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LA FACE CACHEE D’ALFRED MARIE-JEANNE


Rédigé le Mardi 9 Mars 2010 à 13:28 |

ENQUETE DE LA REDACTION. Si l’honnêteté du Président sortant pendant longtemps n’a pas été mis en cause, le contexte actuel met en avant un homme qui alimente des opérations dans lesquelles sa fille n’est pas très éloignée donc pas si honnête que ça, et surtout utilise le mensonge comme arme de destruction massive, tout en se battant pour diviser le Peuple Martiniquais


ATTENTION ne nous méprenons pas cet article bien que faisant actuellement le tour de la toile est hors contexte. Il date de 2010 et Rédigé le Mardi 9 Mars 2010 à 13:28 | Lu 1934 fois | 8 commentaire(s) Vouloir en faire un article actuel n'est pas sérieux d'autant que depuis quelques jours la ligne d'opinion de MAKAC LA est davantage à observer le silence de MR MARIE JEANNE. Il à même été indiqué que le PPM se faisait mal tout seul avec une communication désastreuse. IL CONVIENT DONC de considérer que cet article n'est pas actuel même si depuis deux jours il à connu un grand nombre de visites. Les réseaux sociaux ont cette particularité celle de regrouper des gens qui s'ennuient à la recherche de sensations fortes. Cordialement et bon dimanche

ALFRED MARIE-JEANNE FRAPPE DU SYNDROME DE PINOCCHIO

Alfred Marie-Jeanne est marqué par le syndrome de Pinocchio, c’est à dire un ensemble de signes cliniques et de symptômes qu’il présente lors de ses interventions, il devient tout rouge et il a le nez qui s’allonge et qui enfle. Observer le avec attention en Télé…
C'est ce syndrome de Pinocchio qui le dépeint comme un menteur et un comédien de talent. C’est vrai que pour le président sortant le mensonge n’est pas un péché mortel, et que par conséquent vérité et politique doivent faire bon ménage.
Maître dans le mensonge manipulateur et qui estime qu'il n'a pas à déterminer sa conduite ou ses dires sur ce qui est; il affirme, ce faisant, sa volonté de changer la réalité, d'aller au-delà. Par le mensonge, il tient un pari, qui tourne à la réussite ou à la catastrophe, d’autant que les médias propagent ces mensonges édifiants. Seul une presse indépendante peut rétablir la vérité des faits occultés. Pour que fonctionne la démocratie, les journalistes doivent faire leur métier et avoir le courage de demander à ceux qui insinuent de répéter, de confirmer ce qu'ils avancent dans leurs discours, car le verbe, n'est pas du vent. Mais notre Pinocchio créole terrorise la presse.

LES MENSONGES DE MARIE-JEANNE

Que dit un menteur délégué : « Alfred Marie-Jeanne a une rigueur dans la gestion des affaires publiques est reconnue par les milieux économiques. A ce titre, le Ministère de l’Intérieur, de l’Outre-Mer et des Collectivités territoriales a établi un classement 2009 des Régions les mieux gérées de France. La Région Martinique est classée 3°/26 quant à l’investissement en équipement/habitant. Eh oui ! La Région Réunion classée 2nd se retrouve la Région la plus endettée de France quand celle de Martinique demeure la moins endettée (1ère/26 Régions) quant à la fiscalité, Marie-Jeanne n’a jamais augmenté les impôts en 12 ans et la Région Martinique est classée 6°/ 26. (Ces bons résultats sont obtenus durant l’année 2009 c’est-à-dire, en pleine crise financière internationale et malgré les conséquences de la révolte sociale de Février-Mars 2009). »

LA VERITE DES FAITS EST LA …

Alfred-Marie Jeanne est un menteur, Les finances régionales étaient parfaitement saines- car les deux premiers budgets de 1998 et 1999, ont désendetté massivement la région. 137 millions d’euros furent ainsi remboursés en deux ans. Il n’y avait pas de déficit régional ! En effet, comment une collectivité pourrait-elle rembourser en si peu de temps une somme aussi importante si elle n’avait pas une excellente situation financière ?

