Le référendum catalan est évidemment illégal mais la victoire du OUI pourrait avoir transformé l’illégalité en légitimité. D’ailleurs, y a-t-il d’indépendance légale ?
Lorsqu’elle n’est pas obtenue par la violence elle fait souvent l’objet de bricolage juridique susceptible de la légitimer. La légitimation n’est-elle pas finalement le maître-mot en la matière ?
L’indépendance de la Catalogne me rappelle, en effet, le cours de droit constitutionnel du professeur Claude Emeri sur le référendum. Il nous indiquait que le referendum était le mode de scrutin suprême en démocratie en ce qu’il faisait appel au vote de tous les Français. Il se référait au référendum de 1962 sur l’élection du président de la république au suffrage universel direct et sur les controverses qu’il avait suscitées. De nombreux juristes estimaient que ce référendum était anticonstitutionnel. C’est à cette occasion que le général de Gaulle mît en disgrâce le président du Sénat, le Guyanais Gaston Monnerville. En effet, le second personnage de l’Etat avait marqué son opposition à cette initiative en faisant usage du mot « forfaiture ». Il devenait ainsi le leader des opposants à l’organisation du référendum de 1962.
D’aucuns estiment que cette inimitié qui allait durer fut l’une des raisons pour laquelle le président de la république, qui avait été élu pour la première fois au suffrage universel direct en 1965, avait voulu supprimer le sénat en 1969, par référendum précisément. Il ne m’avait pas semblé connaître la position du professeur sur la question, bien que ses idées de gauche eussent pu l’incliner à rejoindre le camp des opposants. Mais j’ai retenu la leçon qu’il en avait tirée. Dès l’instant, disait-il, que le peuple s’était prononcé par un OUI au référendum, la controverse disparaissait et l’illégalité de base devait être considérée comme effacée par l’expression populaire. Au soir du résultat du référendum du 1er octobre dernier le souvenir de cette leçon m’est revenu.
Depuis, de nombreux avatars ont diminué le prestige du référendum. Les présidents de la république ont voulu le transformer en plébiscite, ce qu’ont très bien compris les électeurs qui l’utilisent en retour comme moyen de sanctionner celui qui pose la question. Mais il est devenu, en France, un banal mode de scrutin après que son issue, en 1965, lors du référendum sur l’Europe, fût contredite par la décision du président de la république et des élus de passer outre, deux années plus tard.
Fort-de-France, le 27 octobre 2017
L’indépendance de la Catalogne me rappelle, en effet, le cours de droit constitutionnel du professeur Claude Emeri sur le référendum. Il nous indiquait que le referendum était le mode de scrutin suprême en démocratie en ce qu’il faisait appel au vote de tous les Français. Il se référait au référendum de 1962 sur l’élection du président de la république au suffrage universel direct et sur les controverses qu’il avait suscitées. De nombreux juristes estimaient que ce référendum était anticonstitutionnel. C’est à cette occasion que le général de Gaulle mît en disgrâce le président du Sénat, le Guyanais Gaston Monnerville. En effet, le second personnage de l’Etat avait marqué son opposition à cette initiative en faisant usage du mot « forfaiture ». Il devenait ainsi le leader des opposants à l’organisation du référendum de 1962.
D’aucuns estiment que cette inimitié qui allait durer fut l’une des raisons pour laquelle le président de la république, qui avait été élu pour la première fois au suffrage universel direct en 1965, avait voulu supprimer le sénat en 1969, par référendum précisément. Il ne m’avait pas semblé connaître la position du professeur sur la question, bien que ses idées de gauche eussent pu l’incliner à rejoindre le camp des opposants. Mais j’ai retenu la leçon qu’il en avait tirée. Dès l’instant, disait-il, que le peuple s’était prononcé par un OUI au référendum, la controverse disparaissait et l’illégalité de base devait être considérée comme effacée par l’expression populaire. Au soir du résultat du référendum du 1er octobre dernier le souvenir de cette leçon m’est revenu.
Depuis, de nombreux avatars ont diminué le prestige du référendum. Les présidents de la république ont voulu le transformer en plébiscite, ce qu’ont très bien compris les électeurs qui l’utilisent en retour comme moyen de sanctionner celui qui pose la question. Mais il est devenu, en France, un banal mode de scrutin après que son issue, en 1965, lors du référendum sur l’Europe, fût contredite par la décision du président de la république et des élus de passer outre, deux années plus tard.
Fort-de-France, le 27 octobre 2017
le Lundi 30 Octobre 2017 à 03:24
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Je le redis, la droite martiniquaise n’a jamais vraiment répondu aux critères de la droite nationale, au point j’ai suggéré dans plusieurs tribunes que, sociologiquement et par son action au conseil général, de 1958 à 1981, puis dans l’opposition, elle peut être considérée comme une « droite de gauche ».
