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Ce n'est pas la première fois qu'un drone survole un espace interdit. Mais c'est la première fois que l'on apprend qu'il s'agissait d'un drône livreur de "cam".
Par cam comprenez, drogue, portable et autres. En effet ces types de produits sont interdits dans les prisons. Or on sait bien que ceux qui sont en prison sont les premiers consommateurs de tous les types de produits illicites.
Il n'en aura pas fallu plus pour apprendre qu'un drone avait déposé une livraison dans la cour de la prison de Ducos. Ce qu'il faut savoir c'est que les drones sont de plus en plus puissants et précis. Ils sont capables de porter des charges lourdes c'est la puissance, et plus précis avec le système des points GPS.
Pour peu qu'un téléphone portable introduit dans la prison donne un point GPS exact, il n'est plus compliqué après qu' à ce point précis, un drone vienne se poser en automatique, et reparte sans intervention humaine. Ce qui est inquiétant dans cette affaire c'est de savoir combien de fois ce drone est déjà venu en livraison. Plus grave encore est de comprendre si des livraisons préalables auraient permis de livrer des armes par exemple.
L'administration prend au sérieux cette affaire qui amuse et inquiète quand on sait qu'il est impossible de savoir le nombre exact de drones qu'il y aurait en Martinique. En France où les centrales nucléaires ont déjà étés victimes d'intrusions, on a mis en place des systèmes de surveillance avec des faucons ou des aigles qui attrapent ces drones.
Voici donc une affaire inquiétante.
Il n'en aura pas fallu plus pour apprendre qu'un drone avait déposé une livraison dans la cour de la prison de Ducos. Ce qu'il faut savoir c'est que les drones sont de plus en plus puissants et précis. Ils sont capables de porter des charges lourdes c'est la puissance, et plus précis avec le système des points GPS.
Pour peu qu'un téléphone portable introduit dans la prison donne un point GPS exact, il n'est plus compliqué après qu' à ce point précis, un drone vienne se poser en automatique, et reparte sans intervention humaine. Ce qui est inquiétant dans cette affaire c'est de savoir combien de fois ce drone est déjà venu en livraison. Plus grave encore est de comprendre si des livraisons préalables auraient permis de livrer des armes par exemple.
L'administration prend au sérieux cette affaire qui amuse et inquiète quand on sait qu'il est impossible de savoir le nombre exact de drones qu'il y aurait en Martinique. En France où les centrales nucléaires ont déjà étés victimes d'intrusions, on a mis en place des systèmes de surveillance avec des faucons ou des aigles qui attrapent ces drones.
Voici donc une affaire inquiétante.
