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Le débat sur l’indépendance de la Martinique est-il- relancé? La réponse de Lydie GILBERT à Max DUFRENOT. Le PPM est traité de lâche!


Rédigé le Lundi 9 Juin 2014 à 10:16 |
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Posté par Lydie Gilbert le 09/06/2014 08:44 la réponse à l'article de Max DUFRENOT



Posté par Lydie Gilbert le 09/06/2014 08:44

" Le 74 n'était qu'une autonomie régionale" - Alors pourquoi le P.P.M ne l'a t'il pas approuvé, lui qui dès le IIIeme congrès de 1967 intégrait le "mot d'ordre" d'autonomie dans ses statuts ? - Le P.P.M beaucoup moins groupusculaire que le M.I.M dans les années soixante-dix aurait pu proposer, impulser cette évolution statutaire préambule à l'indépendance, d'autant que la convention du Morne-Rouge des 16, 17, 18 Août avait entre autres comme résolution : "Un Etat martiniquais autonome dans le cadre d'une France décentralisée voire fédéraliste, débarrassée du "corset jacobiniste"

- Qu'a t'il fait ?

Dès la prise de pouvoir de Mitterrand en l'an de grâce 1981, le P.P.M a "posé" une chape de plomb sur les revendications "autonomistes" -

En 2010, ces mêmes assimilationnistes du parti de Trénelle, hurlaient avec la droite sur une hypothétique peur de la perte des "acquis sociaux", résultat : un appel à voter pour demeurer au sein de "l'identité législative" de l'article 73 où l'on ne peut pas bouger une oreille sans un contrôle strict du jacobinisme de l'Etat français

- Oui ce 74 eût été juste une "évolution institutionnelle" à l'intérieur du statut, mais tout de même un minuscule "pas" vers la responsabilisation -

Si le M.I.M a renié les statuts voulus par ses pères fondateurs inhérents à "la décolonisation de la Martinique" et en devenant "autonomiste", le P.P.M lui n'est pas en reste, lui qui appela à voter contre une toute petite "évolution institutionnelle" le 10 Janvier 2010 et, se transformant par conséquent en "assimilationniste" dans la plus pure tradition de droite -

"Chabin" ou le M.I.M ne sont pas seuls en cause dans cette bérézina,

Le P.P.M, ses "pères fondateurs", ses hommes influents et son actuelle direction y ont une énorme part de responsabilité ou de lâcheté -

De grâce Monsieur Max Dufrénot ! De grâce !

Lydie Gilbert


Article à l'origine du post

Article qui à lancé le débat



POLITIQUE


1.Posté par Falljaune le 09/06/2014 16:02
Comme disait Voltaire, le laquais, en imitant les vices de ses maîtres, a l’impression de s’approprier leur puissance et c'est ça le Mouvement Indépendantistes Martiniquais et pour preuve ses deux députés à l'Assemblée Nationale du Maître. Aucun mots évoquant l'indépendance prononcé par Alfred Marie-Jeanne et encore moins par son bâtard plus PPM que mimiste de naissance.Qui peut faire croire que Boutrin Louis sympathisant MIM est Indépendandiste ou encore Sainte-Aimé ou encore le dévot Azérot ? En Martinique il n'y a aucun indépendantiste.C'est fini Nous sommes Patriotes Français un point c'est tout.Le PPM est un parti politique patrimonial progressiste colonial dans le cadre français et va suivre le cours de l'évolution historique qui donnera l'autonomie des Régions en Europe. Tous les naufragés de l'indépendance serons embarqués Arrêtez les débats à la con de 73 ou 74 et que le Makac ne se transforme pas en espace d'écriture masturbatoire pour petits bourgeois dits de gauche mais au fond de nulle part.Ma pauvre Lydie les jeux sont faits ! Et toi tu es où ?

