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DANIEL MARIE SAINTE ACCUSE SERGE LETCHIMY" D'ESCROQUERIES INTELLECTUELLES"


Rédigé le Samedi 28 Novembre 2009 à 06:16 |

Nous avons reçu à la rédaction du Naîf une réponse de Daniel MARIE-SAINTE en réponse à un article du journal France-Antilles n°: 12865 du 25-11-2009 :
Nous le publions tel quel considérant que c'est un pièce à verser au dossier du débat opposant la gauche martiniquaise sur la question du devenir institutionnel de la Martinique.
Par contre le titre est de nous ! il faut bien rechercher en période de vache maigre le BUZ


DANIEL MARIE SAINTE ACCUSE SERGE LETCHIMY" D'ESCROQUERIES INTELLECTUELLES"
Bonjour


Dans un reportage, publié par "FRANCE-ANTILLES" n° 12865 du 25/11/2009, il est dit que Serge Letchimy, président du « nouveau » PPM, aurait fait deux affirmations qui se révèlent à l'analyse être des "escroqueries intellectuelles".

1°) Il dit que :"l'article 74 sonne la suppression de l'égalité des droits garantis par le régime de l'identité législative contenu dans l'article 73."
Cela est totalement faux pour deux raisons:
- a) L'article 74 maintient la Martinique au sein de la République, donc la Constitution continue à s'appliquer la Martinique.
Or, l'article 1 de la Constitution qui concerne tous les citoyens dit que :"
" Art. 1. - La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion. Elle respecte toutes les croyances. Son organisation est décentralisée"(fin de citation).
- b) Le cas de St-Martin et de St-Barthélémy qui sont passés dans le 74, après le triomphe du "OUI" en décembre 2003, montre que les lois votées par le Parlement français s'appliquent de plein droit dans ces Collectivités d'outre mer ( voir leur loi organique du 21 février 2007), en plus, ils ont la possibilité de les modifier dans leurs intérêts propres, s'ils trouvent que ces lois ne leur conviennent pas dans les domaines dans lesquels ils sont devenus compétents !
Donc Letchimy réclame un droit que nous avons déjà et qui ne cessera que le jour où nous sortirons de la France!
2°) Il dit que dans le cas vote positif (que je souhaite, le 10 janvier 2010) dans le cadre de l'article 74, les martiniquais ne connaîtront le contenu de la loi organique (c'est à dire de la loi qui organisera la composition, le fonctionnement et les compétences de la Collectivité) qu'après le vote par les Parlementaires en France!
Ce qu'il ne dit pas, c'est que dans le cas du vote en faveur de la Collectivité unique dans l'article 73 (éventuellement le 24/01/2010), il y aura également le vote d'une loi organique, en France, dont les martiniquais ne connaîtront le contenu qu'après la consultation !
Tel le veut la Constitution française, nous n'y pouvons rien; car dans la République le Parlement est souverain! Il le sait !
Dans un cas comme dans l'autre, ce sont les parlementaires qui ont le dernier mot ! Lui qui est député lui-même, n'a pas le droit de cacher cette vérité aux citoyens martiniquais !
Ce que je sais c'est que la "loi organique", dans l'un ou l'autre cas, ne contiendra que des points que nous avons demandés au Congrès.
Peut-être pas tous les points demandés, mais rien que nous n'ayons revendiqué !
Telle est mon analyse et ma vérité!
Le Lamentin le 25 novembre 2010
Daniel MARIE-SAINTE
Membre du Comité National du MIM



Actualité Martinique


1.Posté par LUCIFER le 30/11/2009 07:15
La malhonnêté intellectuelle c'est le lot de beaucoup de nos élus,et Daniel Marie-Sainte est dans ce lot et sans doute son ancien patron à la ville Serge Letchymi qui lui sert de miroir.
Lire qu'un indépendantiste défende la Constitution française cela relève du surréalisme. Mais au fond,l'attitude tient la route et le malhonnête intellectuel bien debout, car il trompe le peuple qui ne sait pas que ces messieurs perçoivent d'énorme retraite et attendent encore de plus énorme en qualité d'élus payés et retraités pour conduire cette Martinique où elle est.
C'est ça la dure réalité.Ces messieurs ont le pays en mains la coule douce et coule le pays.
La Constitution française consommé à la sauce 74 ou 73 ne va rien changer au sort des Martiniquais, il faut que tous ces élus démissionnent.TOUS !!!! Le référendum devrait imposer dans son texte le changement des élus en cas de changement de statut. Y compris Serge Letchimy qui n'est pas meilleur que les autres sous son couvert d'enfant du bondieu. La situation est dramatique. La Martinique est foutue, et les européens l'ont bien compris,et pour preuve ils nettoient déjà "leurs plages",ce que le grand demandeur-quémandeur de réparations Gracin Malsa n'a jamais fait dans sa commune. Là aussi il faut penser à le mettre au repos...pour l'aider à profiter de sa retraite à Paris dans son appartement .Oui à Paris,pas au Sénégal.
Mi pays !!!!!!!! Sur nos autres indépendantistes nous reviendrons les chercher pour nous tenir compagnie en enfer.

