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Notre raison d'être : informer, analyser, révéler, expliquer pour anticiper un réel immédiat et le futur ...

RODOLPHE DESIRE MAIRE DU MARIN REPOND A GARCIN MALSA MAIRE DE SAINT- ANNE

 Lecteur
Lundi 17 Mai 2010

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Deux maire dit nationalistes qui s'entretuent... et si c'était un leurre pour cacher l'affaire de la SEM SUD où tous les deux ils y sont ? Hein messieurs vous êtes des petits malins dites nous plutôt la vérité sur le SEM SUD !!!
Un anti colonialiste qui va sangloter pour le procureur de la République française !!! Ces mêmes qui parlent de responsabilité.Quel pays qu'est le nôtre,vivement 2014 pour que disparaissent ces deux messieurs.
 An yich milet épi chouval
Lundi 17 Mai 2010

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La pollution est la plus symbolique des externalités négatives que la théorie économique, depuis Alfred Marshall, s'attache à mettre au jour : on parle d'externalité négative lorsque l'activité d'un agent induit des coûts « impensés », involontaires, pour d'autres, sans que ces coûts ne donnent lieu à des transactions monétaires. De plus en plus pourtant, ces externalités vont justement donner lieu à des évaluations monétaires des coûts et bénéfices sociaux . S'il y eu pollution quel en est le coût ? Garcin Malsa ne donne pas le coût ? ( Au fait il faut publier l'attaque de Garcin Malsa )
La pollution pose la question du développement durable qui constitue une interrogation quant au caractère rationnel, d'un point de vue intertemporel, des choix de production et de consommation. Le rapport de la commission Brundtland de 1987 la définissait comme « un développement qui répond aux besoins du présent sans hypothéquer la capacité des générations futures à répondre à leurs propres besoins ». L'action du Maire du Marin aura-t-elle une incidence sur les générations futures ?
Face à ces problèmes, quel peut être le rôle des pouvoirs publics ?
Doit-il user de son pouvoir de taxation pour limiter la pollution ou doit-il s'effacer au profit de mécanismes de marché aptes à faire émerger des solutions spontanées ? Par qui ?
La prise en compte des coûts de la pollution et la nécessité de rendre le développement ou plus généralement la croissance non pénalisante pour l'avenir manifestent une prise de conscience . Face à ces problèmes, les représentants des pouvoirs publics peuvent être amenés à intervenir et la microéconomie et l'économie dite du bien-être justifient cette immixtion de l'etat dans derelations économiques décentralisées.
En clair, si le développement de la Martinique passe par ce dragage Garcin Malsa doit la fermer car la Pointe-Marin de Saint-Anne est polluée et dans la partie face au bourg des plaisanciers au mouillage polluent .
Le Maire de la Ville du Marin a-t-il respecté les régles dans son opération ?
Qui a contrôlé ?
En vérité ces opérations sensibles devraient être faite sous contrôle.
Que fait l'Espace-Sud ? et Garcin Malsa au lieu de faire des Marches,il devrait s'occuper de la Baie de Saint-Anne sinon il laissera ce travail à son successeur la Dame Antonin... encore 4 ans pour que Saint-Anne entre dans la modernité.
Laisser GM marcher ,c'est pas mal tout ça !!!

 La Force de Regarder Demain
Lundi 17 Mai 2010

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MALSA ET DESIRE LISEZ CE TEXTE ET MARCHER ENSEMBLE:
Les droits de l’Homme et les droits de la nature sont les deux noms d’une même dignité nous dit Eduardo Galeano, écrivain urugayen, auteur de "les veines ouvertes de l’Amérique Latine", s’est adressé aux délégués de la Conférence des peuples sur le Climat qui s’est tenue du 19 au 22 avril derniers en Bolivie. Dans son message, il explique le lien fondamental entre le respect des droits humains et des droits de la Terre-mère.

Autant Garci Malsa que Rodolphe Désiré doivent être attentif à Eduardo.

Selon Eduardo Galeano « depuis la Renaissance européenne, la nature est devenue une marchandise ou un obstacle au progrès de l’homme ».Pourvu que nous soyons capables de faire avancer les deux initiatives: le Tribunal de la justice climatique et le Référendum mondial, contre un système de pouvoir fondé sur la guerre et le gaspillage, qui méprise la vie humaine et vend nos terres au plus offrant !