2.Posté par Tissot Philippe le 10/06/2014 01:12 (depuis mobile)
Que de haine dans ce propos et ce commentaire... «assimilationniste» On le devient systématiquement dès que l''on est pas indépendantiste... Et si on l''est et que l''on a pris conscience de l''importance de pouvoir «financer» notre indépendance... et ab

3.Posté par Mackandal le 10/06/2014 02:18
LE NEGRITUDISME SAVANTISTE DES ENNEMIS DE L'AFRIQUE DANS L'AFRIQUE ET LES NOIRS EN OUTRE MER
6 juin 2014, 18:13
LE NEGRITUDISME SAVANTISTE DES ENNEMIS DE L'AFRIQUE DANS L'AFRIQUE ET LES NOIRS EN OUTRE MER POUR CONTRECARRER LES PLANS STRATÉGIQUES DU PANAFRICAINISME ET DE L'OUA AU PROFIT DE L'EMPIRE

LES ACTEURS DU NÉOCOLONIALISME D'AFRIQUE ET D'OUTRE MER AGENTS DU SYSTÈME SIONISTO MAÇONNIQUE DU LABORATOIRE DE LA FRANCOPHONIE NEGRITUDISTE DÉPARTEMENTALISATION (1946) et de COOPÉRATION NÉOCOLONIALISTE POUR LA FRANCE AFRIQUE CONTINENTALE ET LA FRANCE AFRIQUE OUTRE MER DE JACQUES FOCCART
les assassins de PATRICE LUMUMBA ET DES LEADERS DE UPC DU CAMEROUN OU D'AUTRES HÉROS PAN AFRICANISTES

LA TRAGEDIE A COMBATTRE POUR QUE L'AFRIQUE DEVIENNE UNE PUISSANCE MONDIALE COMME PRÉCONISE DU PANAFRICANISME

SOLUTION ETAPE LE PANAFRICANISME
L’Empire colonial, qui était menacé de destruction en Afrique et en Outre-mer par le projet de l’Organisation de l’Unité Africaine et ou du panafricanisme. S’était servi de l’arme idéologique intellectuelle etpolitique représenté de ses cadres qu’il avait organisés depuis sesinstitutions et le régiment, placés directement sous contrôle de l’Etat colonial.
Il s’agissait pour l’empire colonial de s’opposer au plan antiimpérialiste (militaite, politique, économique et identitaire) du panafricanisme et l’OUA pour libérer le continent africain et l’Outre-mer oudernières colonies sous occupation.
En Afrique continentale et en Outre-mer, l’impérialisme a utiliserpour sa défense face au panafricanisme et à l’OUA :
· l’arme idéologique intellectuelle et politique réprésentée par ses cadres organisés
· La francophonie qu’il s’agisse de l’Afrique et de l’Outre-mer avec ses intellectuels et militaires
· des intellectuels fondateurs des courants du « négrisme ».
Dès le début, l’idéologie de la négritude ses pourfendeurs, àcause du « racisme » « antiracisme » au lieu de l’anticapitalisme, a été et condamnée des mouvements de libération. L’anthropologue et philosophe Cheikh Anta DIOP anti colonialiste panafricain, et militantd’autres militants et leader, avaient dénoncé le cette déviation du négritudisme, générateurde querelles ethniques et tribales et raciales, et son représentant Lédopold Sédar Senghor,faisant du Sénégal un laboratoire expérimental du néocolonialisme en Afrique.

