Excepté au Royaume-Uni, cet enchaînement est partagé par l'ensemble des principales économies européennes
: l'Allemagne, l'Espagne et même l'Italie ont des trajectoires haussières marquées et la synchronisation des zones et des secteurs auto-renforce la dynamique en cours.
La France n'est pas en surchauffe et dispose encore de marges pour aller plus haut, sans tension excessive. C'est bien pourquoi nous tablons pour 2018 sur une accélération, sans emballement, de la croissance à 2,1%, un plus haut depuis 2011. [...]
Et la Martinique dans tout cela ?
Modèle, économie, produit on ne peut pas dire que les entreprises Martiniquaises aient procédé à leur mutation de relais et de comptoir. Nous observons que le BTP attend un boostage des appels d'offres lorsque , par ailleurs on parle d'innovation. C'est le cas de tout ce qui se passe concernant par exemple la question de la transformation climatique, et pas que là.
L’intérêt de cette étude est de découvrir les bons chiffres en espérant que cette croissance en Europe finira par échouer sur nos rivages martiniquais.
La France n'est pas en surchauffe et dispose encore de marges pour aller plus haut, sans tension excessive. C'est bien pourquoi nous tablons pour 2018 sur une accélération, sans emballement, de la croissance à 2,1%, un plus haut depuis 2011. [...]
Et la Martinique dans tout cela ?
Modèle, économie, produit on ne peut pas dire que les entreprises Martiniquaises aient procédé à leur mutation de relais et de comptoir. Nous observons que le BTP attend un boostage des appels d'offres lorsque , par ailleurs on parle d'innovation. C'est le cas de tout ce qui se passe concernant par exemple la question de la transformation climatique, et pas que là.
L’intérêt de cette étude est de découvrir les bons chiffres en espérant que cette croissance en Europe finira par échouer sur nos rivages martiniquais.
Cette situation sur les technologiques est encore plus criante en MARTINIQUE. La révolution numérique et l'émergence des plateformes exposent de plus en plus de services à la concurrence internationale. Le problème de compétitivité de la France ne se limite pas à l’industrie ou à un coût du travail trop élevé sur la partie non-qualifiée de la main-d’œuvre. Le problème est global : désormais, les services, même haut de gamme, sont sur la mauvaise pente. Ce qui est bien plus alarmant.
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