Voici pour résumer comment se passe un redressement judiciaire.
Cette affiche résume à elle seule la nouvelle politique de la Chaîne. Nouvel habillage. Nouveau plateau pour le journal. Nouvelle organisation, meilleur maîtrise du Digitale
Généralement c'est le gérant de l'entreprise qui constate que son entreprise ne va pas bien en premier lieu. S' il s'en aperçoit tôt, il peut s'il a besoin d'un aménagement juridique mettre son entreprise en sauvegarde, avec un administrateur il est vrai, mais sans que l'entreprise ne soit en redressement. Si cette démarche n'avait pas été faite, et c'est le cas de ATV, l'entreprise par son gérant constate son impossibilité de payer ses fournisseurs, salaires prestataires et autres.
A ce moment là ,le gérant dépose un dossier de cessation des paiements qui indique qu'il ne peut plus payer les charges de l'entreprise. Tous les mardis à 14 heure 30 le tribunal de commerce reçoit ces entreprises et déclare leur état de cessation de paiement et les met en redressement judiciaire. Généralement la première période est de 3 mois. A partir de ce moment le Gérant ne peut plus faire de paiement sans passer par l'administrateur quand bien même c'est lui qui continue de gérer son entreprise. L’intérêt de l'opération c'est que durant toute cette période, tous les paiements qui devaient se faire et antérieurement à cette date de cessation sont bloqués. Cette manœuvre purement administrative et juridiquement encadrée a pour but de permettre à l'entreprise de reconstituer sa trésorerie et son fond de roulement en vue de la mise en place d'un plan de redressement.
Certains patrons envoient dès cette date leur entreprise à la casse s'ils considèrent qu'il n'y a pas de futur. S'ils considèrent que leur activité est encore viable, certains gérants demandent généralement un délai supplémentaire pour le prouver. Dans le cas d'ATV, le patron de la station Monsieur Egésipe, pour des raisons qui lui sont propres a décidé de jeter l'éponge. Effectivement durant cette procédure, on a appris son décès.
Dans le cas d'ATV c'est donc au moment où l'ancien gérant avait baissé les bras que les offres de reprises du média ont été faites par l'administrateur.
A ce moment là ,le gérant dépose un dossier de cessation des paiements qui indique qu'il ne peut plus payer les charges de l'entreprise. Tous les mardis à 14 heure 30 le tribunal de commerce reçoit ces entreprises et déclare leur état de cessation de paiement et les met en redressement judiciaire. Généralement la première période est de 3 mois. A partir de ce moment le Gérant ne peut plus faire de paiement sans passer par l'administrateur quand bien même c'est lui qui continue de gérer son entreprise. L’intérêt de l'opération c'est que durant toute cette période, tous les paiements qui devaient se faire et antérieurement à cette date de cessation sont bloqués. Cette manœuvre purement administrative et juridiquement encadrée a pour but de permettre à l'entreprise de reconstituer sa trésorerie et son fond de roulement en vue de la mise en place d'un plan de redressement.
Certains patrons envoient dès cette date leur entreprise à la casse s'ils considèrent qu'il n'y a pas de futur. S'ils considèrent que leur activité est encore viable, certains gérants demandent généralement un délai supplémentaire pour le prouver. Dans le cas d'ATV, le patron de la station Monsieur Egésipe, pour des raisons qui lui sont propres a décidé de jeter l'éponge. Effectivement durant cette procédure, on a appris son décès.
Dans le cas d'ATV c'est donc au moment où l'ancien gérant avait baissé les bras que les offres de reprises du média ont été faites par l'administrateur.
Ce qu'il faut bien comprendre c'est qu'une télévision n'est pas un entreprise comme les autres. Effectivement si vous vendez des bonbons et des tamarins vous n'avez pas besoin d'autorisation. Et si vous voulez faire de la Télévision il vous faut par contre une autorisation d'émettre. C'est ainsi et comme c'est ainsi c'est comme cela. Pour bien comprendre la suite de cette démonstration il vous faut toujours vous rappeler de cette affaire d'autorisation d'émettre.