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Je viens d’entendre cette expression de la bouche d’un politologue, il désignait le parti d’Emmanuel Macron, La République en marche (LREM). La droite martiniquaise n’est-elle pas plus proche de Macron que de Wauquiez ? Les dirigeants martiniquais de LR devraient y réfléchir. C’est en tout cas cette droite de gauche qui a mis en place la départementalisation sociale pendant les 20 années (sur les 70 où elle a été au pouvoir). C’est cette droite de gauche qui fait de La Rivière-Salée l’une des villes martiniquaises les mieux dotées en équipements sociaux de qualité et sans déficit.. Je me répète à nouveau : le principal allié de cette droite fut le Parti communiste martiniquais, par l’entremise de son syndicat, la CGTM. Tandis que le premier prônait l’autonomie le samedi soir sur les tréteaux, le second militait dans les rues le jeudi pour l’extension des droits sociaux.
On peut mesurer la perte d’influence de la droite bien que c’est sur ses fondamentaux, encore présents dans l’opinion publique que la gauche s’appuie pour prospérer. En effet, celle-ci vit particulièrement bien l’assimilation et, au moindre souci domestique, se retourne vers l’Etat. Tandis que mis au pied du mur, sa responsabilité et sa compétence ne sont pas vraiment convaincantes. Aussi, la question se pose : comment la droite, si elle veut exister, peut-elle laisser prospérer le discours qui consiste à décourager les jeunes à servir l’Etat colonial et ensuite reprocher à cet Etat de ne pas nommer des hauts fonctionnaires martiniquais aux postes régaliens de la Martinique ? Ceux qui sont attachés à l’appartenance à la république n’ont-ils pas le devoir de se pencher sur ce paradoxe, qui est finalement une politique machiavélique plutôt efficace au plan électoral ?
D’autre part, on sait que l’institution de la CTM, par les incohérences de ses statuts, s’est révélée être un monstre administratif et politique. Si, cahin-caha, elle fonctionne c’est parce que ses géniteurs (le PPM et le MIM) ne veulent pas prendre le risque de faire capoter le fruit de leurs désirs de pouvoirs. On n’avait jamais vu, en France, des élus locaux écrire eux-mêmes les statuts de leur collectivité. En revanche, on peut s’étonner que la droite qui s’était opposée, sans être entendue, à des dispositions majeures du texte renonce à en dénoncer les conséquences. Bien entendu, les élus de la coalition majoritaire ne devraient pas se dispenser de le rappeler, ne serait-ce qu’à titre de réserve à leur participation à cette majorité. Mais on comprend encore moins le silence de ceux qui sont volontairement restés en dehors de la coalition, en décembre 2015.
D’autre part, on sait que l’institution de la CTM, par les incohérences de ses statuts, s’est révélée être un monstre administratif et politique. Si, cahin-caha, elle fonctionne c’est parce que ses géniteurs (le PPM et le MIM) ne veulent pas prendre le risque de faire capoter le fruit de leurs désirs de pouvoirs. On n’avait jamais vu, en France, des élus locaux écrire eux-mêmes les statuts de leur collectivité. En revanche, on peut s’étonner que la droite qui s’était opposée, sans être entendue, à des dispositions majeures du texte renonce à en dénoncer les conséquences. Bien entendu, les élus de la coalition majoritaire ne devraient pas se dispenser de le rappeler, ne serait-ce qu’à titre de réserve à leur participation à cette majorité. Mais on comprend encore moins le silence de ceux qui sont volontairement restés en dehors de la coalition, en décembre 2015.
Par ailleurs, la tradition légitimiste de la droite devrait la conduire à prendre publiquement position sur la controverse qui anime un secteur majeur de la collectivité, le Parc naturel régional (PNRM). C’est quasiment un postulat : les changements de majorité s’accompagnent toujours dans les collectivités locales, du changement des fonctionnaires occupant des postes importants. En conséquence, au plan administratif, l’éviction du directeur de cet organisme par le président du parc ne paraît pas souffrir d’irrégularité.
De même que la compétence de ce cadre supérieur n’est pas en cause, sauf à vouloir lui trouver à tout prix des fautes professionnelles. En revanche, au plan politique, si le président de la CTM voulait une justification à sa décision, il la tient de la déclaration de M. Brithmer, lui-même. « Au-delà du combat juridique et syndical, déclare-t-il, il y avait un troisième combat : c’est peut-être le plus déterminant, c’est le combat politique ». Cette mâle déclaration, qui dénote un parti-pris politique difficilement contestable et une belle assurance de la part d’un cadre territorial de haut niveau, pourrait constituer un élément important du « combat juridique » qu’il évoque. Reste que cette sortie met en difficulté ceux qui, y compris certains de mes amis, le défendent au strict motif de ses qualités professionnelles qui seraient éminentes, à ce qu’ils disent.
