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Ce que dit Gilles Dégras et qui est vrai c'est que les Nègres n'avaient pas leur place dans les agences de pub en Martinique, sauf à des places subalternes, sans jamais pouvoir espérer devenir chef de pub, ou directeur artistique. Cette époque n'était pas comme maintenant où nos enfants sont reconnus dans les métiers de création et de communication. Mais tout le reste est cousu de fil blanc !
Si on comprend bien, ce dernier dans sa lettre explique que ses frustrations ont commencé par manque de reconnaissance de son talent par une équipe de békés et de blancs. Disons ceux qui durant une campagne de pub se sont pris pour "les têtes de l'Art" . L'homme se dit talentueux, se considère comme unique . Mais en définitive, le talentueux ce n'est pas lui. Celui dont-il s'agit et détient encore le talent et dont il ne dit jamais le nom s'appelle Jacques Boulogne. Oui , lui est un homme qui a un vrai talent: Jacques. Ce vrai prodige martiniquais de la pub, lui par contre est aujourd'hui en poste à Rivière-Salée comme employé communal en charge de la communication. Pour vous prouver que c'est lui le talent, et pas Dégras qui ne tricote que quelques jeux de mots ,suivez ce lien , ce créatif hors pair explique sur ce site ses processus créatifs et lui ne parle jamais de Dégras sauf pour expliquer qu'il l'accompagnait sur Bonda Man jak dans des créations de tee-shirts intelligents.
Mais alors :
Comprenez-vous que parce que des Blancs et des Békés n'auraient pas reconnu le talent prétendu de Gilles Dégras, ce Nègre à talent prétendu qu'il se dit être, puisse haïr la terre entière à cause d'eux ? Un seul événement, ne peut expliquer une telle haine ! En fait ce qui explique l'origine de la névrose de ce jeune Martiniquais à l'époque, c'est l'accumulation des combats perdus contre le système en place. Rappelez-vous ce que je vous disais dans un des articles sa petite affaire, celle qu'il dit être partie en sucette avec la grève des banques, et qu'il évacue d'un coup de cuillère à pot.
En effet ACTUA PRESSE Société : 400422135, Enregistrée à l'INSEE le 07-09-1994, dont une clôture pour insuffisance d'actif du 16-11-1999 a été liquidée par lui. Cette boite était gérée par Gilbert Dégras, donc Gilles, dit Gifou ! mais ce qui est étonnant dans son discours c'est la différence de date quand il dit, je cite: "Le lendemain, j’en parle à Jacques. Je lui dis : « Je vais tout faire pour qu’ils me virent ». Nous sommes en 1998. Jacques lui , n’ayant pas envie de faire dans le hard, démissionnera.
En réalité ce n'est pas ce qui se passe ! Voilà ce que nous avons compris :
Donc si on résume il est gérant d'une société de presse en 1994 et pendant qu'il est en agence, continue d’être gérant de fait d'une société de presse qui est liquidée, pour insuffisance d'actif, mais dont le nom de marque est gardé par lui. Car en fait nous vous dirons à qui servait cette société d'édition dans un autre épisode. C'est le seul liquidateur de l'époque qui sera heureux de savoir que finalement le gérant de fait a gardé une marque de la société liquidée. Il y a bien un moyen de sauver une marque d'une liquidation, mais ici cela ressemble plus à un baroufle, à la barbe du liquidateur judiciaire.
Mais alors :
Comprenez-vous que parce que des Blancs et des Békés n'auraient pas reconnu le talent prétendu de Gilles Dégras, ce Nègre à talent prétendu qu'il se dit être, puisse haïr la terre entière à cause d'eux ? Un seul événement, ne peut expliquer une telle haine ! En fait ce qui explique l'origine de la névrose de ce jeune Martiniquais à l'époque, c'est l'accumulation des combats perdus contre le système en place. Rappelez-vous ce que je vous disais dans un des articles sa petite affaire, celle qu'il dit être partie en sucette avec la grève des banques, et qu'il évacue d'un coup de cuillère à pot.
