Un dernier verrou a-t-il explosé avec l’affaire de l’église catholique en Martinique ?


Rédigé le Lundi 24 Février 2014 à 00:33 |
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Nous savions que nous ne pouvons plus rien contre la gangrène qui tue notre jeunesse et les séniors : le chômage. Nous savons aussi que la violence qui émerge de temps à autre n’est que prémisse à une situation qui deviendra de plus en plus intenable.
Mais tout de même !


Que l’église se comporte ainsi en Martinique, c’est à désespérer.

La religion a toujours aidé nos populations à supporter l’insupportable. Il y a tellement d’hommes et de femmes qui s’accrochent à la dernière branche qui reste verte, l’église.

IL existe des quantités de martiniquais qui avant d’aller au travail le matin passent à six heures à la Cathédrale de Fort de France. D’autres vont à la messe au moins une fois par semaine.

Est-ce une raison de dire pour autant que tout soit fini. Non on sait que les Hommes restent des Hommes. Les mêmes qui sont capables des actions les plus merveilleuses sont aussi soupçonnables des monstruosités les plus condamnables.

La rumeur ne se tarie pas d’histoires plus croustillantes les unes que les autres sur les prêtes. Ce qui a changé c’est que maintenant plus rien ne peut rester caché. C’est un blog qui a révélé en premier lieu cette affaire. Les réseaux sociaux ont amplifié l’information en faisant circuler des courriers confidentiels. Les médias industriels n’ont fait que rentabiliser l’information.

Trop de journalistes roupillent dans les rédactions officielles, anesthésiés par les consignes qui leur sont données. Leur plus grande peur, faire partir une info.
Le monde change.

Mais si ce qui se dit concernant l’affaire des prêtes est vrai, que ceux qui ont révélé ce qui se passait dans l’église portent plainte contre les pédophiles de l'Eglise Catholique en Martinique et contre ceux qui jouaient dit-on aux exorcistes en privé ...
Un commentaire sur notre blog disait : « que si les lettres signées de certains curés sont vraies que cette affaire est bien plus grave qu''on ne pense !
Comment ne pas demander dès cet instant que ce dossier soit traité devant la justice laïque. Il n'en sera rien!

Vous verrez on oubliera cette histoire comme on avait oublié que le père d’Edouard DELEPINE était un prêtre.



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