ALFRED MARIE-JEANNE A CASSE LA CROISSANCE ECONOMIQUE DU PAYS

En réduisant l’investissement régional de 10%, il a cassé la dynamique de croissance existant à cette époque. Le taux de croissance de la Martinique, s’est effondré de 3,6% en 1998, à 0,7% dès 2000. Et comme pendant la même période, le taux de croissance de la Guadeloupe passait de 3,4% en 1998 à 4,9 % en 2000, l’île sœur dépassait la Martinique, en termes de PIB, pour la première fois de son histoire. A ce jour, la situation n’a pas changé. Alors qu’en 1998, le PIB de la Martinique était de 5 milliards d’euros et celui de la Guadeloupe de 4,8 milliards. En 2008, le PIB Guadeloupéen avait atteint 7,8 milliards d’euros et celui de la Martinique 7,6 milliards!
Politique clientéliste

ALFRED MARIE-JEANNE A OUVERT UNE BOUTIQUE REGIONALE

La démarche est simple : Pas d’activité, donc peuple en souffrance… et le sauveur est là. A cet effet, il créa dès 1999, une ligne spéciale d’« aide sociale» au sein du budget du Conseil Régional, une institution dont la mission à l’origine est pourtant d’impulser le développement économique. Ainsi peut-on constater que le cumul dépenses réalisées en fonctionnement et investissement sur la ligne budgétaire « santé et action sociale » sont passées de 13,2 millions d’euros en 2006 à 26,5millions d’euros en 2007, année précédent les élections municipales pour retomber à 12,9 millions en 2008.
A quoi à bien pu servir cet accroissement brutal des aides sociales si ce n’est à acheter la conscience d’électeur ? Sur le terrain, on a vu la méthode à l’œuvre dans les communes de Sainte Luce, Rivière-Salée, Trois-Îlets, Saint-Esprit.

Dans les permanences rutilantes où était installé le candidat du MIM, les électeurs pouvaient remettre leurs demandes d’aide au candidat qui s’engageait à les acheminer aux services de la région. A l’approche du scrutin, ils étaient informés par le candidat lui-même, personnellement, des sommes qui leur avaient été attribuées. Et c’est une question posée en plénière par notre regrettée Christiane Dorléans, concernant cette opération clientéliste qui déclencha la colère hystérique du sortant, dont l’image du visage grimaçant, les lèvres tremblantes, est restée à ce jour dans toutes les mémoires.
C’est ça le vrai visage de ne notre Pinocchio créole.

Au cours de ses deux mandatures, il mit la Région sous anesthésie générale, en pratiquant une politique basée sur les principes d’un archaïsme inouï: ne pas emprunter, et donc, maintenir l’investissement régional au niveau le plus bas ; refuser de travailler dans un esprit coopératif avec l’Etat ; n’accompagner les projets d’autres collectivités qu’en échange d’une contrepartie politique (tel que le vote à main levée en faveur de l’article 74 !) ; intimider par la menace tous ceux qui osent critiquer sa politique et proposer une alternative. Et de surcroit, tout en dénonçant à cris d’orfraie ce qu’il appelle l’assistanat, il n’hésita pas à acheter la conscience des électeurs grâce à l’aide aux associations, à l’organisation de fêtes et de jeux fastueux, et à l’aide sociale individuelle aux personnes.

LE MACOUTISME REGIONALE EN MARCHE

Les colères de notre Pinocchio créole dépasse les frontières du pays Martinique. A l’instar de ces dictateurs tropicaux dont l’histoire de la Caraïbe regorge d’exemples -Trujillo en République Dominicaine, Batista à Cuba, Duvalier en Haïti ou Eric Gairy à la Grenade- le faux-chabin aux yeux bleus brilé zié neg ne conçoit la gouvernance que centralisée, personnalisée, despotique.
Toute décision ne peut être prise que par lui et selon son bon vouloir. Toute relation ne peut-être que de domination de sa part et de soumission pour les autres. Les idées de collaboration, de coopération, de délégation de responsabilité… ne font pas partie de son univers mental, et tout seul les yeux fermés Pinocchio a investit des sommes importantes dans l’intérêt de son gendre au nom de la coopération.