En effet ACTUA PRESSE Société : 400422135, Enregistrée à l'INSEE le 07-09-1994, dont une clôture pour insuffisance d'actif du 16-11-1999 a été liquidée par lui. Cette boite était gérée par Gilbert Dégras, donc Gilles, dit Gifou ! mais ce qui est étonnant dans son discours c'est la différence de date quand il dit, je cite: "Le lendemain, j’en parle à Jacques. Je lui dis : « Je vais tout faire pour qu’ils me virent ». Nous sommes en 1998. Jacques lui , n’ayant pas envie de faire dans le hard, démissionnera.
En réalité ce n'est pas ce qui se passe ! Voilà ce que nous avons compris :
Donc si on résume il est gérant d'une société de presse en 1994 et pendant qu'il est en agence, continue d’être gérant de fait d'une société de presse qui est liquidée, pour insuffisance d'actif, mais dont le nom de marque est gardé par lui. Car en fait nous vous dirons à qui servait cette société d'édition dans un autre épisode. C'est le seul liquidateur de l'époque qui sera heureux de savoir que finalement le gérant de fait a gardé une marque de la société liquidée. Il y a bien un moyen de sauver une marque d'une liquidation, mais ici cela ressemble plus à un baroufle, à la barbe du liquidateur judiciaire.
Donc 1994 lancement d'une société d'édition , 1999 liquidation de cette société, mais il garde le nom en dépit du liquidateur Maitre Bess. Puis recruté par José Hugues Dépointe ;iI est viré en 98 99 et se retrouve dans une nouvelle entreprise qu'il monte avec un ami et dont il ne donne pas le nom. L'entreprise s'appelle Gérria, mais il n'est plus le gérant.
La boite de pandores est ouverte ! Nous allons enfin comprendre !
Autrement dit Gifou sur le plan professionnel, Gifou a déjà souffert ! Nous éviterons pour l'heure de parler de sa vie privée pour l'instant, quand bien même lui joue dans l'intimité des gens. Il faut savoir garder un piment pour assaisonner la carpe. Mais comprenez que ce n'est pas parce qu' un jeune homme qui se dit talentueux, sans doute, souffre d'un manque de reconnaissance, qu'il doit passer sa haine, ses frustrations et ses déceptions sur le reste du monde. D'autant qu'à cette occasion nous apprenons que ce dernier aurait gardé la marque Bondamanjak alors que la structure d'édition était en insuffisance d'actif, donc qu'elle n'avait pas pu payer ses dettes...
Autrement dit il aurait dû payer cette marque et comme il était gérant de fait, il n'aurait pas pu l'acheter lui-même au liquidateur. C'est la loi. Vous voyez Bess se serait donc fait couillonner par le jeune narrateur, faiseur de campagne de com ,lécheur de budget des békés. Mais le plus grave c'est que chaque fois que Gifou ouvre la bouche, il fouille sa fosse. Rappelez-vous le discours qu'il tient sur les Francs-Maçons, il se trouve que Bess est un gros patron dans le pays et pour peu par exemple que ce dernier soit maçon, franc et accepté, imaginez la catastrophe pour Dégras !
Vous voyez Gilles Dégras en fait est plus à plaindre qu'autre chose. Quand en une semaine d'écriture on se provoque 3 intentions de procès, dont curieusement les plaintes arrivent chez le même avocat, on peut dire que celui qui ne cesse de parler de l'anus des autres, va vite se retrouver avec une grosse crise d'hémorroïdes.
Vous connaissez maintenant la prétendue vie de ce nègre à talents, qui dans son jeune âge préférait voler des livres dans les grandes librairies foyalaises, que de les demander au responsable du magasin, alors que ce dernier en donnait à tous les enfants dépourvus de la ville !
Mesdames Messieurs, il y a un principe dans la vie , ce qui arrive à un homme peut arriver à tous les autres hommes et il ne faut pas se réjouir du malheur d' un homme. Mais cette histoire dont vous n'avez qu'une infime partie devrait nous renseigner sur ce que peut produire un Martiniquais aigri devenu incontrôlable pour lui et pour les autres. Gifou, lui, sait effectivement bien écrire et utilise son arme de propagande ,un site internet, comme arme de guerre. Mais demain les milliers de jeunes qui sont armés jusqu'aux dents dans le pays et qui sont également en situation d'échec et de frustration calamiteuse, eux, vont probablement tirer à balles réelles dans le tas de cette Martinique impossible à vivre économiquement !
