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Lili's Beach, le béké à perdu... RCI persiste à faire croire que non !


Rédigé le Vendredi 21 Février 2020 à 18:12 |
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Rappelez vous c'est RCI qui avait lancé le lièvre ! Il s'en était suivi une affaire radio et un contact rugueux avec l'exploitant actuel de la Batelière. Le motif du groupe Monplaisir avait été de considérer que la mise en cause par le gérant du Lilys B'était faite sans que la direction de la batelière n'ait à justifier sa position.


Des suites de cette information, l'opinion publique avait pris fait et cause pour les occupants exploitants actuels du restaurant. Une pétition avait même été organisée.

Lili's Beach, le béké à perdu... RCI persiste à faire croire que non  !
Notre enquête ne nous avait pas permis d'arriver aux mêmes conclusions que RCI. Ce que nous avions compris, c'est que les responsables des deux établissements s'étaient mis d'accord sur la base d'une location dans un premier temps. Cette location était assortie d' une mise à disposition d'une autorisation d'occupation temporaire et provisoire du site proche de la Batelière !

Cette Accord de sous traitance location provisoire, avait été possible grâce à un accord des services de l'état qui avaient significativement donné l'autorisation aux responsables de la Batelière, grâce à une signification en pli recommandé ! Par conséquent c'est sur la base de cette autorisation express de l'état, que les services de la Batelière ont loué le restaurant provisoirement et non l'AOT;

Alors d'où est venu le problème ? De ce que nous avons compris le béké se sentant pousser des ailes dans la propriété du mulâtre a un moment considéré que c'était à lui béké, d'être maître des lieux. Et c'est ainsi que ce dernier fort de négociations infructueuses avec le mulâtre, et fort d'un bon contact dans les services de l'Etat, le béké a fait sa propre demande d'exploitation des lieux, pour son propre compte sans rien dire au mulâtre, et dans son dos !

Mais nous sommes dans un petits pays... si petit que la servante du préfet peut être la maîtresse d'école du directeur de cabinet de x ou y ! Autrement dit en langage de chez nous Sèpan razié ni moun yo ! Et c'est ainsi que les mulâtres ont donc appris, incidemment, que le béké voulait les "entorsader sans graisse", pour pouvoir demain aller en Grèce ! En effet que ne sont-ils pas capables parfois de faire pour gagner de l'argent?. Ici je ne parle pas du béké exclusivement mais des hommes en général.

Dès lors que fiyel té mo ... moucoumè té fini osi... et c'est ainsi que les mulâtres Monplaisir et les békés Porry se sont fâchés. L'un rappelant à l'autre comment était fait son chocolat de première communion et l'autre rappelant à l'un qu'il avait volé les culasses d'un bateau dont il avait la surveillance et pompé le mazout dans les cales de ce navire qui devait être envoyé par le fond ! Nous ne savons si toute cette histoire est vraie, mais comment nous pourrions vous le dire si nous ne l'avions pas entendu.

Comme dans tout ce qui se décide entre béké nègre et mulâtre en Martinique quand il y a un kankan, c'est le blanc, cette fois le préfet, qui décide, cette fois encore il a tranché. : Selon Martinique 1 er : L' AOT (Autorisation d'occupation temporaire) pour l'exploitation du site de 3000 m2 situé sur le domaine public maritime de la plage de Schoelcher a été attribué à l'hôtel la Batelière. .

Fin du spectacle, et fin de l'audience sur cette affaire pour RCI ! Le biais de la consultations de la Mairie de Schoelcher n'étant qu’accessoire au dossier. les délais de déménagement donnés au gérant sont connus de lui !

Par contre cette affaire est instructive sur un point ! C'est l'Etat qui délivre les AOT en bordure de mer, pour les ports aussi !. C'est pour cela que nous demandons encore pourquoi dans l'affaire de la COOPEMAR c'est le Conseiller exécutif Louis Boutrin qui est pourtant venu dire à quel attributaire il donnerait cette AOT. Quand on sait le poids de cette intervention dans la décision des juges, on peut se poser beaucoup de questions.




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