AU NOM DU PERE, DE LA FILLE ET DU BEAUFILS …

La nouvelle religion régionale a une prière commençant par le signe : au nom du père, de la fille et du beau fils.
Notre père qui est au Palais de Cluny que ton nom soit sanctifié, que ton règne se poursuive, que ta volonté soit faite à Rivière-Pilote…donnes nous notre manne pour construire au nom de la coopération de belles écoles pour nos frères Dominicais et Grenadiens .Amen.
Cette prière récitée permettait de faire sortir de notre Martinique des sommes importantes : des millions d’euros qui auraient été fort utile en Martinique.

LA POLITIQUE DU : PAS DE DETTES MWEN CONTENT …

Pinocchio devient Harpagon, oubliant que les finances régionales appartiennent au Peuple. A tout bout de parole c’est le lajen mwen !!!
Et pourtant notre faux chabin au yeux bleus brilé zié neg , n’a pas compris que personne ne peut tout savoir, tout décider, ni tout faire, cette conception archaïque de la gouvernance se traduit par une incapacité à réaliser le moindre projet d’envergure. Une incapacité même d’utiliser de manière complète et satisfaisante les crédits mis à la disposition de la région.
Loin de constituer la preuve d’une bonne gestion, les excédents budgétaires exhibés par le sortant de sont que l’expression des conséquences négatives d’une politique faite d’autoritarisme, de clientélisme et de démagogie. Les excédents budgétaires générés par cette politique ont été de plus en plus importants : 20 millions d’euros en 2000, 55 millions en 2002, 67 millions en 2007, 28 millions en 2008.

Ce qui correspond à une stérilisation sans précédent des moyens financiers des contribuables martiniquais et à la mise à la disposition de l’État, que par ailleurs il exècre, d’une abondante trésorerie dont ce dernier fait ses choux gras. D’autre part, elle s’est traduite par une diminution régulière de la part des dépenses d’investissement par rapport au fonctionnement, dans le budget régional: de 63,3% en 1999, elle est passée à 59,6% en 2002, et 49% en 2006.

En 2008, l’investissement régional n’est plus que de 46,5 %, ce qui confère à la Martinique la sombre distinction d’être parmi les régions d’Outre-mer, la seule dont les dépenses de fonctionnement sont supérieures à celles d’investissement. En 2008, à la Guadeloupe, les dépenses d’investissement représentaient 53,4% du budget et à la Réunion 68,4%.

EPI CHABEN SE LA FET LA KI BEL

Parmi les dépenses de fonctionnement, celles consacrées aux « Fêtes et Cérémonies » passaient de 100 000 à 1 438 811,49 € entre 1998 et 2008. Une augmentation de 1400 % en dix ans. Panem et circenses, du pain et des jeux, telle est la devise du maître de plateau Roy!
A la même date,exprimées par tête d’habitant, les dépenses d’équipement brut s’élevaient à 207 € à la Martinique tandis qu’en Guadeloupe elles étaient de 249 € et à la Réunion de 503€.
Mais sur le période 2005-2008, les dépenses de fonctionnement par tête d’habitant de la région Martinique s’accroissaient de 25%. Et, cerise sur le gâteau, parmi les dépenses de fonctionnement, celles consacrées aux « Fêtes et Cérémonies » passaient de 100 000 à 1 438 811,49 € entre 1998 et 2008. Une augmentation de 1400 % en dix ans. Panem et circenses, du pain et des jeux, telle est la devise du maître de plateau Roy!

En tout cas point n’est besoin d’être grand économiste pour savoir que seul l’investissement public, financer par l’emprunt, permet de relancer l’activité économique et que ce faisant, il accroît les recettes fiscales, fournissant ainsi les moyens nécessaires pour rembourser l’emprunt.