L’Empire colonial, qui était menacé de destruction en Afrique et en Outre-mer par le projet de l’Organisation de l’Unité Africaine et ou du panafricanisme. S’était servi de l’arme idéologique intellectuelle et politique représenté de ses cadres qu’il avait organisés depuis ses institutions et le régiment, placés directement sous contrôle de l’Etat colonial.
Il s’agissait pour l’empire colonial de s’opposer au plan anti impérialiste (militaire, politique, économique et identitaire) du panafricanisme et l’OUA pour libérer le continent africain et l’Outre-mer ou dernières colonies sous occupation.
En Afrique continentale et en Outre-mer, l’impérialisme a utiliser pour sa défense face au panafricanisme et à l’OUA :
• l’arme idéologique intellectuelle et politique réprésentée par ses cadres organisés
• La francophonie qu’il s’agisse de l’Afrique et de l’Outre-mer avec ses intellectuels et militaires
• des intellectuels fondateurs des courants du « négrisme ».
Dès le début, l’idéologie de la négritude ses pourfendeurs, à cause du « racisme » « anti racisme » au lieu de l’anticapitalisme, a été et condamnée des mouvements de libération. L’anthropologue et philosophe Cheikh Anta DIOP anti colonialiste panafricain, et militant d’autres militants et leader, avaient dénoncé le cette déviation du négritudisme, générateur de querelles ethniques et tribales et raciales, et son représentant Lédopold Sédar Senghor, faisant du Sénégal un laboratoire expérimental du néocolonialisme en Afrique. L’Empire colonial, qui était menacé de destruction en Afrique et en Outre-mer par le projet de l’Organisation de l’Unité Africaine et ou du panafricanisme. S’était servi de l’arme idéologique intellectuelle et politique représenté de ses cadres qu’il avait organisés depuis ses institutions et le régiment, placés directement sous contrôle de l’Etat colonial.
Il s’agissait pour l’empire colonial de s’opposer au plan anti impérialiste (militaite, politique, économique et identitaire) du panafricanisme et l’OUA pour libérer le continent africain et l’Outre-mer ou dernières colonies sous occupation.
En Afrique continentale et en Outre-mer, l’impérialisme a utiliser pour sa défense face au panafricanisme et à l’OUA :
• l’arme idéologique intellectuelle et politique réprésentée par ses cadres organisés
• La francophonie qu’il s’agisse de l’Afrique et de l’Outre-mer avec ses intellectuels et militaires
• des intellectuels fondateurs des courants du « négrisme ».
Dès le début, l’idéologie de la négritude ses pourfendeurs, à cause du « racisme » « anti racisme » au lieu de l’anticapitalisme, a été et condamnée des mouvements de libération. L’anthropologue et philosophe Cheikh Anta DIOP anti colonialiste panafricain, et militant d’autres militants et leader, avaient dénoncé le cette déviation du négritudisme, générateur de querelles ethniques et tribales et raciales, et son représentant Lédopold Sédar Senghor, faisant du Sénégal un laboratoire expérimental du néocolonialisme en Afrique.
L’Empire colonial, qui était menacé de destruction en Afrique et en Outre-mer par le projet de l’Organisation de l’Unité Africaine et ou du panafricanisme. S’était servi de l’arme idéologique intellectuelle et politique représenté de ses cadres qu’il avait organisés depuis ses institutions et le régiment, placés directement sous contrôle de l’Etat colonial. Il s’agissait pour l’empire colonial de s’opposer au plan anti impérialiste (militaire, politique, économique et identitaire) du panafricanisme et l’OUA pour libérer le continent africain et l’Outre-mer ou dernières colonies sous occupation. En Afrique continentale et en Outre-mer, l’impérialisme a utiliser pour sa défense face au panafricanisme et à l’OUA : • l’arme idéologique intellectuelle et politique réprésentée par ses cadres organisés • La francophonie qu’il s’agisse de l’Afrique et de l’Outre-mer avec ses intellectuels et militaires • des intellectuels fondateurs des courants du « négrisme ». Dès le début, l’idéologie de la négritude ses pourfendeurs, à cause du « racisme » « anti racisme » au lieu de l’anticapitalisme, a été et condamnée des mouvements de libération. L’anthropologue et philosophe Cheikh Anta DIOP anti colonialiste panafricain, et militant d’autres militants et leader, avaient dénoncé le cette déviation du négritudisme, générateur de querelles ethniques et tribales et raciales, et son représentant Lédopold Sédar Senghor, faisant du Sénégal un laboratoire expérimental du néocolonialisme en Afrique. L’Empire colonial, qui était menacé de destruction en Afrique et en Outre-mer par le projet de l’Organisation de l’Unité Africaine et ou du panafricanisme. S’était servi de l’arme idéologique intellectuelle et politique représenté de ses cadres qu’il avait organisés depuis ses institutions et le régiment, placés directement sous contrôle de l’Etat colonial. Il s’agissait pour l’empire colonial de s’opposer au plan anti impérialiste (militaite, politique, économique et identitaire) du panafricanisme et l’OUA pour libérer le continent africain et l’Outre-mer ou dernières colonies sous occupation. En Afrique continentale et en Outre-mer, l’impérialisme a utiliser pour sa défense face au panafricanisme et à l’OUA : • l’arme idéologique intellectuelle et politique réprésentée par ses cadres organisés • La francophonie qu’il s’agisse de l’Afrique et de l’Outre-mer avec ses intellectuels et militaires • des intellectuels fondateurs des courants du « négrisme ». Dès le début, l’idéologie de la négritude ses pourfendeurs, à cause du « racisme » « anti racisme » au lieu de l’anticapitalisme, a été et condamnée des mouvements de libération. L’anthropologue et philosophe Cheikh Anta DIOP anti colonialiste panafricain, et militant d’autres militants et leader, avaient dénoncé le cette déviation du négritudisme, générateur de querelles ethniques et tribales et raciales, et son représentant Lédopold Sédar Senghor, faisant du Sénégal un laboratoire expérimental du néocolonialisme en Afrique.

