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Découvrez la place Antonio Macéo du Lamentin


Rédigé le Mercredi 14 Octobre 2020 à 14:40 |
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C'était une époque où Pierre Samot l'avant-dernier Maire du Lamentin construisait cette ville. Il avait aussi pour projet de donner une âme au cœur de ville et c'est ainsi qu'il a imaginé la place Antonio Macéo. Aujourd'hui et sans doute dans la cadre du passage des Cubains en Martinique, la place à été nettoyée, repeinte.


Antonio Maceo y Grajales, né le 14 juin 1845 à San Luis, mort au combat le 7 décembre 1896 à Punta Brava, est un combattant et héros de la lutte pour l'indépendance de Cuba. Il participe à plus de 900 combats dans la guerre des Dix Ans (1868-1878) et la Guerre d'indépendance (1895-1898). Il a été surnommé le Titan de Bronze pour sa force et sa couleur de peau. Les Espagnols surnomment Maceo aussi « Le plus grand lion ». Maceo était l'un des plus remarquables chefs de la guérilla au xixe siècle en Amérique Latine, comparable à José Antonio Páez au Venezuela pour sa perspicacité militaire.


Maceo était le fils d'un fermier vénézuélien et marchand de produits agricoles, Marcos Maceo et une femme afro-cubaine, Mariana Grajales Cuello. Son père a déménagé de Caracas au Venezuela à Santiago de Cuba à Cuba en 1823, après que certains de ses compagnons soient exilés de l'Amérique du Sud. José Antonio Maceo y Grajales est né le 14 juin 1845, dans la ville de San Luis, dans la province d'Oriente (en) à l'extérieur de Santiago de Cuba, dans une ferme connue des locaux sous le nom de Jobabo. Bien que son père lui ait enseigné le maniement des armes et la direction de leurs petites propriétés, c'était sa mère, Mariana Grajales, qui lui a inculqué le sens de l'ordre. Cette discipline maternelle aura une importance dans le développement de la personnalité de Maceo et se retrouvera plus tard dans ses actes en tant que chef militaire.

Approximativement deux semaines après la révolte du 10 octobre 1868 menée par Carlos Manuel de Céspedes contre l'Espagne connue sous le nom de « Le cri de Yara », Maceo, avec son père et ses frères se joignirent à la guerre. Mariana Grajales a suivi les membres de sa famille dans la manigua (bois et campagne la plus sauvage) pour soutenir les mambises, noms donnés aux rebelles cubains au xixe siècle. Les Maceo se sont engagés comme soldats quand la guerre des Dix ans (1868-1878) a commencé. En cinq mois, Antonio Maceo a été promu commandant, quelques semaines après, il a été promu lieutenant-colonel.

Après un court séjour à Haïti, où il a été poursuivi par les Espagnols et a été victime de tentatives d'assassinat par les consulats espagnols et aussi en Jamaïque, Maceo finalement s'établit au Costa Rica, dans la province de Guanacaste. Le Président du Costa Rica attribua à Maceo une unité militaire et lui procura une petite ferme pour assurer sa subsistance. Maceo a été contacté par José Martí et le pressa de commencer la Guerre de 1895, appelée par José Marti « la guerre nécessaire ».

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