C'est parce que la violence commence par des mots, des mots irrespectueux des gens et de la personne humaine, que comme des femmes battues, une première fois, il ne faut plus accepter les assauts de Dégras. Si Gifou est devenu fou il doit suivre un thérapie, mais s'il fait semblant d'être fou en réglant ses comptes personnels avec son instrument de propagande sur internet , la société doit se protéger de lui !
Cet épisode de vie , de souffrance en définitive et de haine d'un autre homme, fut-il Gifou doit nous faire réfléchir, mais doit aussi faire réfléchir Gilles Dégras lui-même ! Il n'est pas question de cesser-le-feu de notre côté, mais observons si cet humain est capable de comprendre où se trouvent ses intérêts.
Autrement dit il aurait dû payer cette marque et comme il était gérant de fait, il n'aurait pas pu l'acheter lui-même au liquidateur. C'est la loi. Vous voyez Bess se serait donc fait couillonner par le jeune narrateur, faiseur de campagne de com ,lécheur de budget des békés. Mais le plus grave c'est que chaque fois que Gifou ouvre la bouche, il fouille sa fosse. Rappelez-vous le discours qu'il tient sur les Francs-Maçons, il se trouve que Bess est un gros patron dans le pays et pour peu par exemple que ce dernier soit maçon, franc et accepté, imaginez la catastrophe pour Dégras !
Vous voyez Gilles Dégras en fait est plus à plaindre qu'autre chose. Quand en une semaine d'écriture on se provoque 3 intentions de procès, dont curieusement les plaintes arrivent chez le même avocat, on peut dire que celui qui ne cesse de parler de l'anus des autres, va vite se retrouver avec une grosse crise d'hémorroïdes.
Vous connaissez maintenant la prétendue vie de ce nègre à talents, qui dans son jeune âge préférait voler des livres dans les grandes librairies foyalaises, que de les demander au responsable du magasin, alors que ce dernier en donnait à tous les enfants dépourvus de la ville !
Mesdames Messieurs, il y a un principe dans la vie , ce qui arrive à un homme peut arriver à tous les autres hommes et il ne faut pas se réjouir du malheur d' un homme. Mais cette histoire dont vous n'avez qu'une infime partie devrait nous renseigner sur ce que peut produire un Martiniquais aigri devenu incontrôlable pour lui et pour les autres. Gifou, lui, sait effectivement bien écrire et utilise son arme de propagande ,un site internet, comme arme de guerre. Mais demain les milliers de jeunes qui sont armés jusqu'aux dents dans le pays et qui sont également en situation d'échec et de frustration calamiteuse, eux, vont probablement tirer à balles réelles dans le tas de cette Martinique impossible à vivre économiquement !
C'est parce que la violence commence par des mots, des mots irrespectueux des gens et de la personne humaine, que comme des femmes battues, une première fois, il ne faut plus accepter les assauts de Dégras. Si Gifou est devenu fou il doit suivre un thérapie, mais s'il fait semblant d'être fou en réglant ses comptes personnels avec son instrument de propagande sur internet , la société doit se protéger de lui !
Cet épisode de vie , de souffrance en définitive et de haine d'un autre homme, fut-il Gifou doit nous faire réfléchir, mais doit aussi faire réfléchir Gilles Dégras lui-même ! Il n'est pas question de cesser-le-feu de notre côté, mais observons si cet humain est capable de comprendre où se trouvent ses intérêts.
Il n'est pas dit que cet épisode le calmera, mais au moins il saura ce que cela représente quand un média vous met la pression comme lui a mis la pression à d'autres et que tous ceux que vous agressez tous les jours, se retournent d'un seul bloc contre ses méthodes
Pour l'heure, l'épisode d'aujourd'hui est terminé, nous attendons de constater comment se comporte le malade, mais cette série devient de plus en plus abjecte et pathétique.
