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Il est surprenant qu'à un moment aussi important que celui que traverse l’université des Antilles et de la Guyane, que les intellectuels de tout bord ne se battent pas pour leur université et que ce soit les politiques qui gèrent cette histoire.
Cela démontre clairement que la société que nous souhaitons est une société médiocre basée sur l'allégeance.
Université des Antilles : le pouvoir politique va-t-il devoir pallier à la démission des intellectuels, universitaires et autres penseurs martiniquais?
C’est en ces termes qu’il convient désormais de poser maintenant la question du devnir de l’université.
Fort d’être dans le tour de table qui finance l’université et fort de la dotation de l’état qui augmente les possibilités d’investissements des conseils régionaux, les présidents de Guadeloupe et de Martinique sont en train de prendre en main la destinée de cette université. En réalité les chefs des assemblées veulent reprendre le leadership de cette question de l’éducation.
C’est louable. C’est salutaire. Que ne serait-il pas dit s’il en avait été autrement ?
Pourtant dans un monde de la pensée de l’éducation, des universitaires où le fond compte autant que la forme il est normal de s’interroger pour savoir si ici le fond est fond et si la forme est forme ?
Voilà ce qui se dit :
Il se dit que la présidente de l’université se comporterait comme une politique… qu’elle serait dans une dynamique pour 2015… et que le courrier de soutien de MARIE JEANNE serait une aide du leader du MIM à une présidente… qui devrait faire allégeance à ce dernier sous la seule promesse qu’elle serait en lice pour les élections de 2015.
Voila , Voila ce qui se dit.
Il se rajoute même que les instances politiques régionales n’ont pas à prendre des ordres des universitaires !
MAKAC LA n’a jamais rencontré la Présidente de cette université. MAKAC LA ne l’a connait ni d’Eve ni d’Edouard,
Et pourtant nous avons toujours considéré que cette dernière était victime d’une cabale. Rien n’empêchera à MAKAC LA de penser qu’ ayant fait explosé plusieurs plafonds de verre, cette dernière est aujourd’hui une crainte pour tous les pouvoirs en place qui considèrent, que du seul fait qu’elle reste incontrôlable, que cette dernière constitue au moindre mal un problème et au pire des cas un danger.
Même si cette dernière devait fricoter avec le MIM se serait son droit.
Qui a reproché à CELIMEN d’avoir tricoté le programme économique du PPM à l’époque de DARSIERES ?
Qui a reproché à x mulâtre descendant des familles bourgeoises de foyale d’être élu au conseil régional et de devenir président de l’université ?
Dans tous les pays les intellectuels, les universitaires irriguent la pensée des partis politiques. Comment comprendre qu’il pourrait en être autrement sous nos latitudes.
Dans ce jour où j’ai perdu un ancien collègue de travail qui n’avait pour principe que de ne s’occuper que de ses affaires et de celles de sa famille, qui était trop bon pour faire du mal à une punaise, qui était si loin de l’âge de la retraite, je n’ai pas envie de hurler comme nous le faisons habituellement à MAKAC LA
Aujourd’hui j’ai envie de dégueuler.
Attendons simplement de savoir qui seront les fameuses personnalités de référence qui seront désignées et espérons voir combien de temps va durer ce bal de macaques et si l’état sera complice de ce guet-apens.
Cela démontre clairement que la société que nous souhaitons est une société médiocre basée sur l'allégeance.
Université des Antilles : le pouvoir politique va-t-il devoir pallier à la démission des intellectuels, universitaires et autres penseurs martiniquais?
C’est en ces termes qu’il convient désormais de poser maintenant la question du devnir de l’université.
Fort d’être dans le tour de table qui finance l’université et fort de la dotation de l’état qui augmente les possibilités d’investissements des conseils régionaux, les présidents de Guadeloupe et de Martinique sont en train de prendre en main la destinée de cette université. En réalité les chefs des assemblées veulent reprendre le leadership de cette question de l’éducation.
C’est louable. C’est salutaire. Que ne serait-il pas dit s’il en avait été autrement ?
Pourtant dans un monde de la pensée de l’éducation, des universitaires où le fond compte autant que la forme il est normal de s’interroger pour savoir si ici le fond est fond et si la forme est forme ?
Voilà ce qui se dit :
Il se dit que la présidente de l’université se comporterait comme une politique… qu’elle serait dans une dynamique pour 2015… et que le courrier de soutien de MARIE JEANNE serait une aide du leader du MIM à une présidente… qui devrait faire allégeance à ce dernier sous la seule promesse qu’elle serait en lice pour les élections de 2015.
Voila , Voila ce qui se dit.
Il se rajoute même que les instances politiques régionales n’ont pas à prendre des ordres des universitaires !
MAKAC LA n’a jamais rencontré la Présidente de cette université. MAKAC LA ne l’a connait ni d’Eve ni d’Edouard,
Et pourtant nous avons toujours considéré que cette dernière était victime d’une cabale. Rien n’empêchera à MAKAC LA de penser qu’ ayant fait explosé plusieurs plafonds de verre, cette dernière est aujourd’hui une crainte pour tous les pouvoirs en place qui considèrent, que du seul fait qu’elle reste incontrôlable, que cette dernière constitue au moindre mal un problème et au pire des cas un danger.
Même si cette dernière devait fricoter avec le MIM se serait son droit.
Qui a reproché à CELIMEN d’avoir tricoté le programme économique du PPM à l’époque de DARSIERES ?
Qui a reproché à x mulâtre descendant des familles bourgeoises de foyale d’être élu au conseil régional et de devenir président de l’université ?
Dans tous les pays les intellectuels, les universitaires irriguent la pensée des partis politiques. Comment comprendre qu’il pourrait en être autrement sous nos latitudes.
Dans ce jour où j’ai perdu un ancien collègue de travail qui n’avait pour principe que de ne s’occuper que de ses affaires et de celles de sa famille, qui était trop bon pour faire du mal à une punaise, qui était si loin de l’âge de la retraite, je n’ai pas envie de hurler comme nous le faisons habituellement à MAKAC LA
Aujourd’hui j’ai envie de dégueuler.
Attendons simplement de savoir qui seront les fameuses personnalités de référence qui seront désignées et espérons voir combien de temps va durer ce bal de macaques et si l’état sera complice de ce guet-apens.