Quoi qu’il en soit, on ne comprend pas que la droite faisant partie de la coalition reste muette dans une affaire qui la touche solidairement. Dès lors, comment sa nécessaire différence au sein de la majorité pourrait être entendue par ses partenaires si cette solidarité « de gestion » ne s’exprime pas publiquement ? Ne s’est-elle pas précisément aperçue qu’elle est la seule à ne faire que de la gestion au sein de la CTM ?
Il est également de la compétence de la droite, réputée attentive au bon fonctionnement des institutions, de déplorer qu’un service important de la collectivité se trouve paralysé par une situation où les personnels - y compris des agents contractuels engagés pour une durée de six mois -, s’estiment concernés par une décision de l’autorité politique. Il y a des « pour » et des « contre » au sein des personnels : une véritable partition politique, une bombe à retardement possible ! La droite peut-elle rester muette face à cette politisation des personnels du PNRM, qui peut être durablement néfaste à la bonne administration du parc ?
De même que la compétence de ce cadre supérieur n’est pas en cause, sauf à vouloir lui trouver à tout prix des fautes professionnelles. En revanche, au plan politique, si le président de la CTM voulait une justification à sa décision, il la tient de la déclaration de M. Brithmer, lui-même. « Au-delà du combat juridique et syndical, déclare-t-il, il y avait un troisième combat : c’est peut-être le plus déterminant, c’est le combat politique ». Cette mâle déclaration, qui dénote un parti-pris politique difficilement contestable et une belle assurance de la part d’un cadre territorial de haut niveau, pourrait constituer un élément important du « combat juridique » qu’il évoque. Reste que cette sortie met en difficulté ceux qui, y compris certains de mes amis, le défendent au strict motif de ses qualités professionnelles qui seraient éminentes, à ce qu’ils disent.
Quoi qu’il en soit, on ne comprend pas que la droite faisant partie de la coalition reste muette dans une affaire qui la touche solidairement. Dès lors, comment sa nécessaire différence au sein de la majorité pourrait être entendue par ses partenaires si cette solidarité « de gestion » ne s’exprime pas publiquement ? Ne s’est-elle pas précisément aperçue qu’elle est la seule à ne faire que de la gestion au sein de la CTM ?
Il est également de la compétence de la droite, réputée attentive au bon fonctionnement des institutions, de déplorer qu’un service important de la collectivité se trouve paralysé par une situation où les personnels - y compris des agents contractuels engagés pour une durée de six mois -, s’estiment concernés par une décision de l’autorité politique. Il y a des « pour » et des « contre » au sein des personnels : une véritable partition politique, une bombe à retardement possible ! La droite peut-elle rester muette face à cette politisation des personnels du PNRM, qui peut être durablement néfaste à la bonne administration du parc ?
Que, dans la foulée, les maires d’EPMN se mobilisent pour avoir la peau du président du PNRM, c’est à une véritable entreprise de démolition d’un individu qu’on assiste. Cette opération ressemble étonnamment au mouvement qui avait conduit au vote méprisable des élus du même ensemble politique, renvoyant devant la justice l’ancienne directrice du conseil général. Celle-ci avait été acquittée de toutes les accusations portées contre elle.
La Droite n’a-t-elle pas le devoir de dénoncer publiquement cette démarche aventureuse et humainement contestable ?
Enfin, elle ne paraît pas s’apercevoir que les récents succès électoraux de l’opposition ont apporté à celle-ci un regain de forme et d’assurance. Pour preuve l’adresse faite au président de la République, parue dans Médiapart, qui exige que soit « défaite toute dépendance », sans qu’on sache vraiment ce que cela veut dire dans une perspective d’autonomie. Celle-ci rappelle l’époque d’avant décembre 2015 et le contenu, exprimé sans trop de ménagements à l’égard de l’Etat, ne peut que tomber dans le jardin de la droite. Mais quel élu de droite l’a lue ?
Fort-de-France, le 22 octobre 2017
Yves-Léopold Monthieux
La Droite n’a-t-elle pas le devoir de dénoncer publiquement cette démarche aventureuse et humainement contestable ?
Enfin, elle ne paraît pas s’apercevoir que les récents succès électoraux de l’opposition ont apporté à celle-ci un regain de forme et d’assurance. Pour preuve l’adresse faite au président de la République, parue dans Médiapart, qui exige que soit « défaite toute dépendance », sans qu’on sache vraiment ce que cela veut dire dans une perspective d’autonomie. Celle-ci rappelle l’époque d’avant décembre 2015 et le contenu, exprimé sans trop de ménagements à l’égard de l’Etat, ne peut que tomber dans le jardin de la droite. Mais quel élu de droite l’a lue ?