Pourvu que nous soyons capables de parler peu et d’agir beaucoup ! Grand mal nous a été fait, et continue à nous être fait, à cause de l’inflation des mots, qui est en Amérique Latine plus nocive que l’inflation monétaire. Et aussi, et surtout, nous sommes fatigués de l’hypocrisie des pays riches qui sont en train de nous laisser sans planète tout pendant qu’ils prononcent de pompeux discours pour dissimuler l’enlèvement.(E t ajoutons du comportement des hommes)

Certains disent que l’hypocrisie est l’impôt que paie le vice à la vertu.
D’autres disent que l’hypocrisie est l’unique preuve de l’existence de l’infini.

Et les déclarations de ce qu’on appelle la « communauté internationale », ce club de banquiers et de guerriers, nous montrent que les deux définitions sont correctes. Je veux célébrer, cependant, la force de vérité qui irradie des mots et des silences naissant de la communion humaine avec la nature. Et ce n’est pas un hasard si ce Sommet de la Terre Mère a lieu en Bolivie, cette nation des nations qui se redécouvre après plus de deux siècles de mensonges.
La Bolivie vient juste de fêter les dix ans de la victoire populaire dans la guerre de l’eau, lorsque le peuple de Cochabamba fut capable de mettre en déroute une entreprise californienne toute-puissante, et propriétaire de l’eau par l’opération d’un gouvernement qui se disait bolivien et était fort généreux avec les autres. Cette guerre de l’eau fut une des batailles que cette terre continue de livrer pour défendre les ressources naturelles, c’est-à-dire : pour défendre son identité avec la nature. Il y a des voix du passé qui parlent à l’avenir. La Bolivie est une des nations américaines où les cultures indigènes ont su survivre, et ces voix résonnent aujourd’hui avec plus de force que jamais, malgré le long temps de la persécution et du mépris.

Le monde entier, tout hébété qu’il est, déambulant comme un aveugle dans une fusillade, devrait écouter ces voix. Elles nous apprennent que nous, petits humains, faisons partie de la nature, et sommes parents de tous ceux qui ont des jambes, des pattes, des ailes ou des racines. La conquista européenne a condamné tous les indigènes qui vivaient cette communion et y croyaient à être fouettés, égorgés ou brûlés vifs pour idolâtrie.
Depuis la Renaissance européenne, la nature est devenue une marchandise ou un obstacle au progrès de l’homme.

Et aujourd’hui encore, ce divorce entre nous et elle persiste, à tel point qu’il est toujours des gens de bonne volonté qui ont pitié pour cette pauvre nature, si maltraitée, si abîmée, mais qu’ils considèrent du dehors. Les cultures indigènes la voient du dedans. En la voyant, je me vois. Ce qui est dirigé contre elle l’est contre moi. Je me (re)trouve en elle, mes jambes sont aussi le chemin qu’elles font. Alors célébrons ce Sommet de la Terre Mère !
Et pourvu que les sourds nous écoutent : les droits de l’Homme et les droits de la nature sont les deux noms d’une même dignité.

LISEZ CE TEXTE MM MALSA ET DESIRE.
 POPOL
Lundi 24 Mai 2010

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La bêtise a deux manières d'être: elle se tait ou elle parle. La bêtise muette est supportable. La bêtise de Garcin Malsa n’est pas muette. En fait, c’est un défaut d'intelligence, de jugement, de bon sens, ou des notions les plus communes sur l'environnement, sa bêtise risque de le perdre. Mais le Rodolphe Désiré est un drôle de loustic. La presse devrait s’intéresser sur ce qui se passe dans sa commune. Le développement du Marin vers la Mer c’est surtout Gleen et Eric Jean-joseph et ses collaborateurs et pas ce maire parleur ... qui prépare sans doute sa sortie et fait tout pour barrer la porte à l'insignifiant petit homme des békés Jo Mirande.
 POPOL
Lundi 24 Mai 2010

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La bêtise a deux manières d'être: elle se tait ou elle parle. La bêtise muette est supportable. La bêtise de Garcin Malsa n’est pas muette. En fait, c’est un défaut d'intelligence, de jugement, de bon sens, ou des notions les plus communes sur l'environnement, sa bêtise risque de le perdre. Mais le Rodolphe Désiré est un drôle de loustic. La presse devrait s’intéresser sur ce qui se passe dans sa commune. Le développement du Marin vers la Mer c’est surtout Gleen et Eric Jean-joseph et ses collaborateurs et pas ce maire parleur ... qui prépare sans doute sa sortie et fait tout pour barrer la porte à l'insignifiant petit homme des békés Jo Mirande.