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Un homme de 56 ans a été condamné pour trafic de stupéfiants.


Rédigé le Vendredi 29 Novembre 2019 à 16:41 |
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Un business ponctuel mais très lucratif que le quinquagénaire pratiquait depuis 1988. Il vendait du crack principalement aux SDF. Après avoir perdu son emploi, il a rebondi en développant sa propre activité .


En 4 mois,il a gagné plus de 10.000 euros. Les forces de l’ordre ont mis fin à son commerce lors de son interpellation le 18 novembre dernier à Fort-de-France alors qu’il enchaînait les ventes. Les forces de l’ordre ont récupéré 18 grammes de crack dans la trappe à essence, 205 euros dans la voiture et 185 euros sur lui. Lors de la perquisition de son domicile, 1.100 euros ont également été saisis. L’homme de 56 ans écope de 3 ans et 6 mois de prison ferme avec mandat de dépôt.
Un homme de 56 ans a été condamné pour trafic de stupéfiants.

Complément d'information

Le crack est inscrit sur la liste des stupéfiants et est la dénomination que l'on donne à la forme base libre de la cocaïne. Par ailleurs, ce dernier terme est en fait trompeur, car le mot cocaïne désigne en réalité le chlorhydrate de cocaïne. L'origine du mot 'crack' provient du craquement sonore qu'il produit en chauffant.

La consommation de la « pasta » (nom donné au dépôt qui se fait lors de l'extraction de la cocaïne des feuilles de coca) est très répandue dans les zones de culture traditionnelle où elle se consomme dans des cigares faits de papier journal.

Cette présentation peu onéreuse se développe à partir des années 1970 d'abord au Pérou puis au Venezuela. Elle commence à s'exporter aux États-Unis quand les politiciens entreprennent de renforcer les contrôles sur les précurseurs et les solvants permettant de purifier la cocaïne et avec elle, s'exporte la façon de la purifier qui utilise alors de l'éther éthylique.

Ce procédé de purification est simplifié par les utilisateurs des Caraïbes qui chauffent la pasta avec du bicarbonate de sodium parfois de l'ammoniaque

Source wikipédia



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