Et si ALBIOMA avait un dôme dans l’cul en Martinique ! Rien de moins incertain !


Rédigé le Jeudi 13 Octobre 2016 à 16:25 |
En cliquant sur l'un de ces boutons vous allez connaitre mes centres d'intérets En savoir plus sur cet auteur

Personne n’aurait imaginé qu’un projet tel que celui de Galion 2 pouvait connaître le sort qui risque de lui arriver, 120 000 € c’est beaucoup d’argent. L’ASSAUPAMAR y a cru seule. C’est tout à son honneur. Peut-être que sa motivation était ailleurs. Mais un grain de sable ASSAUPAMAR est tombé dans un moulin infernal appelé ALBIOMA


ALBIOMA connaît pour l’heure une interdiction d’ouvrir son usine Galion 2.

Il faut bien se rendre compte que c’est 120 millions d’investissement qui devraient pourrir dans la pampa de TRINITÉ ! Cela est-il vraiment envisageable ? Oui si la loi s’applique, non si certains ne sont pas en adéquation avec leur idée et que des mains malignes truquent le dispositif.
La justice étant rendue par des hommes, elle n’est donc pas binaire. Elle est alternative et s’offre des oscillations que seule l’intrusion de la main du diable peut expliquer.

Dans ce projet l’État est dans son rôle. Directement et indirectement. E D F, les Ministères de l’Environnement, le Préfet tout cela c’est mim bet min pwel: " l’état dans l’état".

Comment donc comprendre que l’État donne tort à l’état dans son habitation par l’intermédiaire de sa justice ? Ce qui devrait étonner, c’est que la justice ait donné tort à l « ’Etat dans l’Etat » dans l’affaire d’ ALBIOMA.

En fait sous prétexte d’indépendance de la justice, le tribunal administratif fait rentrer dans la boucle. le seul qui ne l'était pas.

La CTM disait non au projet ALBIOMA.

Pour le futur ce n’était pas un contexte favorable. En considérant que le SAR est le seul arbitre de cette affaire, la justice dit donc à nos élus majoritaires de la CTM ; prenez vos responsabilités aussi. C’est à vous de dire, si oui, ou non vous acceptez que l’on empoisonne des Martiniquais où qu'on fasse perdurer les délestages dont l'île est victime. En fait, ceux qui ont accepté ABIOMA au plus haut niveau, veulent mouiller tous ceux qui sont au pouvoir maintenant.

Il est certain que MARIE JEANNE aime les Martiniquais et que, jamais il n’acceptera de vendre un nègre au profit de l’état qu'il dit colonial. Mais quand on sait qu’il a vendu son âme à la droite MONPLAISIR pour sauver sa peau, on peut se demander s’il ne serait pas capable de fermer les yeux pour sauver son Honneur !

Sa libération négociée dans l’affaire green Parrot dans un procès délocalisée serait une bonne monnaie d’échange dans le koko makak d’ALBIOMA. C'est peut-être le fruit d’une imagination trop débordante, ou la curiosité de voir se poursuivre jusqu' au bout une illusion de contrat de gestion qui semble mal engagée vis-à-vis des attentes exagérées, espérées d’un seul changement institutionnel.

Soit. L’ASSAUPAMAR a déjà compris où la digue pourrait céder et crie anmwé aux autres indépendantistes de la gouvernance de la CTM de tchinbé fô. Soit elle a déjà vu que le fruit est vérolé et crie à la résistance avant de crier au scandale.

Cette lettre ouverte est un hurlement poussé par L’ ASSAUPAMAR qui ressemble à un signal de détresse. Un doute sur un danger imminent.

Il est bon à cet instant de savoir ce qu’en pense la population. Pour l’heure, elle regarde « le film se jouer », comme une bobine tombée du panier d’un voisin. Persuadée que cela ne changera rien à leur situation personnelle beaucoup de Martiniquais n’en ont rien à foutre.
Sur ce dossier peut-on simplement être spectateur et se contenter de laisser se dérouler le film sans y prendre part ?

MAKACLA a choisi son camp ; Celui de vous informer d’oùb l’ouverture d’un DOSSIER BIOMASSE dès le début de cette affaire.


ENVIRONNEMENT
Dans la même rubrique :