Fort-de-France, le 22 octobre 2017
Yves-Léopold Monthieux
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Droite de la scène politique
OUI, « LA MAUVAISE FOI ÉRIGÉE EN MODE VIE ». C'est ainsi qu'il intitule sa tribune. Un pied de nez à un système institutionnalisé. Mais YLM va plus loin lisez vous comprendrez
J'approuve totalement l'article paru dans Montraykreyol : « La mauvaise foi érigée en mode de vie ». Je le répète : je ne suis nullement choqué que des parlementaires français soient assistés par des auxiliaires français. Il ne fait pas de doute qu'en raison de la débâcle électorale du parti socialiste, les élus pro-socialistes d'outre-mer aient été sollicités par les députés battus pour recaser leurs attachés. Cependant je ne trouve pas dans le papier de Confiant la réponse à ma question, comme m’y invite une amie de Facebook, : pourquoi un Martiniquais doit-il refuser d’être ministre ?
Je trouve aussi de la mauvaise foi chez ceux qui disent ou qui approuvent leurs partis lorsque ceux-ci l'enseignent, qu'il est inadmissible pour un Martiniquais d'exercer la fonction de ministre français. En effet, tous les arguments utilisés pour justifier que 4 parlementaires martiniquais fassent appel à 4 attachés parlementaires métropolitains valent pour toutes les autres fonctions publiques exercées par des Martiniquais dans l'Hexagone. Qu'on me dise où est la cohérence.
Je refuse donc de m'embarquer au tollé de contestations contre ceux qui se disent choqués par la photo parue. Ceci dit, l'argument selon lequel il n'y aurait pas de Martiniquais susceptible de remplir la fonction d'assistant parlementaire est surprenante. Il serait grave s’il n’était pas faux. Serait-ce un effet collatéral de la politique consistant à dissuader les étudiants martiniquais à orienter leurs choix vers la fonction publique d'Etat ? Et qui fait que nous n'avons pratiquement plus de hauts fonctionnaires et de magistrats en France ? Je ne le crois pas, au niveau de la fonction d'attaché parlementaire, même si le phénomène résulte d’une école de pensée martiniquaise dirigée contre le service de l’Etat colonial.
Quel désaveu, cependant, porté à ce fameux principe concernant les "spécialistes martiniquais" ! Sinon, un député martiniquais doit sa carrière politique au fait d'avoir été l'attaché parlementaire d'Alfred Marie-Jeanne. Ce député a, à son tour, recruté des attachés parlementaires martiniquais exerçant à Paris. C'est aussi le cas pour d'autres députés des DOM qui recrutent leurs compatriotes.
Je dirai respectueusement aux parlementaires qui ont publié la photo litigieuse que celle-ci ne pouvait pas manquer de susciter la polémique, compte tenu de la réalité du discours politique martiniquais, dont la récente adresse par Serge Letchimy au président de la république en est l'illustration.
Fort-de-France, le 21 octobre 2017
ylm
Je trouve aussi de la mauvaise foi chez ceux qui disent ou qui approuvent leurs partis lorsque ceux-ci l'enseignent, qu'il est inadmissible pour un Martiniquais d'exercer la fonction de ministre français. En effet, tous les arguments utilisés pour justifier que 4 parlementaires martiniquais fassent appel à 4 attachés parlementaires métropolitains valent pour toutes les autres fonctions publiques exercées par des Martiniquais dans l'Hexagone. Qu'on me dise où est la cohérence.
Je refuse donc de m'embarquer au tollé de contestations contre ceux qui se disent choqués par la photo parue. Ceci dit, l'argument selon lequel il n'y aurait pas de Martiniquais susceptible de remplir la fonction d'assistant parlementaire est surprenante. Il serait grave s’il n’était pas faux. Serait-ce un effet collatéral de la politique consistant à dissuader les étudiants martiniquais à orienter leurs choix vers la fonction publique d'Etat ? Et qui fait que nous n'avons pratiquement plus de hauts fonctionnaires et de magistrats en France ? Je ne le crois pas, au niveau de la fonction d'attaché parlementaire, même si le phénomène résulte d’une école de pensée martiniquaise dirigée contre le service de l’Etat colonial.
Quel désaveu, cependant, porté à ce fameux principe concernant les "spécialistes martiniquais" ! Sinon, un député martiniquais doit sa carrière politique au fait d'avoir été l'attaché parlementaire d'Alfred Marie-Jeanne. Ce député a, à son tour, recruté des attachés parlementaires martiniquais exerçant à Paris. C'est aussi le cas pour d'autres députés des DOM qui recrutent leurs compatriotes.
Je dirai respectueusement aux parlementaires qui ont publié la photo litigieuse que celle-ci ne pouvait pas manquer de susciter la polémique, compte tenu de la réalité du discours politique martiniquais, dont la récente adresse par Serge Letchimy au président de la république en est l'illustration.
Fort-de-France, le 21 octobre 2017
ylm
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