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Faut-il dire à Gilles Dégras en anglais ce qu'il ne comprend pas en créole ?


Rédigé le Samedi 10 Août 2019 à 04:42 |
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Tentons cette fois pour toute qu'il comprenne. I'm not your friend. I am the friend of the man who fucked your mom ! Cette ultime tentative a pour but de lui faire comprendre ce que nous lui avons dit en créole et qu'il ne semble pas avoir compris !


C'est le feuilleton de "l'et thé", une bien triste série tropicale, qui n’apporte rien au pays, quoique ! Vous savez que Gilles Dégras, trouve que notre Webzine Makacla.com lui fait de l'ombre à son support : L'arrière train de madame Jack.. Ce dernier pour retrouver une certaine audience perdue, et dans une tentative de nous tirer par le fond, ne cesse d'attaquer celui qui dirige et anime ce qui est en train de devenir un véritable média de premier plan, présent dans toutes les grandes manifestations d'aujourd'hui, et à qui l'opinion publique fait de plus en plus crédit, le portail ICIMARTINIQUE.COM et son Webzine MAKACLA.COM

Gilles Dégras veut faire déplacer Colbert, avant de faire débaptiser la Rue Blénac !
Gilles Dégras veut faire déplacer Colbert, avant de faire débaptiser la Rue Blénac !
Comme il l'a fait en attaquant des élus, des responsables économiques nous avons été nous aussi attaqué par Gilles Dégras. Notre magazine a toujours contesté non seulement cette méthode lâche, mais prend surtout le temps de porter la contradiction à ce qu' écrit une personne apparemment angoissée dans ce qui ressemble de plus à un puits de haine. Plus encore sur certains points de vues, il s'agit de fausses bonnes idées, ou de "put à clic" ou d'un "halala" de photos inappropriées. Par exemple sur la fausse bonne idée de demander de déplacer Colbert devant l'Assemblée Nationale, répétée comme un "je vous salue Marie", nous avons fait un article, dans lequel nous demandons s'il ne convient pas avant de commencer par débaptiser la Rue Blénac, dont le nom provient du gouverneur Général par lequel les renseignements ont permis à Colbert de rédiger partiellement le Code Noir?

Ce débat est un débat de fond. Oui il faut le dire à l'opinion publique. Nous ne pouvons exiger des autres ce que nous sommes incapables de faire pour nous. Interroger le maire de Fort de France Didier Laguerre, avant d'aller se ridiculiser une fois encore, pour demander aux Français de faire chez eux ce que nous sommes incapables, nous Martiniquais, de faire chez nous me semble un minimum. C'est de cela dont il s'agit, d'un débat d'idées de deux responsables de médias qui ont des avis diamétralement opposés, sur une question de fond et dont la thématique doit être purgée.

C'est ce débat de fond qui fait reculer Gilles Dégras, comme il fuit toute confrontation. Maintenant qu'il est revenu au pays, il doit assumer ses écrits, se montrer et défendre ses idées, ses attaques, ses mensonges face à ceux qu'il insultait alors qu'il était en transit temporaire à la Réunion. Pour éviter ces vrais sujets il fait diversion, se cache et se réfère à des faits de guerre extérieurs au débat principal. Comment Gilles Dégras peut-on avoir un complexe pour la liquidation d'une ou plusieurs entreprises quand on constate ce qui arrive en ce moment à un groupe comme Ho Hio Hen? ou comme ce qui est arrivé à Lancry, à Landy et à des entrepreneurs encore plus calés, comme Créssant avec BMW HONDA, Mirsa, Batep pour Zozine et on ne sait quels autres encore?

On ne peut pas faire de complexe pour cela sauf d'avoir la fierté d'être sorti de derrière son clavier et d'avoir entre- temps nourri des familles !

On peut se faire encore moins de mouron quand cette remarque vient d'un observateur qui n'a jamais payé un seul mois de salaire de sa vie à deux salariés en même temps, et dont la seule expérience entrepreneuriale s'est encore plus brièvement terminée dans les poubelles du tribunal de commerce. Cette dénonciation moqueuse devient encore plus malvenue quand ont sait que ce faiseur de Roi vend aujourd'hui des denrées alimentaires et agricoles sans toutes les dispositions réglementaires en vigueur. La chaîne de froid au moment du transport, le certificat phytosanitaire,quand bien même on est en bio, ne sont que quelques points à respecter, suite à une déclaration en bonne et due forme.