EN GUADELOUPE ET EN GUYANE

Les présidents des conseils régionaux de la Guadeloupe et de la Réunion l’ont compris depuis longtemps. En 2008, alors qu’à la Martinique, le remboursement de la dette était égal à 0,0 € il était de 24,8 millions en Guadeloupe et 23,5 millions à la Réunion. Mais ces deux régions s’en acquittaient sans difficulté puisque la Guadeloupe dégageait une épargne nette de 63 millions € après acquittement de sa dette, et la Réunion, 168 millions, contre 71 millions pour la Martinique.



POLITIQUE


1.Posté par TITAN le 09/03/2010 13:44
Vous avez oublié ,mais c'est bien trouvé le nom PINOCCHIO .

Mensonge numéro un :

la construction du stade (qui doit porter son nom) par des entreprises locales et sans subvention : faux ! Une société totalement extérieure en a fait les gros œuvre et lorsque la ville de rivière pilote a commencé à s’essouffler, il a demandé et obtenu des subventions comme tout le monde.
Mensonge numéro deux : Le faux appel d’offre le la ligne Josseau. L’attributaire n’était pas qualifié comme transporteur.

Mensonge numéro trois : échec d’Air Martinique : lorsque le tribunal à décidé d’un non lieu dans le cadre de la plainte déposée par le collectif de salariés, Marie Jeanne a dissuadé le représentant des salariés plaignants d’aller en cassation : il savait que ce serait un nouvel échec. L’arrêt des subventions promises à la société et le refus de renforcer le capital de l’entreprise, risquaient de faire éclater sa responsabilité aux yeux des salariés, des martiniquais et de toute la France !

Aujourd’hui, Air Caraïbe, qui a pris la succession d’Air Martinique, avec une grande partie des salariés, correctement capitalisé par ses actionnaires, gagne de l’argent.
Cependant, il continue à parler de l’affaire Air Martinique !

Mensonge numéro quatre : l’échec de la SEMAIR. A la date d’aujourd’hui, plusieurs dizaines d’entreprises sont installées à la SEMAIR au Robert et représentent plusieurs centaines d’ emplois.

Mensonge numéro cinq : la région en déficit et Marie Jeanne en sauveur. Lorsque Marie Jeanne a été élu président du conseil régional en 1998, il n’y avait aucun déficit mais un endettement normal dont les échéances étaient régulièrement payées.Marie Jeanne est incapable de présenter le moindre document pour prouver ses accusations qui sont des mensonges éhontés.

Par contre, confondant déficit et endettement, Marie Jeanne a remboursé par anticipation, des prêts qu’aucune banque ne lui avait demandé de rembourser, prélevant sur les impôts payés par nous.En conséquence de quoi, l’argent pris dans la poche des contribuables est allé dans la poche des banquiers !

Mensonge numéro six : il allait dézenkayer la Martinique.
Pendant qu’il plongeait pour dézenkayer, le pays était, en réalité, à la dérive.

Après six années, la Martinique n’étant pas dézenkayée, il décide de palantcher.
N’ayant pas de palan, le palantchage ne réussit pas et finalement, en février 2009, les salariés et les personnes qui souffrent, lancent une balise de détresse dans les rues pour lui montrer l’ampleur de la dérive.

Marie jeanne et sa pépinière de menteurs, à laquelle s’est associée le RDM, sont les seuls à ne pas avoir vu cette balise de grande détresse.

Les mensonges nouveaux ou presque
Mensonge numéro sept : le déficit de la mairie de Fort de France. Nous nous cantonnons à la gestion de Serge LETCHIMY, depuis son arrivée à la mairie, puisque c’est lui le candidat aux régionales.
Les résultats du compte administratif de la ville de Fort de France des comptes soumis au contrôle de légalité. Pas une seule fois, au cours des huit exercices, la ville n’est en déficit.
Alfred le sait, mais le respect de la vérité et le respect des martiniquais ne sont pas son problème !
Mensonge numéro huit : les salaires de la ville de Fort de France ont été gelés en 2008.