Si ATV existe encore c'est par la volonté des Martiniquais aussi. Certains médias s’amusent pourtant à distiller de fausses informations. Pourquoi ? Bétise ou méchanceté ?
Alors pourquoi faut-il se souvenir, toujours se rappeler dans cette affaire de l' autorisation d'émettre ? En fait quand l'entreprise est mise en redressement elle a deux portes de sortie au tribunal. La liquidation ou la continuité, mais attention il y a plusieurs moyens de continuer. La plus commune c'est la continuité avec le même gérant, ou la continuité avec d'autres dirigeants.
Dans le cas d'ATV le projet continue avec d'autres dirigeants. A partir de ce moment deux options juridiques sont possibles, mais dans le cas d'ATV, la liquidation de l'ancienne entreprise avec une cession à une nouvelle entreprise n'est pas possible. Pourquoi ce n'est pas possible, c'est tout simplement parce que ATV a une autorisation d'émettre rattachée à une société, et si cette société précisément est liquidée l'autorisation d’émettre attenante à cette société aussi tombe définitivement.
Ainsi donc le redressement de ATV ne peut se faire que sous la seule et unique condition de la seule reprise des anciennes dettes. C'est ce qui explique que depuis toujours ATV traîne ses dettes du premier jour comme un boulet qu'un esclave arrogant traîne à ses pieds parce qu'il avait regardé le maître dans les yeux un jour où ce dernier était de mauvaise humeur. C'est aussi ce qui explique que plusieurs porteurs de projets martiniquais se soient cassé la pipe. Ce sujet de procédure judiciaire dans un pays normal aurait déjà appelé à une modification de la loi par les députés. Car comment expliquer que dans le cas d'une reprise d'un restaurant , d'une entreprise de pêche, de BTP ou de vente de vêtements, on puisse liquider les anciennes dettes et céder les actifs de l'entreprise à un nouveau projet et que dans le cas d'un média cela ne soit pas possible. C'est bien la preuve qu'un média n'est pas une entreprise comme les autres et que détenir un média donne un certain pouvoir de faire et de défaire des princes. Ce contexte explique aussi pourquoi certains s'amusent à encore plus compliquer le travail des repreneurs, en savonnant la planche sur laquelle ces derniers doivent skier en plein carême.
Nous, à icimartinique.com ,nous avons pris notre parti et nous allons vous dire pourquoi !
Dans le cas d'ATV le projet continue avec d'autres dirigeants. A partir de ce moment deux options juridiques sont possibles, mais dans le cas d'ATV, la liquidation de l'ancienne entreprise avec une cession à une nouvelle entreprise n'est pas possible. Pourquoi ce n'est pas possible, c'est tout simplement parce que ATV a une autorisation d'émettre rattachée à une société, et si cette société précisément est liquidée l'autorisation d’émettre attenante à cette société aussi tombe définitivement.
Ainsi donc le redressement de ATV ne peut se faire que sous la seule et unique condition de la seule reprise des anciennes dettes. C'est ce qui explique que depuis toujours ATV traîne ses dettes du premier jour comme un boulet qu'un esclave arrogant traîne à ses pieds parce qu'il avait regardé le maître dans les yeux un jour où ce dernier était de mauvaise humeur. C'est aussi ce qui explique que plusieurs porteurs de projets martiniquais se soient cassé la pipe. Ce sujet de procédure judiciaire dans un pays normal aurait déjà appelé à une modification de la loi par les députés. Car comment expliquer que dans le cas d'une reprise d'un restaurant , d'une entreprise de pêche, de BTP ou de vente de vêtements, on puisse liquider les anciennes dettes et céder les actifs de l'entreprise à un nouveau projet et que dans le cas d'un média cela ne soit pas possible. C'est bien la preuve qu'un média n'est pas une entreprise comme les autres et que détenir un média donne un certain pouvoir de faire et de défaire des princes. Ce contexte explique aussi pourquoi certains s'amusent à encore plus compliquer le travail des repreneurs, en savonnant la planche sur laquelle ces derniers doivent skier en plein carême.