2.Posté par Lago le 30/11/2009 18:50
Que viennent faire ici le nom de Garcin Malsa et le fait qu'il ait un appartement à Paris ?????
Hors sujet !!!
Les européens nettoient comme tu dis "leurs plages", parce nous martiniquais laissons notre merde sur "nos plages" chaque dimanche et chaque vacances.
Yo ka fè sa nou pa fouti fè !
Tout est question d'éducation!

3.Posté par georges glondu le 01/12/2009 06:38
La réponse de D. MARIE SAINTE, m'a laissé sans voix, tant elle me parait empreinte de naïveté, tout au moins pour le premier cas évoqué concernant la suppression de l'égalité des droits prévue dans l'article 74.
il cite des collectivités qui viennent de passer à l'article 74, alors qu'il y en a d'autres qui sont régies, au sein de la République Française par ce même article, par exemple la polynésie Française.
pour être concis et concret, je me contenterai de citer quelques extraits du député de la polynésie Française, B. SANDRAS, à l'assemblée nationale, le 04 novembre 2009: "mes chers collègues, je la dis avec beaucoup de gravité devant vous aujourd'hui. la polynésie française est au bord de la rupture que ce soit sur le plan économique, sur le plan social ou sur le plan financier...l'Etat a supprimé unilatéralement depuis 2008 tout financement au régime de solidarité de la polynésie française...la situation financière de la collectivité n'est pas simplement préoccupante, elle est profondément altéré...cette carence qui frappe les polynésiens n'est pas acceptable alors que dans le même temps nos concitoens dans les DOM bénéficient des mesures de soutien au pouvoir d'achat et ont accès à tous les dispositifs sociaux (RMI,RAS, protection sociale...) inexistantes en polynésie française..."
cette discrimination faite à l'égard d'une collectivité de la république montre bien que l'article 1 de la constitution dont fait référence Mr MARIE-SAINTE peut parfaitement être "adaptée" par l'Etat, dès lors qu'il n'est plus obligé, comme c'est le cas pour les collectivités régies par l'article 73, d'assurer la solidarité nationale.
pour ce qui concerne le deuxième cas évoqué, je doit reconnaitre qu'il a parfaitement raison, car dans les deux cas, oui au 74, ou non au 74, puis oui à la nouvelle collectivité dans le 73, la loi organique sera rédigée et votée après le vote des Martiniquais.


4.Posté par ARSENE DE LA VIGIE le 01/12/2009 08:40
OUI Serge LETCHIMY COMMET UN GROS MENSONGE,MAIS LE MARIE-SAINTE EST MAL PLACE POUR PARLER D'ESCROCS INTELLECTUELS...IL DEVRAIT REGARDER AUTOUR DE LUI A LA REGION....
Le mensonge en politique c'est ALFRED MARIE JEANNE QUI DIT JE NE REVIENS PAS, MAIS AUFOND SI VOUS ME LE DEMANDER JE RETOURNE.... ET VIVE LE ROI ALFRED 1ER

Qu’est-ce qu’un mensonge ? Selon le Petit Robert, c’est affirmer ce qu’on sait être faux, nier ou taire ce qu’on devrait dire. En vertu de cette définition, les exagérations partisanes, les cachotteries, les demi-vérités, sont toutes des mensonges. Et ceux qui s’y livrent sont des menteurs.

En politique, à partir du premier ministre jusqu’au simple député, tous cachent, contournent, déforment systématiquement la vérité, sans en ressentir la moindre gêne. Aveuglés par le pouvoir, la gloire, les limousines, les flatteries de leur entourage, les politiciens jouent les importants et mentent effrontément.

C'est le cas de Serge Letchimy dans la campagne actuelle.

Ce qui est paradoxal, c’est que le mot « menteur » soit banni de l’Assemblée nationale et que tous ceux qui l’utilisent ou y font allusion, soient sommés de se rétracter. S’ils refusent, ils sont expulsés pour la journée. Les politiciens sont prêts à admettre qu’ils caricaturent les faits, qu’ils en cachent, qu’ils présentent toujours leurs actions sous un jour favorable, qu’ils sont tous un peu démagogues, mais admettre qu’ils mentent ?

