Mais il est en Martinique et c’est là qu’il creuse son empreinte. Ou il choisit d’être éphémère, ou il devient monumental. Ou il est aquatique, ou il recherche la houle sous-marine. Laurent VALERE est toujours spatial. En permanence Laurent VALERE travaille dans les trois dimensions : La négritude, les couleurs de la caraïbes, et la recherche de simplification dans un fouilli si riche si dense si illimité, les richesses de notre environnement.
C’est en finesse qu’il nous interpelle. Laurent VALERE ne fait jamais rien de choquant. Laurent VALERE conjugue le beau à tous les temps. Il cherche le beau, fait du beau, trouve le beau, habille le beau et finit lui-même par être beau. Ça se sent Laurent VALERE aime les gens.
Dans sa nouvelle inspiration il réalise une nouvelle œuvre monumentale. Il parait que c’est une porte. Est-ce celle du non-retour. C’est surprenant ! Une porte dans un pays où l’on va droit au mur. C’est salvateur. Pourrait-on ainsi trouver la liberté ?
Chacun vit la découverte d’une œuvre avec ses peines, ses joies et ses questionnements. Comment va être interprétée cette fente entre deux grosses lèvres ? Est-ce la nouvelle matrice ? Le buzz a commencé sur internet vivement que nous passions du virtuel au magnifique.
Chacun vit la découverte d’une œuvre avec ses peines, ses joies et ses questionnements. Comment va être interprétée cette fente entre deux grosses lèvres ? Est-ce la nouvelle matrice ? Le buzz a commencé sur internet vivement que nous passions du virtuel au magnifique.