La réponse vient d’un flash infos du syndicat CGTM-SOEM, reçu dans les boites aux lettres. Le Président de la Région dit que le salaire des agents de la ville de Fort de France a été bloqué durant l'année 2008. C'est TOTALEMENT FAUX. Il n'y a jamais eu de blocage de salaires à la Mairie de Fort de France. Et nous. les Elus CGTM-SOEM fustigeons ce genre de mensonge car cela voudrait dire Que nous sommes de mèche avec le Maire de Fort de France.

Mensonge numéro neuf : le déficit de la CACEM
La mission de la CACEM est d’assurer les investissements de la communauté du Centre de la Martinique. Pour financer ses investissements, elle fait appel soit aux subventions des collectivités, soit à ses ressources propres, soit aux emprunts.
Puisqu’il s’agit de construire l’avenir, les emprunts constituent la principale source de financement. La règle est donc d’avoir les moyens de rembourser les annuités de l’emprunt. Que les menteurs nous disent quelles sont les échéances de l’emprunt dont le solde est de 63 millions d’euros pour une durée résiduelle de 13 ans, dont le montant n’a pas été payé.

La Mensonge numéro dix : le conseil régional a un projet : le SMDE
Le schéma de développement régional, demandé par l’Etat pour permettre au conseil régional de gérer les aides de l’Eta et de l’Europe n’est tellement pas un projet de développement que nous sommes aujourd’hui dans la plus grande détresse avec un chômage touchant cinquante mille martiniquais et un martiniquais sur cinq en dessous du seuil de pauvreté !

Mensonge numéro onze : le conseil régional n’a pas de compétence économique. En réalité, le conseil régional doit coordonner le développement économique dans la région. Pour cela, il doit se concerter avec l’Etat et les autres collectivités. Aucune concertation n’a jamais eu lieu, bien au contraire : il fait tout seul.
Mensonge numéro douze: man pa kaï chayé dlo en pannier. Si ou wè 74 la paka pasé, mwen menm ké sav sa pou mwen fè, man péké kontinyié tout lavi mwen chayé dlo an pannyé ba pèsonn ". s’il est à nouveau candidat, c’est qu’il a décidé de chayé dlo en pannier ! Sinon de chercher à faire entrer l’article 74 par la bande.

Mensonge numéro treize, Marie-Sainte prend le relais sur RCI: « peut-on nous reprocher d’avoir envoyé trois feuilles de tôle à nos malheureux voisins de la Dominique pour recouvrir une école découverte par un cyclone ? »

Trois feuilles de tôles pour un million cinq cent mille euros !

Millions à échéance de Les mensonges anciens qui reviennent à la surface

Mensonge numéro quatorze: Mari e Jeanne est un homme intègre
Les affaires de Dominique et de Grenade et les embauches familiales montrent bien que l’homme sait bien servir parents, amis et alliés.

Mensonge numéro quinze: Marie Jeanne ne zigzague jamais !
C’est çà ! Un coup il n’organise pas d’élections européennes à Rivière pilote, demande de ne pas voter aux législatives et aux présidentielles, l’autre coup, il se fait élire député.

Un coup il interdit au Racing club de Rivière pilote de participer à la coupe de France de football, l’autre coup, devenu Monsieur le député, il les aide à participer.

Voilà l’homme et son entourage,qui doivent laisser la place le 14 mars à ceux qui veulent faire avancer la Martinique.




2.Posté par TITAN le 09/03/2010 13:44
Vous avez oublié ,mais c'est bien trouvé le nom PINOCCHIO .

Mensonge numéro un :

la construction du stade (qui doit porter son nom) par des entreprises locales et sans subvention : faux ! Une société totalement extérieure en a fait les gros œuvre et lorsque la ville de rivière pilote a commencé à s’essouffler, il a demandé et obtenu des subventions comme tout le monde.
Mensonge numéro deux : Le faux appel d’offre le la ligne Josseau. L’attributaire n’était pas qualifié comme transporteur.