On ne peut crier au loup, quand on est soit même un chacal !

Cette semaine nous nous proposons d'ailleurs de continuer de vérifier, si lui et ses partenaires agricoles sont bien inscrits comme agriculteurs et si leur cotisation AMEXA et autre sont bien en règle et ne se confondent pas avec des droits au chômage ou autre avantage aux dépens de la collectivité ! Oui nous vérifions comme il nous a été demandé moqueusement d'aller enlever des casquettes de chez le groupe Parfait et nous saurons si l'arroseur ne se fera pas arroser par son propre crachat ou venin !

Effectivement parfois il faut investiguer pour confondre les tricheurs...

Mais je vous disais à tout malheur est lié un bon présage. Cette interpellation est aussi l'occasion pour nous de vous faire part de notre démarche actuelle sur l'une des parcelle que nous avons pu sauver de cette dilapidation.





En effet ,voila donc 5 ans que nous sommes sur une parcelle à traiter pour qu'elle redevienne bio. Avec un agriculteur, assermenté lui, nous avons mis des animaux en batterie et en transhumance sur la parcelle pour la régénérer en certaines périodes.

Voici comment seront présentés les billonnages . Ici l'espace labouré à l'occasion d'une étude des coûts et de temps de réalisation.  12 serres de ce type seront disponibles soit 48 billons
Voici comment seront présentés les billonnages . Ici l'espace labouré à l'occasion d'une étude des coûts et de temps de réalisation. 12 serres de ce type seront disponibles soit 48 billons
Notre dernier labour, nous a permis de constater comment les vers de terre, et autres organismes naturels avaient repris place comme vous le constatez sur cette photo. 5 ans, sans aucun pesticide c'est la norme minimale pour pouvoir parler d'agriculture bio. Nous avons fait cette démarche de remise en état de ce terrain avec en plus les garanties concernant les taux de chlordécone au préalable.

Plusieurs tests sur des espèces, notamment de manioc et autres produits on été menés, avec la mise en place d'un calendrier de plantation éventuelle qui puisse accepter les saisonnalités contrastées dans le sud. Mais nous avons surtout recherché des espèces endémiques et constitué un projet que je profite pour vous présenter en partie. En partie seulement.

Notre idée sur une partie du terrain est mettre en place un jardin collectif, dont la particularité sera de rendre disponible des sillons de 100 m soit quatre par serre, et de permettre à des familles qui le souhaitent de cultiver leur jardin. Durant la semaine des ouvriers agricoles mutualisés s'occuperont des parcelles pour les travaux principaux, et le reste du temps l'entretien sera fait par le loueurs de l'espace cultivé qui apportera sa main d'oeuvre. Toutes les récoltes seront prises par celui qui loue le sillon pour sa consommation ou seront vendues par la boutique qui mutualise les récoltes.

Nous sommes persuadés que nous devons apprendre à vivre ensemble, à revenir au système d'entraide, à mutualiser les moyens, mais surtout que nous devons réapprendre à cultiver ce que nous mangeons. Mais nous voulons faire ce projet en toute légalité, dans le respect des textes, des institutions et avec des agriculteurs que nous refusons de concurrencer. La nouvelle agriculture a besoin d'être communautaire, propre respectueuse, et pour ce faire, le consommateur doit pouvoir lui aussi mettre la main dans le fumier, faire ses récoltes, perdre ses plantations pour comprendre les professionnels. Nous reviendrons plus en détail sur ce sujet en vous disant que cela se passera bien au Vauclin et que nous replanterons du melon au Vauclin.

Mais cette fois il sera sans engrais, sans graines d'importation, sans produit phytosanitaire !

Voilà, Gilles Dégras en voulant nous faire du mal, nous aura permis de partager avec vous, notre communauté de lecteurs, nos projets que nous avons avec vous. Nous travaillons à la mise en place d'un bouquet de services pour vous, pour nous et c'est cela notre engagement, tirer par le haut , les gens de notre pays, notre communauté et la Martinique en donnant l'exemple. ..

C'est tout le contraire de Gilles Dégras !




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