Nous, à icimartinique.com ,nous avons pris notre parti et nous allons vous dire pourquoi !
Si nous soutenons le dossier ATV avec de nouveaux dirigeants c'est que ce dossier a toujours été une affaire de petits arrangements locaux, voire même d'usurpation de position, pour ne pas dire un bal de macaques dans un marigot de crocodiles.
Le dossier porté par le personnel n'est jamais arrivé à la barre du tribunal. .. Disparu !!!
Amis lecteurs chaque mot écrit ici est pesé et soupesé.
Autrement dit, rien de ce qui est écrit ici n'est écrit sans preuve et j'accumule des preuves depuis l'affaire de TCI soit en 1996. Rappelez vous à l'époque malgré le lancement de l'opération "Télé mwen" lancé par les dirigeants de TCI de l'époque ces derniers pour leur intérêts propres avaient laissé mourir le projet TCI.
Nous disposons d'un courrier signé de Max Elisé, je dis bien feu Max Elisé, dans le lequel ce dernier écrit le texte suivant, je cite :" Afin de dissiper toute équivoque sur ma position favorable au maintien d'une télévision privée aux Antilles, je vous communique les correspondances échangées avec le groupe Parfait, représenté par messieurs Yves et Robert Parfait, ainsi qu'avec le Crédit Agricole représenté par Monsieur Maurice Laouchez. et de poursuivre: "Ces documents illustrent notre profonde conviction. Seule une unité à tous les niveaux et sans exclusive peut permettre de réaliser l'objectif ambitieux et périlleux que peut constituer une télévision privée dans un si petit pays" Fin de citation mais pas fin de la lettre que nous gardons pour une autre démonstration.
Autrement dit la disparition de TCI a été un arrangement entre actionnaires pour laisser vivre ATV. C'est d'ailleurs cette conviction d'hommes d'affaires du premier cercle qui a fait échouer notre initiative de dossier de reprise de télé Caraïbes par le personnel qui s'était à l'époque mobilisé, alors que plus de 72 000 Martiniquais avaient signé une pétition demandant la poursuite de TCI. Cette affaire grotesque, unique sans nom autre qu'un wélélé wé se sera étouffée sans tambour ni trompette, et sans que jamais le dossier du personnel n'arrive à la table des juges.
Alors comment accepter qu'après tant d'années, ATV aussi meurt de sa belle mort par le seul fait d’escroquerie ou de petits arrangements au plus haut niveau. Pour moi c'est comme si une partie qu'on avait volé au pays était arrachée une seconde fois et que personne ne disait rien tout en sachant. Et pour nous à ICIMARTINIQUE.COM qui dénonçons aussi ces plafonds de verres successifs qui empêchent la Martinique de respirer, ne rien dire correspondrait à se taire à jamais.
Et c'est pour ces raisons précises et évoquées et relatives à la vérité , à l'éthique et à l'amour du pays Martinique que nous n'avons cessé de soutenir par la seule mise dans l'espace public de la réalité des faits. Oui chaque fois nous vous avons dit ce que nous savions, mais toujours dans l'idée de sauver ATV. Par conséquent quand nous voyons que des inutiles, des têtards sans doigt s'amusent à rependre de fausses idées sur cette télévision pour la faire échouer, depuis leur clavier, là aussi contrairement à eux, nous nous rapprochons des acteurs et menons notre enquête. Une enquête en profondeur sans association de faux propos ou d'images inappropriées. Une enquête sérieuse !
Pour connaitre les résultats de cette enquête cliquez sur page suivante.
