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Cela fait bientôt dix ans que quelques ex-militants ont tenté un coup d’état, visant à changer la direction et la ligne politique de notre organisation. Après leur échec, ils ont abandonné toutes les structures politiques du CNCP.
De nombreux journalistes peuvent témoigner que les usurpateurs ont toujours refusé catégoriquement de répondre à toute demande d’interview, soi-disant au prétexte qu’ils ne voulaient pas alimenter de polémique. La véritable raison de leur mutisme est ailleurs. Ces politiciens dénués de toute éthique savent :
- qu’ils ne peuvent se prévaloir d’aucune réunion ou Assemblée Générale qui leur donnerait une once de légitimité.
- qu’ils s’appellent « Conseil National des…Comités Populaires », alors qu’ils sont dans l’impossibilité absolue de présenter un seul Comité Populaire ayant une quelconque activité sur le territoire national ou dans l’émigration. (Tous les Comités existants participent à la vie de notre organisation)
- que le « Mouvement Asé Pléré Annou Lité », dont ils brandissent l’étiquette n’a aucune réalité. Ce dernier était composé du CNCP, de l’organisation ALCPJ et de la centrale syndicale UGTM. D’une part, ALCPJ, n’existe plus et, d’autre part, les syndiqués (es) de la centrale UGTM, sauf, individuellement, quelques dirigeants, n’ont rien à voir avec la ligne de trahison d’E. Mondésir et de M.H. Léotin.
Quant au « contrôle de la radio et du journal Asé Pléré Annou Lité ! Evidemment, toute personne sérieuse sait qu’une radio et un journal ne constituent pas un mouvement. La radio fonctionne sous l’égide d’une association loi 1901 (ADECOBA : association pour le développement de la communication à la base). Son Conseil d’administration a été modifié irrégulièrement. Le journal « Asé Pléré Annou Lité », a été déclaré à titre personnel par son ancien directeur de publication, Robert SAE en 1981. Il serait possible à notre organisation d’en récupérer le titre*1. C’est parce que nous sommes des indépendantistes conséquents que nous n’avons pas engagé de procédure devant les tribunaux du pouvoir colonial pour faire valoir nos droits sur ces outils de communication.
- qu’ils ne peuvent se prévaloir d’aucune réunion ou Assemblée Générale qui leur donnerait une once de légitimité.
- qu’ils s’appellent « Conseil National des…Comités Populaires », alors qu’ils sont dans l’impossibilité absolue de présenter un seul Comité Populaire ayant une quelconque activité sur le territoire national ou dans l’émigration. (Tous les Comités existants participent à la vie de notre organisation)
- que le « Mouvement Asé Pléré Annou Lité », dont ils brandissent l’étiquette n’a aucune réalité. Ce dernier était composé du CNCP, de l’organisation ALCPJ et de la centrale syndicale UGTM. D’une part, ALCPJ, n’existe plus et, d’autre part, les syndiqués (es) de la centrale UGTM, sauf, individuellement, quelques dirigeants, n’ont rien à voir avec la ligne de trahison d’E. Mondésir et de M.H. Léotin.
Quant au « contrôle de la radio et du journal Asé Pléré Annou Lité ! Evidemment, toute personne sérieuse sait qu’une radio et un journal ne constituent pas un mouvement. La radio fonctionne sous l’égide d’une association loi 1901 (ADECOBA : association pour le développement de la communication à la base). Son Conseil d’administration a été modifié irrégulièrement. Le journal « Asé Pléré Annou Lité », a été déclaré à titre personnel par son ancien directeur de publication, Robert SAE en 1981. Il serait possible à notre organisation d’en récupérer le titre*1. C’est parce que nous sommes des indépendantistes conséquents que nous n’avons pas engagé de procédure devant les tribunaux du pouvoir colonial pour faire valoir nos droits sur ces outils de communication.
Cependant, nous mettons M. Edmond Mondésir et Mme Marie-Hélène Léotin au défi d’écrire ou de déclarer, publiquement et explicitement, que les dirigeants de notre organisation, le CNCP, sont illégitimes. S’ils en avaient le toupet, cela nous permettrait de faire « kôd yanm maré yanm » en entamant une procédure pour diffamation devant les tribunaux du système qu’ils défendent.
