Voilà ce que disait RCI :
Je cite « Les sociétés du groupe France Antilles seront vraisemblablement liquidée jeudi matin par le tribunal mixte de commerce de Fort-de-France. Hier (mardi 9 mai 2017), la direction et les salariés ont demandé la liquidation avec maintien de l'activité. Trois repreneurs sont sur les rangs.
Toujours selon ce même média
Parmi les trois offres, deux proposent la reprise de la totalité des sociétés. 314 salariés sont concernés. Le troisième repreneur a pour projet de reprendre une seule société. Un des repreneurs potentiels n'est autre que la petite-fille de Robert Hersant dont la famille est toujours propriétaire du journal. »
La preuve que ce machin-là est grave, et que cela n’arrive pas qu’aux autres, France Antilles qui s’occupe des affaires de tout le monde, semble relativement peu loquace sur son bobo. Il se vit de l’intérieur, et alors que FA connaît tous les tenants et aboutissants pour informer la population sur le devenir du seul quotidien local rien ne pisse.
Le problème c’est qu’en période de forte mer beaucoup de dits Marins descendent à la soute prétextant pouvoir réparer les moteurs. Et personne ne dit mot. Autre point, France Antilles vient de comprendre que parfois la presse gêne par sa volonté de vendre du papier, des négociations qui doivent être discrètes.
Mais le plus préoccupant dans cette affaire est ce qu’on doit comprendre entre les lignes.
Pour lire la suite cliquez sur la page 2
Toujours selon ce même média
Parmi les trois offres, deux proposent la reprise de la totalité des sociétés. 314 salariés sont concernés. Le troisième repreneur a pour projet de reprendre une seule société. Un des repreneurs potentiels n'est autre que la petite-fille de Robert Hersant dont la famille est toujours propriétaire du journal. »
La preuve que ce machin-là est grave, et que cela n’arrive pas qu’aux autres, France Antilles qui s’occupe des affaires de tout le monde, semble relativement peu loquace sur son bobo. Il se vit de l’intérieur, et alors que FA connaît tous les tenants et aboutissants pour informer la population sur le devenir du seul quotidien local rien ne pisse.
Le problème c’est qu’en période de forte mer beaucoup de dits Marins descendent à la soute prétextant pouvoir réparer les moteurs. Et personne ne dit mot. Autre point, France Antilles vient de comprendre que parfois la presse gêne par sa volonté de vendre du papier, des négociations qui doivent être discrètes.
Mais le plus préoccupant dans cette affaire est ce qu’on doit comprendre entre les lignes.
Pour lire la suite cliquez sur la page 2