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Pour vous montrer l'énormité de cet enfumage de l'opinion publique, nous avons titré comme le dit le porte parole de la CTM que le refus de payer serait caractérisé. Car en effet qui peut croire que lorsque l'argent est là et bien là les payeurs refuseraient de payer ? Personne .
En effet comment peut-on imaginer qu'en présence de l'argent sur le compte , le payeur refuse de payer ? C'est comme si nous voulions vous faire croire que : "Le payeur territorial refusera ce mois ci de payer les salaires des agents et les indemnités des élus". Qui pourrait croire un tel enfumage, une telle fake news.
Alors que s'est-il passé exactement ?
Renseignement pris, la trésorerie de la CTM aurait été malmenée par les paiements du lycée Schoelcher. Dont deux caractéristiques auraient un effet ciseau sur la trésorerie de la CTM.
1) L'importance des montants des travaux en jeu.
2) La vitesse des travaux dont on sait que l'indication est donnée aux entreprises, de respecter strictement les délais, pour une inauguration de l'ouvrage par Alfred Marie-Jeanne. On parle de cerise sur le pain dou !
3) La nature du financement européen du principal chantier. En effet il faut que la CTM paye les travaux pour se voir remboursée par les fonds européens. Et comme il faut payer les entreprises pour qu'elles ne s'arrêtent pas.. Toute la trésorerie est mobilisée pour le lycée au détriment de tout le reste.
Enfin et c'est le plus important, l'ordre de priorité donné au payeur par la collectivité ! On peut avoir en trésorerie plusieurs millions et le payeur peut ne pas pouvoir payer une facture supplémentaire de 1400 euros à un photographe !
C'est exactement le cas de figure dans lequel s'était retrouvé l'ex région en mobilisant tout sur le TCSP dont la date fantoche du 31 décembre 2015 était évoquée comme la fin de bwa bwa, alors que le BTP lui, bénéficiait du fameux plan de relance un et deux, peut-être même trois !
Alors que s'est-il passé exactement ?
Renseignement pris, la trésorerie de la CTM aurait été malmenée par les paiements du lycée Schoelcher. Dont deux caractéristiques auraient un effet ciseau sur la trésorerie de la CTM.
1) L'importance des montants des travaux en jeu.
2) La vitesse des travaux dont on sait que l'indication est donnée aux entreprises, de respecter strictement les délais, pour une inauguration de l'ouvrage par Alfred Marie-Jeanne. On parle de cerise sur le pain dou !
3) La nature du financement européen du principal chantier. En effet il faut que la CTM paye les travaux pour se voir remboursée par les fonds européens. Et comme il faut payer les entreprises pour qu'elles ne s'arrêtent pas.. Toute la trésorerie est mobilisée pour le lycée au détriment de tout le reste.
Enfin et c'est le plus important, l'ordre de priorité donné au payeur par la collectivité ! On peut avoir en trésorerie plusieurs millions et le payeur peut ne pas pouvoir payer une facture supplémentaire de 1400 euros à un photographe !
C'est exactement le cas de figure dans lequel s'était retrouvé l'ex région en mobilisant tout sur le TCSP dont la date fantoche du 31 décembre 2015 était évoquée comme la fin de bwa bwa, alors que le BTP lui, bénéficiait du fameux plan de relance un et deux, peut-être même trois !
Alors nous ne disons pas que le Président Marie-Jeanne dont on connait l'entière dévotion aux entités martiniquaises, n 'aurait rien fait. Nous avons vérifié que tout a été fait pour finir par mettre à disposition d'autres fonds seulement en décembre 2019. Autrement dit nous disons que le porte parole de la CTM nous enfume en règle !
Car accuser exclusivement le payeur d'être le seul responsable des retards de paiement de la CTM c'est ne pas prendre en compte l'engagement du personnel de la paierie qui ne peut réparer en un mois des flux asséchés durant des mois voire une année.
Serge Letchimy, nous avait fait le même coup en ajoutant lui, qu'il profitait pour revoir le système informatique de Région. Ce qui était vrai! mais "padon paka géwi bos" Comme quoi entre Quif Quif et Bouricco ce sont les entreprises, les plus petites, celles menées par des Martiniquais qui payent les pots cassés. Quand dans mon activité d'entrepreneur, j'ai pensé qu'il fallait rester sage face à ce genre de méthodes et de situation, en définitive peu scrupuleuses et peu respectueuses des entreprises, je m'étais trompé. Aussi c'est pour cela que le média que je dirige aujourd'hui et que vous lisez actuellement est mis au service des entreprises amies qui vivent cette prise en otage dans l'impossibilité de dire leurs maux . C'est ce qui s'appelle l'expérience utile ou la raison d'être d'un média face à des politicars peu scrupuleux du monde de l'entreprise, et ce en dépit des apparences !
Si vous voulez lire le texte "enfumeur" du porte parte parole de la CTM, tournez la page !
Serge Letchimy, nous avait fait le même coup en ajoutant lui, qu'il profitait pour revoir le système informatique de Région. Ce qui était vrai! mais "padon paka géwi bos" Comme quoi entre Quif Quif et Bouricco ce sont les entreprises, les plus petites, celles menées par des Martiniquais qui payent les pots cassés. Quand dans mon activité d'entrepreneur, j'ai pensé qu'il fallait rester sage face à ce genre de méthodes et de situation, en définitive peu scrupuleuses et peu respectueuses des entreprises, je m'étais trompé. Aussi c'est pour cela que le média que je dirige aujourd'hui et que vous lisez actuellement est mis au service des entreprises amies qui vivent cette prise en otage dans l'impossibilité de dire leurs maux . C'est ce qui s'appelle l'expérience utile ou la raison d'être d'un média face à des politicars peu scrupuleux du monde de l'entreprise, et ce en dépit des apparences !
Si vous voulez lire le texte "enfumeur" du porte parte parole de la CTM, tournez la page !