Robert Saé Membre indiscutable du CNCP historique
En tout cas, nous n’accepterons plus que perdure cette escroquerie politique. Dans un contexte où la lutte avec le pouvoir colonial devient frontale, nous ne saurions admettre plus longtemps que le passé et le présent de notre organisation soient ainsi dévoyés.
Plus que jamais, les Comités Populaires et le CNCP restent fidèles à leur ligne et à leurs objectifs de lutte pour la souveraineté. Ils s’opposent résolument à l’électoralisme, aux divisions politiciennes, aux dérives messianiques et aux moratoires, quelles que soient leurs formes. Sur toutes ces questions, il est vérifiable que les usurpateurs ont une position contraire.
Concernant les élections municipales, les seuls candidats pour lesquels le CNCP a annoncé son soutien à cette heure, sont les deux candidats du MODEMAS, Pierre Zaïre et Marcellin Nadeau.
Nous appelons solennellement nos compatriotes à refuser de se faire complice des usurpateurs en « soutirant*2 » quelque candidat que ce soit qui prétendrait faussement bénéficier de notre soutien, car c’est un indice clair de leur manque de morale politique. En particulier Francis CAROLE ! Ce dernier qui, lui aussi avait échoué dans une tentative de prendre le contrôle de notre organisation, avait annoncé la dissolution du CNCP, lors de la création du PALIMA.
Comment aujourd’hui peut-il prétendre être soutenu par le CNCP ?
Une fois de plus, nous invitons tous les journalistes consciencieux à venir consulter les archives du CNCP et du « mouvement Asé Pléré Annoulité »*3, archives que nous tenons à leur disposition afin de les éclairer définitivement sur les faits. Serait-il déontologique de continuer à parler de « deux CNCP » sans faire cette démarche ?
*1 Les outils de communication autorisés et reflétant la ligne historique de notre mouvement sont désormais le journal en ligne« Jik An Bout » et la web TV www.jikanbouttv.com
*2 « Si pa ni soutirè pa ni vôlè ! »
*3 En particulier les comptes-rendus des Assemblées Générales statutaires des 25 Août 2013, 23 Août 2015, 27 Août 2017 et 11 Novembre 2019.
Pour le bureau élu : Le Président, Jean ABAUL
Plus que jamais, les Comités Populaires et le CNCP restent fidèles à leur ligne et à leurs objectifs de lutte pour la souveraineté. Ils s’opposent résolument à l’électoralisme, aux divisions politiciennes, aux dérives messianiques et aux moratoires, quelles que soient leurs formes. Sur toutes ces questions, il est vérifiable que les usurpateurs ont une position contraire.
Concernant les élections municipales, les seuls candidats pour lesquels le CNCP a annoncé son soutien à cette heure, sont les deux candidats du MODEMAS, Pierre Zaïre et Marcellin Nadeau.
Nous appelons solennellement nos compatriotes à refuser de se faire complice des usurpateurs en « soutirant*2 » quelque candidat que ce soit qui prétendrait faussement bénéficier de notre soutien, car c’est un indice clair de leur manque de morale politique. En particulier Francis CAROLE ! Ce dernier qui, lui aussi avait échoué dans une tentative de prendre le contrôle de notre organisation, avait annoncé la dissolution du CNCP, lors de la création du PALIMA.
Comment aujourd’hui peut-il prétendre être soutenu par le CNCP ?
Une fois de plus, nous invitons tous les journalistes consciencieux à venir consulter les archives du CNCP et du « mouvement Asé Pléré Annoulité »*3, archives que nous tenons à leur disposition afin de les éclairer définitivement sur les faits. Serait-il déontologique de continuer à parler de « deux CNCP » sans faire cette démarche ?
*1 Les outils de communication autorisés et reflétant la ligne historique de notre mouvement sont désormais le journal en ligne« Jik An Bout » et la web TV www.jikanbouttv.com
*2 « Si pa ni soutirè pa ni vôlè ! »
*3 En particulier les comptes-rendus des Assemblées Générales statutaires des 25 Août 2013, 23 Août 2015, 27 Août 2017 et 11 Novembre 2019.
Pour le bureau élu : Le Président, Jean ABAUL