Mensonge numéro trois : échec d’Air Martinique : lorsque le tribunal à décidé d’un non lieu dans le cadre de la plainte déposée par le collectif de salariés, Marie Jeanne a dissuadé le représentant des salariés plaignants d’aller en cassation : il savait que ce serait un nouvel échec. L’arrêt des subventions promises à la société et le refus de renforcer le capital de l’entreprise, risquaient de faire éclater sa responsabilité aux yeux des salariés, des martiniquais et de toute la France !

Aujourd’hui, Air Caraïbe, qui a pris la succession d’Air Martinique, avec une grande partie des salariés, correctement capitalisé par ses actionnaires, gagne de l’argent.
Cependant, il continue à parler de l’affaire Air Martinique !

Mensonge numéro quatre : l’échec de la SEMAIR. A la date d’aujourd’hui, plusieurs dizaines d’entreprises sont installées à la SEMAIR au Robert et représentent plusieurs centaines d’ emplois.

Mensonge numéro cinq : la région en déficit et Marie Jeanne en sauveur. Lorsque Marie Jeanne a été élu président du conseil régional en 1998, il n’y avait aucun déficit mais un endettement normal dont les échéances étaient régulièrement payées.Marie Jeanne est incapable de présenter le moindre document pour prouver ses accusations qui sont des mensonges éhontés.

Par contre, confondant déficit et endettement, Marie Jeanne a remboursé par anticipation, des prêts qu’aucune banque ne lui avait demandé de rembourser, prélevant sur les impôts payés par nous.En conséquence de quoi, l’argent pris dans la poche des contribuables est allé dans la poche des banquiers !

Mensonge numéro six : il allait dézenkayer la Martinique.
Pendant qu’il plongeait pour dézenkayer, le pays était, en réalité, à la dérive.

Après six années, la Martinique n’étant pas dézenkayée, il décide de palantcher.
N’ayant pas de palan, le palantchage ne réussit pas et finalement, en février 2009, les salariés et les personnes qui souffrent, lancent une balise de détresse dans les rues pour lui montrer l’ampleur de la dérive.

Marie jeanne et sa pépinière de menteurs, à laquelle s’est associée le RDM, sont les seuls à ne pas avoir vu cette balise de grande détresse.

Les mensonges nouveaux ou presque
Mensonge numéro sept : le déficit de la mairie de Fort de France. Nous nous cantonnons à la gestion de Serge LETCHIMY, depuis son arrivée à la mairie, puisque c’est lui le candidat aux régionales.
Les résultats du compte administratif de la ville de Fort de France des comptes soumis au contrôle de légalité. Pas une seule fois, au cours des huit exercices, la ville n’est en déficit.
Alfred le sait, mais le respect de la vérité et le respect des martiniquais ne sont pas son problème !
Mensonge numéro huit : les salaires de la ville de Fort de France ont été gelés en 2008.

La réponse vient d’un flash infos du syndicat CGTM-SOEM, reçu dans les boites aux lettres. Le Président de la Région dit que le salaire des agents de la ville de Fort de France a été bloqué durant l'année 2008. C'est TOTALEMENT FAUX. Il n'y a jamais eu de blocage de salaires à la Mairie de Fort de France. Et nous. les Elus CGTM-SOEM fustigeons ce genre de mensonge car cela voudrait dire Que nous sommes de mèche avec le Maire de Fort de France.

Mensonge numéro neuf : le déficit de la CACEM
La mission de la CACEM est d’assurer les investissements de la communauté du Centre de la Martinique. Pour financer ses investissements, elle fait appel soit aux subventions des collectivités, soit à ses ressources propres, soit aux emprunts.
Puisqu’il s’agit de construire l’avenir, les emprunts constituent la principale source de financement. La règle est donc d’avoir les moyens de rembourser les annuités de l’emprunt. Que les menteurs nous disent quelles sont les échéances de l’emprunt dont le solde est de 63 millions d’euros pour une durée résiduelle de 13 ans, dont le montant n’a pas été payé.

