LAURENCE PARISOT EN GARCE DE SERVICE


Rédigé le Lundi 30 Mars 2009 à 17:45 |

Par Camille Chauvet. Le ballet des politiques qui se met en place veut préparer un passage, du Président de la République française d'origine hongroise, en terre coloniale, sans problème. Mais la patronne du MEDEF, Laurence Parisot se déguise en vache pour lui savonner son passage.


Dans le Larousse, une salope est une garce, mais la garce est une fille méchante. C’est donc en tenue de garce que la patronne du MEDEF rejette l’accord Bino… Comme une enragée Laurence Parisot a annoncé, hier dimanche, lors du grand jury RTL- LCI- Le figaro, que « les patrons guadeloupéens ne signeront pas l'accord Bino Nous ne pouvons pas accepter qu'un accord qui laisse entendre que l'économie guadeloupéenne est encore une économie d'esclavage puisse être cautionné, y compris cautionné par l'Etat ».

La « jolie fleur » est une belle chanson de Georges Brassens.

Le refrain fait une description parfaite de la patronne du Medef .
La Laurence Parisot est finalement :
Cette jolie fleur dans une peau d'vache,
Cette jolie vache déguisée en fleur, qui fait la belle et qui refuse de signer l’accord Bino .
Le ciel ne l’a pas pourvue des mille appas qui vous font prendre feu dès qu'on y touche.

C’est vrai, aussi comme le disait aussi Georges Brassens de cette fleur, Laurence n'a pas de tête, elle n'a pas l'esprit beaucoup plus grand qu'un dé à coudre, mais pour signer l'accord Bino comme pour koké on ne lui demande pas d'avoir inventé la poudre.

Tôt ou tard elle doit signer.

Le LKP va peut-être lui pardonner d’avoir voulu mettre la Guadeloupe à feu et à sang pour qu'il ne puisse plus servir à personne.

Si lors d'une interview télévisée, Elie Domota demandait aux patrons de signer l'accord Bino ou alors de quitter la Guadeloupe... C’est bien Nicolas Sarkozy qui a dit haut et fort « Ou tu aimes la France ou tu l’a quittes. » Ajoutons à cela que c’est le secrétaire d’Etat aux colonies Yves de la Jégoterie,lui même, qui a dénoncé l’économie de Comptoir qui sévit aux isles de l’Amérique.

Le bras de fer est donc lancé.






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