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Devant une telle situation et une telle discrétion de celles et ceux qui auraient dû se mettre du côté des salariés pour maintenir les emplois dans un centre de soins rénové et florissant (politiques, ARS, tribunal..), le découragement gagne du terrain et certains camarades en sont à chercher des repreneurs.
Mais quelle garantie aurons-nous avec de nouveaux maîtres à la place des anciens ? La CDMT pense qu'il y a mieux à faire. Il existe un moyen pour que les salariés prennent leurs affaires en mains et se mettent à travailler non pas pour enrichir quelques uns mais pour sauver leurs emplois et faire vivre une clinique pour des soins de qualité dans un cadre agréable pour le bien de la population : ce moyen c'est de présenter un projet de coopérative (SCOP) ou de SCIS travaillant comme une coopérative en associant une ou des collectivités publiques. Rien n'empêcherait les municipalités de Schoelcher et/ou de Fort de France ou/et la CTM de s'associer à un projet montrant que la santé n'est pas une marchandise, que l'emploi utile n'est pas un rêve mais une possibilité concrète.
Dans une SCOP ou une SCIS, des médecins peuvent être partie prenante et même des capitaux privés dès lors qu'ils accepteraient les règles communes fixés dans la transparence suivant le principe : une personne, une voix ! Dans une situation difficile ce n'est pas le repli, la fuite et la peur qui sauvent. Au contraire, c'est l'audace, la volonté, la solidarité qui payent. Les salariés de la clinique ont déjà prouvé leur capacité de lutte.
Nous pa ni dwa fè dèyè ! Nou kapab ! Ansanm nou fô !
Même si tous et toutes ne sont pas prêts à vivre cette expérience, elle est possible !
Le succès dépend de l'existence d'une volonté même si au début elle est minoritaire. La CDMT s'engage à soutenir et à s'impliquer dans une expérience novatrice et salvatrice à la clinique SAINTE-MARIE. N'ayons pas peur ! Résistons et nous vaincrons !
Dans une SCOP ou une SCIS, des médecins peuvent être partie prenante et même des capitaux privés dès lors qu'ils accepteraient les règles communes fixés dans la transparence suivant le principe : une personne, une voix ! Dans une situation difficile ce n'est pas le repli, la fuite et la peur qui sauvent. Au contraire, c'est l'audace, la volonté, la solidarité qui payent. Les salariés de la clinique ont déjà prouvé leur capacité de lutte.
Nous pa ni dwa fè dèyè ! Nou kapab ! Ansanm nou fô !
Même si tous et toutes ne sont pas prêts à vivre cette expérience, elle est possible !
Le succès dépend de l'existence d'une volonté même si au début elle est minoritaire. La CDMT s'engage à soutenir et à s'impliquer dans une expérience novatrice et salvatrice à la clinique SAINTE-MARIE. N'ayons pas peur ! Résistons et nous vaincrons !
