COOPEMAR ; Du retournement au détournement.Que va dire le Président tribunal de commerce ?


Rédigé le Dimanche 9 Octobre 2016 à 09:40 |
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Nous vous l’avons déjà affirmé ici, un chef de centre, à qui on permet de se comporter en administrateur dans un cabinet d’administrateur a favorisé, un candidat dont les qualificatifs qui le définissent inciteraient à la méfiance, au soupçon à défaut à la prudence.


Retenir une équipe qui ne fournit pas tous ses bilans est au mieux une faute professionnelle grave. Ici Il s’agit d’un camouflage, pour procéder à un holdup. Vous verrez que ce terme n’est pas exagéré, quand nous allons vous agrainer les manquements d’une sale histoire, qui laisse interrogatif face à la justice rendue par le tribunal de commerce de Fort de France.

Posons à Jacques Stephen de Thore du cabinet BCM , ce chef de centre les questions auxquelles nous n’arrivons pas à trouver de réponses : Pourquoi MARIN PECHE n’a pas fourni de bilan ? Pourquoi SERVICHEF n’a présenté qu’un seul bilan au lieu de trois bilans obligatoires, et pourquoi ces manquements n’ont-ils pas été indiqués aux juges, à la présidente du tribunal, au juge commissaires et au Procureur de la République.

Pourquoi a-t-on caché a tout ce beau monde que l’un des candidats faisait l’objet d’une liquidation judiciaire en cours ?
Ce camouflage est Objectif. Comment peut-on étudier la santé financière d’une entreprise sans ses trois bilans.

Comment peut-on confier une entreprise malade à un groupe d’entreprises à bout de souffle si ce n’est par complicité.
Même si ce responsable de centre n’a pas les qualifications pour exercer, il a la connaissance de l’administration d’entreprises en difficulté au bout de si nombreuses années d’expérience. C’est donc en toute connaissance de cause qu’il a sciemment favorisé des repreneurs dont la candidature de certains actionnaires n’était pas recevable. Nous n’arrivons pas à croire que c’est en irrespect total des règles de la profession que ce dernier acceptait de bafouer toutes les réglementations en vigueur. Alors pourquoi à t’il accepté d’étudier ce dossier sans les pièces essentielles. Il n’y a pas d’autre réponse que celle du passe droit.

Savait- il seulement que MAKACLA l’observait aux premières loges ?

Cette affaire ressemble étrangement à l’affaire GUIBERT, ce président de tribunal qui avait été destitué suite à la dépossession d’un restaurant huppé qu’il avait offert à sa maîtresse. Là c’était par amour, ici il semble que se soit par convenance de castre.

En favorisant des candidats incapables de tenir la route financièrement, on assiste actuellement à un MAXXIBORDEL, une MAXXI MAGOUILLE et un MAXXIDETOURNEMENT dont MAKACLA à l’intention de dénoncer point par point une stratégie de retournement qui a pour seul principe celui de la « chacalisation » des actifs de l’outil de travail des 850 petits patrons pêcheurs de la Martinique.

Pour commencer cette dénonciation nous posons une question ; Pour quelles raisons lorsque qu’un achat est fait à MAXXIPECH’ dans la nouvelle société qui a repris les actifs de la COOPEMAR cet achat est-il payé dans une entreprise, non actionnaire de MAXXIPECH ?

Il semble que l’argent de la fameuse filière pêche, arrive déjà dans un circuit de boite de nuit. S »agit il d’une autre filière.
Le SRPJ , AMJ, Louis BOUTRIN, Yan MONPLAISIR de la CTM et Bertrand CAMBUSY l’ex syndicat du personnel savent-ils cela ?

Nous vous en dirons bientôt plus, au prochain numéro, après vous avoir informé sur la situation du personnel, victime des promesses non tenues d’un groupe de prédateurs !


Les MAXXI PROMESSES à un personnel hyper déprimé
Chaque fois que MAKACLA vous donne une information, elle est vérifiée. Ce que nous allons vous révéler ici, est de nature à faire bondir au plafond toutes personnes qui s’intéressent à la moralité, à Ethique et à l’honneur.

Cette fois nos infos viennent de l’intérieur. Article à parution samedi 8 octobre




VACABONAGERIE
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