Oui, un roman. Pour quelqu’un qui dans ses papiers devait éviter de raconter des histoires, il nous en conte une qui nous captive au point de se faire voler ce roman par les plus proches. Oui, Alex Uri, est journaliste d'origine guadeloupéenne et il a, été pendant dix ans, envoyé spécial permanent puis rédacteur en chef de RFO (Télévision Française d'Outre-Mer). Il demeure l'un des rares experts européens de la presse télévisuelle française. Anglophone, il a suivi pendant deux décennies les questions relatives au commerce international, à l'action de l'Union européenne dans les régions ultrapériphériques et en faveur des pays ACP, les pays d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique. Cela ne lui aura pas sans doute donné envie d’où nous venions. Sans doute, a –t-il voulu savoir d’où nous venions, pour mieux comprendre pourquoi nous étions ainsi.
Rien donc à voir avec ce récit d’ époque, mais? tellement présent. La légende de POPO est un cri sourd. Un souffle pour construire la liberté dans la Caraïbe, comme dans le reste du monde, où le XIXe a vu se décliner les abolitions de l'esclavage. Pour les anciennes puissances coloniales. La légende POPO, c’est à la fois une histoire vraie qui se raconte, et dont on adoucit les angles en la romançant. C’est en fait l'histoire des libertés privées, arrachées, mais jamais vécues. C’est aussi l’histoire de l’égalité due, mais jamais obtenue, d’une évolution bizarre aux couleurs d’une émancipation promise, mais dont le bénéficiaire refuse de garder en face des limites.
C’est ce que l’on appelle une histoire arrangée qu’ont fait tourner en boucle, mais dont on sait inéluctablement qu’elle doit un jour aboutir à une liberté réelle, une égalité vraie, dans le partage et le respect des cultures et des personnes.
Alex J. Uri nous apprend à aimer ces personnages avec la douleur que Félicie Hatcha ressentait des souffrances au bas-ventre chaque fois qu'elle se penchait pour enlever les mauvaises herbes autour des caféiers. Dans la sensualité toujours avec le personnage principal qui neuf mois plus tôt lors de sa pause-déjeuner sous un manguier, cède aux avances d'Émile. Et puis c’est l’entrelacement des corps : ils se dévorèrent corps et âme jusqu'au clair de lune. C’est ainsi que naît POPO dont la destinée sera très différente de la douceur et de l’amour dont ces parents sauront faire l’un vers l’autre.
La légende de Popo, le livre d’un auteur, qui prend des risques et qui finit par nous embarquer dans son affaire au point de nous faire parler de lui en des termes très élogieux.
Achetez ce livre lisez let prenez le temps de le laisser macérer avant d’en parler. C’est aux éditions Fortuna, c’est la légende de POPO par l'auteur Alex Uri avec une très belle préface de George Pau-Langevin 228 pages à lire