La Mensonge numéro dix : le conseil régional a un projet : le SMDE
Le schéma de développement régional, demandé par l’Etat pour permettre au conseil régional de gérer les aides de l’Eta et de l’Europe n’est tellement pas un projet de développement que nous sommes aujourd’hui dans la plus grande détresse avec un chômage touchant cinquante mille martiniquais et un martiniquais sur cinq en dessous du seuil de pauvreté !

Mensonge numéro onze : le conseil régional n’a pas de compétence économique. En réalité, le conseil régional doit coordonner le développement économique dans la région. Pour cela, il doit se concerter avec l’Etat et les autres collectivités. Aucune concertation n’a jamais eu lieu, bien au contraire : il fait tout seul.
Mensonge numéro douze: man pa kaï chayé dlo en pannier. Si ou wè 74 la paka pasé, mwen menm ké sav sa pou mwen fè, man péké kontinyié tout lavi mwen chayé dlo an pannyé ba pèsonn ". s’il est à nouveau candidat, c’est qu’il a décidé de chayé dlo en pannier ! Sinon de chercher à faire entrer l’article 74 par la bande.

Mensonge numéro treize, Marie-Sainte prend le relais sur RCI: « peut-on nous reprocher d’avoir envoyé trois feuilles de tôle à nos malheureux voisins de la Dominique pour recouvrir une école découverte par un cyclone ? »

Trois feuilles de tôles pour un million cinq cent mille euros !

Millions à échéance de Les mensonges anciens qui reviennent à la surface

Mensonge numéro quatorze: Mari e Jeanne est un homme intègre
Les affaires de Dominique et de Grenade et les embauches familiales montrent bien que l’homme sait bien servir parents, amis et alliés.

Mensonge numéro quinze: Marie Jeanne ne zigzague jamais !
C’est çà ! Un coup il n’organise pas d’élections européennes à Rivière pilote, demande de ne pas voter aux législatives et aux présidentielles, l’autre coup, il se fait élire député.

Un coup il interdit au Racing club de Rivière pilote de participer à la coupe de France de football, l’autre coup, devenu Monsieur le député, il les aide à participer.

Voilà l’homme et son entourage,qui doivent laisser la place le 14 mars à ceux qui veulent faire avancer la Martinique.

3.Posté par LAPOSTE le 09/03/2010 14:07
ALFRED MARIE-JEANNE C'EST LE RADEAU DE LA MEDUSE

En 1998, Alfred Marie-Jeanne s’installe au Palis de Cluny, avec l’aide Pierre Samot et de Raymond Occolier. Il met le cap sur la construction du pays Martinique sous les ordres du commandant Daniel Marie-Sainte doucineur à la ville de Fort-de-France, à son bord des marins comme Bolinois, Michalon, et d’autres qui n’ont jamais fait 100 suffrages dans une élection. Au bout de 12 années d’incompétence et d’errance, ça devient le radeau de la Méduse, il y a 1 chaloupe de 9 places pour la fin.
Vont-ils embarquer la Madeleine de Grandmaison bien relouquer pour ses 74 balais ?


4.Posté par lasoso le 10/03/2010 06:30
Alfred Marie-Jeanne est une ambulance,messieurs ce n'est pas bien de tirer sur une ambulance. Par ailleurs,si l'élection de Serge Letchimy semble acquise,j'attends de voir sa gestion régionale et ses orientations idéologiques dans le migan ide sa liste. C'est Ubu-Letchimy avec un Camille Chauvet faisant équipe avec une réactionnaire comme cette idiote de Lanoix... une fausse barbie comme Gallot ,un représentant béké pur sucre comme Marcel Osenat,une affairiste au nom de Roy-Camille au tourisme... Si cela n'implose pas c'est que le kooli est devenu magicien.