C’est à l’origine de cette incubation idéologique qu’un pseudo nationalisme antillo guyanais, calqué des aberrations sur le nationalisme français et européen, ait choisi et opté contre l’identité de nos peuples. Ce nationalisme pro français dans son contenu idéologique avait pour mission d’être formaté pour : rejeter les contenances identitaires et civilisitionnels africains amérindiens et indous considérés comme « des civilisations inférieures» par rapport « aux civilisations supérieures françaises et européennes » tutélaires de l’athéisme, du matérialisme de l’assistanat, transfert de fonds coloniaux francco-européens (seules perspectives pseudo économiques) du nationalisme antillo guyanaisde l’éducation nationale et des universités franço antillo guyanaises ayant rejeté les identités africaines de nos populations…
Les agents de la néocolonisation francophonie négritude départementalisation coopération France Afrique continental et France Afrique Outre mer: Ouviiers de Jacques Foccart assassin de Patrice Lumumba des PANAFRICANISTES DE L'UPC du Caméroun et autres

4.Posté par Lydie Gilbert le 11/06/2014 06:30
Les "identités africaines" sont multiples dans les Caraibes et, ne peuvent être considérées comme seules composantes de ces "nations" caribéennes - Les "notions" sur l'identité sont éminemment complexes sous ces latitudes, puisque nous sommes passés en moins de quarante ans d'une croyance de l'identité de racine unique à une espérance de l'identité rhizome - Nos "identités" ne pouvaient être qu'africaines, qu'européeenes, qu'indiennes, que chinoises ou que syro-libanaises, ce serait vite occulter "l'hétéroclisme" du peuplement de ces pays dits "territoires" français après le génocide des amérindiens -

Les "départementalisations" puis les régionalismes de l'Europe ont créé une sorte de provincialisation accrue de pays qui auraient dû être depuis longtemps décolonisés - C'est le cas par exemple pour la Martinique ou la Guadeloupe, inscrites jusqu'en 1947 sur la liste des pays à décoloniser auprès de l'O.N.U - La colonisation française, elle, essaie d'assimiler toujours au détriment du "peuple" colonisé -
Ce qui a tendance à disparaître en Martinique, pour ne parler que d'elle, c'est la conscience qu'on appartenait à quelque chose d'autre que la France, une franco-européanisation de plus en plus présente, "sournoise" mais bien réelle doublée du paradoxe de se sentir "caribéens" ou d'appartenir au pan-caribéanisme - Un grand écart permanent entre la "mère-patrie" et ce que l'on se voudrait d'être -

Une identité "rhizome" n'empêche pas de se constituer en "Etat-Nation" - Ils pourront utiliser tous les termes sans aucun fondement sémantique qu'ils souhaitent (départements d'outre-mer, régions ultra-périphériques, collectivités d'outre-mer, régions d'outre-mer, territoires d'outre-mer), ces pays demeurent les dernières colonies au monde ayant vocation à être décolonisés -

Lydie Gilbert

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