Autrement dit, rien de ce qui est écrit ici n'est écrit sans preuve et j'accumule des preuves depuis l'affaire de TCI soit en 1996. Rappelez vous à l'époque malgré le lancement de l'opération "Télé mwen" lancé par les dirigeants de TCI de l'époque ces derniers pour leur intérêts propres avaient laissé mourir le projet TCI.
Nous disposons d'un courrier signé de Max Elisé, je dis bien feu Max Elisé, dans le lequel ce dernier écrit le texte suivant, je cite :" Afin de dissiper toute équivoque sur ma position favorable au maintien d'une télévision privée aux Antilles, je vous communique les correspondances échangées avec le groupe Parfait, représenté par messieurs Yves et Robert Parfait, ainsi qu'avec le Crédit Agricole représenté par Monsieur Maurice Laouchez. et de poursuivre: "Ces documents illustrent notre profonde conviction. Seule une unité à tous les niveaux et sans exclusive peut permettre de réaliser l'objectif ambitieux et périlleux que peut constituer une télévision privée dans un si petit pays" Fin de citation mais pas fin de la lettre que nous gardons pour une autre démonstration.
Autrement dit la disparition de TCI a été un arrangement entre actionnaires pour laisser vivre ATV. C'est d'ailleurs cette conviction d'hommes d'affaires du premier cercle qui a fait échouer notre initiative de dossier de reprise de télé Caraïbes par le personnel qui s'était à l'époque mobilisé, alors que plus de 72 000 Martiniquais avaient signé une pétition demandant la poursuite de TCI. Cette affaire grotesque, unique sans nom autre qu'un wélélé wé se sera étouffée sans tambour ni trompette, et sans que jamais le dossier du personnel n'arrive à la table des juges.
Alors comment accepter qu'après tant d'années, ATV aussi meurt de sa belle mort par le seul fait d’escroquerie ou de petits arrangements au plus haut niveau. Pour moi c'est comme si une partie qu'on avait volé au pays était arrachée une seconde fois et que personne ne disait rien tout en sachant. Et pour nous à ICIMARTINIQUE.COM qui dénonçons aussi ces plafonds de verres successifs qui empêchent la Martinique de respirer, ne rien dire correspondrait à se taire à jamais.
Et c'est pour ces raisons précises et évoquées et relatives à la vérité , à l'éthique et à l'amour du pays Martinique que nous n'avons cessé de soutenir par la seule mise dans l'espace public de la réalité des faits. Oui chaque fois nous vous avons dit ce que nous savions, mais toujours dans l'idée de sauver ATV. Par conséquent quand nous voyons que des inutiles, des têtards sans doigt s'amusent à rependre de fausses idées sur cette télévision pour la faire échouer, depuis leur clavier, là aussi contrairement à eux, nous nous rapprochons des acteurs et menons notre enquête. Une enquête en profondeur sans association de faux propos ou d'images inappropriées. Une enquête sérieuse !
Pour connaitre les résultats de cette enquête cliquez sur page suivante.
Voilà ce que nous avons vu, ce que nous avons entendu, en conclusion nous vous dirons ce que nous avons compris.
Aujourd'hui le personnel de la chaine rayonne et se donne à fond à l'image de Régine.
Nous ne sommes pas dans les secrets des dieux, ni des chiffres de la direction de ViaATV. Mais nous vous avons expliqué la difficulté du projet de reprise du seul fait de la dette congénitale du projet Antilles télévision. Une dette qui traîne comme un grippe dont le cheval ne peut se débarrasser. Mais il existe des solutions :
Elle est avant tout de partager cette volonté politique de sauver la chaîne. Sans équivoque les Martiniquais ont donné leur avis en cotisant. Il n'est pas dit à ce propos qu'une redevance volontaire ne soit pas à inventée et mobilisable annuellement en contre-partie d'avantages. Mais ce qu'il convient de faire c'est une mobilisation stratégique et politique auprès des principaux créanciers. Par exemple pourquoi ne pas imaginer des abandons de dettes de certains créanciers en contre-partie d'avantage fiscal, en transformant de la dette en capital social, entre autres solutions. Oui c'est possible par abandon d'une dette de la transformer en capital et en faisant rentrer au capital des actionnaires de référence, banques, collectivité. Il n'est pas exclu maintenant que la chaîne ne perd plus d'argent de transformer la société en structure capable d'accueillir des collectivités , de les associer à des privés et de faire un projet commun intégrant par exemple un centre de formation pour les agents de ces mêmes collectivités aux métiers du numérique. Les SEEM sont des exemples et le montage pour sauver le Galion est de cet ordre là.