5.Posté par Kapsule le 10/03/2010 09:25
Vous pourriez donnere votre avis sur Madeleine de Grandmaison dont la ligne politique est :
IL N'Y A D'INDISPENSABLE QUE LES CHOSES INUTILES.
Voilà un produit PPM présent aux élections 2010 qui était avec Camille Darsières le faiseur de déficit dénoncé par MarieJeanne l 'enkailleur du pays.Et sans pudeur elle soutien L'ENKAILLEUR.
Si c'est cela la politique ...La madeleine sur son nom seul sur une liste n'a jamais rien gagné.Rien.
Une radio couleé,Les ombrages coulés,La culture pendant 20 rien...,Le CMT c'est la catastrophe,
Et à son secours son mari porteur de fleurs et de justificatifs.
Quant au Mariejeanne ,il a été candidat contre Letchimy à Fort-de-France c'était normal
et quand Letchimy est candidat contre lui à la Région ,il demande à ce dernier de rester à Fort-de-France.
Et dans ce propos il trouve comme comparses Le Lise ex- ppm et la Madeleine ex- PPM.
En fait ,ils sont tous PPM dans ce pays y compris le petit père Alfred qui a viré à l'Autonomie ...
Le Peuple saura choisir entre tous ces PPM ,car en fait Aimé Césaire est toujours là... y compris à droite avec la sauterelle Maignan qui se croit métis.Va-t-elle s'embarquer PPM pour gagner le Robert ? Elle aurait demande un rendez-vous à l'ancien Maire Pipine.

6.Posté par Pour Kapsule le 11/03/2010 00:04
Ta raison,ils sont tous fils de Césaire,mais Caïn est au Conseil Général il veut tuer Abel à la Mairie et le faux Chabin aux yeux bleus veut du trône imaginaire.Tous des enfoirés du mardi gras.
Le Peuple fera son choix ,et toi ma petite kapsule va boucher un c...

7.Posté par Maurice Bellay le 13/03/2010 22:47
L'OURS ET LES DEUX COMPAGNONS

Deux Compagnons pressés d'argent
À leur voisin Fourreur vendirent
La peau d'un Ours encor vivant ;
Mais qu'ils tueraient bientôt, du moins à ce qu'ils dirent.
C'était le Roi des Ours, au conte de ces gens.
Le Marchand à sa peau devait faire fortune :
Elle garantirait des froids les plus cuisants ;
On en pourrait fourrer plutôt deux robes qu'une.
Dindenaut , prisait moins ses Moutons qu'eux leur Ours :
Leur, à leur compte, et non à celui de la Bête.
S'offrant de la livrer au plus tard dans deux jours,
Ils conviennent de prix, et se mettent en quête ;
Trouvent l'Ours qui s'avance, et vient vers eux au trot.
Voilà mes Gens frappés comme d'un coup de foudre.
Le marché ne tint pas ; il fallut le résoudre :
D'intérêts contre l'Ours, on n'en dit pas un mot.
L'un des deux Compagnons grimpe au faîte d'un arbre.
L'autre, plus froid que n'est un marbre,
Se couche sur le nez, fait le mort, tient son vent ,
Ayant quelque part ouï dire
Que l'Ours s'acharne peu souvent
Sur un corps qui ne vit, ne meut, ni ne respire.
Seigneur Ours, comme un sot, donna dans ce panneau.
Il voit ce corps gisant, le croit privé de vie,
Et de peur de supercherie
Le tourne, le retourne, approche son museau,
Flaire aux passages de l'haleine.
C'est, dit-il, un cadavre : ôtons-nous, car il sent.
A ces mots, l'Ours s'en va dans la forêt prochaine.
L'un de nos deux Marchands de son arbre descend ;
Court à son Compagnon, lui dit que c'est merveille
Qu'il n'ait eu seulement que la peur pour tout mal.
Et bien, ajouta-t-il, la peau de l'Animal ?
Mais que t'a-t-il dit à l'oreille ?
Car il s'approchait de bien près,
Te retournant avec sa serre.
Il m'a dit qu'il ne faut jamais
Vendre la peau de l'Ours qu'on ne l'ait mis par terre

Konkonne devrait aussi méditer dessus.




8.Posté par Marc Paulin le 18/03/2010 23:00
Monsieur le directeur de ce site,cette élection est perdue pour AMJ. Arrêter donc ces commentaires,car le peuple sera bien déçu du monde politique qui s'étripe et qui après s'embrasse le cu .... ça suffit !!!

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