Enfin et c'est le plus important, il s'agit aussi pour ceux qui ont dit qu'ils reprenaient d'assumer. A notre connaissance nous savons que ces entrepreneurs vont même jusqu’à restructurer leur groupe pour accueillir la mariée, les sommes déjà investies à l'échelle de la Martinique sont colossales, et celles qui devraient l'être avec l'arrivée de VIA sérieuses.
Pour conclure car il faut conclure, même quand on est passionné, il convient de noter le respect pour le personnel et l'engagement de ce dernier pour le projet. La mise en place d'un plateau unique pour le Grand Direct est à l'image des innovations de la chaîne. Outre les nouvelles dispositions pour la prise en compte du personnel, nous voyons que du matériel nouveau arrive. De nouvelles voitures, neuves et plus spacieuses pour la sécurité, un nettoyage et embellissement des locaux pour de meilleures conditions de travail, des appuis techniques et opérationnels d'un projet de dimension nationale, c'est tout cet ensemble qu'il convient à cette heure de mettre sur le plateau de la balance quand la justice devra prendre sa décision.
Elle est avant tout de partager cette volonté politique de sauver la chaîne. Sans équivoque les Martiniquais ont donné leur avis en cotisant. Il n'est pas dit à ce propos qu'une redevance volontaire ne soit pas à inventée et mobilisable annuellement en contre-partie d'avantages. Mais ce qu'il convient de faire c'est une mobilisation stratégique et politique auprès des principaux créanciers. Par exemple pourquoi ne pas imaginer des abandons de dettes de certains créanciers en contre-partie d'avantage fiscal, en transformant de la dette en capital social, entre autres solutions. Oui c'est possible par abandon d'une dette de la transformer en capital et en faisant rentrer au capital des actionnaires de référence, banques, collectivité. Il n'est pas exclu maintenant que la chaîne ne perd plus d'argent de transformer la société en structure capable d'accueillir des collectivités , de les associer à des privés et de faire un projet commun intégrant par exemple un centre de formation pour les agents de ces mêmes collectivités aux métiers du numérique. Les SEEM sont des exemples et le montage pour sauver le Galion est de cet ordre là.
Enfin et c'est le plus important, il s'agit aussi pour ceux qui ont dit qu'ils reprenaient d'assumer. A notre connaissance nous savons que ces entrepreneurs vont même jusqu’à restructurer leur groupe pour accueillir la mariée, les sommes déjà investies à l'échelle de la Martinique sont colossales, et celles qui devraient l'être avec l'arrivée de VIA sérieuses.
Pour conclure car il faut conclure, même quand on est passionné, il convient de noter le respect pour le personnel et l'engagement de ce dernier pour le projet. La mise en place d'un plateau unique pour le Grand Direct est à l'image des innovations de la chaîne. Outre les nouvelles dispositions pour la prise en compte du personnel, nous voyons que du matériel nouveau arrive. De nouvelles voitures, neuves et plus spacieuses pour la sécurité, un nettoyage et embellissement des locaux pour de meilleures conditions de travail, des appuis techniques et opérationnels d'un projet de dimension nationale, c'est tout cet ensemble qu'il convient à cette heure de mettre sur le plateau de la balance quand la justice devra prendre sa décision.