Jamais !
Et pourtant, dans une démocratie, le peuple a droit à la vérité.

Le mensonge en politique constitue un abus de confiance et un bris de contrat, car une démocratie est une sorte de fiducie. Le peuple cède à ses mandataires, les politiciens, le soin d’administrer la chose publique et il se réserve le droit d’évaluer leur travail à intervalles réguliers. Si le peuple est insatisfait, il a le pouvoir de les congédier et de les remplacer. Il y a là, non seulement une relation de confiance, mais aussi un contrat explicite, fondé sur le droit des citoyens de choisir leurs gouvernants.

Or, pour qu’une démocratie soit authentique, les citoyens doivent pouvoir faire un choix en toute connaissance de cause, en disposant de toute l’information nécessaire. Dans son livre « La connaissance inutile » Jean-François Revel cite : « Ce régime (la démocratie), fondé sur la libre détermination des grands choix par la majorité, se condamne lui-même à mort si les citoyens qui effectuent ces choix, se prononcent presque tous dans l’ignorance des réalités ».

La tactique du mensonge, en politique, s’est transmise de génération en génération et plusieurs croient que s’indigner d’un tel travers est, par conséquent, inutile ou constitue une perte de temps. Pourtant, s’il y a toujours eu des injustices, faut-il les accepter et baisser les bras ? Le danger est, justement, d’accepter cette politique du mensonge et de la considérer comme normale. Un risque d’autant plus grand que le mensonge est devenu, de nos jours, de plus en plus subtil. Le mensonge engendre, non pas la révolte des citoyens, mais leur désabusement. Ces derniers ont été tellement trompés qu’ils veulent désespérément croire. Et à chaque fois, ils sont déçus ! Quand on parle de la malhonnêteté intellectuelle des politiciens, on fait surtout référence à leurs promesses électorales non tenues. Pourtant, ceux qui suivent de près les élus, se rendent compte que le mensonge en politique n’est pas réservé seulement qu’aux campagnes électorales. Il est quotidien et se glisse dans les conférences de presse, les discours, les communiqués. Le mensonge ronge la politique comme un cancer ronge le corps d’un malade.

Le mensonge fait partie du quotidien de l’homme politique. Pour lui, le mensonge est indispensable à sa survie. Un politicien paresseux peut réussir, un politicien ennuyeux également, mais un politicien qui ne sait pas utiliser le mensonge est voué à l’échec, selon la plupart des observateurs de la scène politique.

Pour eux, cette manipulation quotidienne de la vérité, peut sembler bénigne, mais par leur prolifération, par la place qu’ils prennent dans la culture politique, les petits mensonges quotidiens ouvrent la voie aux gros mensonges et aux tromperies électorales. Observons un nouveau candidat et nous l’entendrons débiter la même série de faussetés du genre : « Je n’ai d’autre ambition que celle de servir mes concitoyens ».
Dans n’importe quel parti, on l’entendra dire qu’il n’est pas un politicien traditionnel, qu’il désire faire de la politique différemment, être franc et honnête, puis aussitôt élu, il s’empressera de travestir la réalité pour qu’elle lui soit la plus favorable, de dissimuler les côtés moins glorieux de son passé et de taire son opinion sur une politique controversée de son parti. Le mensonge en politique constitue un abus de confiance et il doit être condamnable, quelle qu’en soit la forme.

Au palmarès des mensonges en politique, ceux portant sur l’unité du parti arrivent au premier rang. Tous les partis politiques font preuve à l’endroit d’un dissident qui s’exprime publiquement, d’une intolérance digne des pires dictatures. Un député peut fort bien se dissocier d’une prise de position de son parti ; il peut manœuvrer pour la faire renverser ; il peut même comploter contre son chef.
Cependant, tout cela doit se faire discrètement, dans les coulisses. Si ce député s’exprime publiquement, il s’expose aux pires sanctions et celles-ci ne viennent pas seulement du chef, mais de l’ensemble du parti, y compris de ceux qui partagent les idées du rebelle. Il y a une règle non écrite en politique selon laquelle un parti doit paraître uni, quelles que soient les circonstances.
Or ce « paraître » nécessite un nombre incalculable de mensonges. La loyauté comme telle, n’est pas vraiment requise dans un parti politique. Ce qui compte, c’est l’apparence de loyauté. Il en va de même pour la franchise. C’est l’apparence de franchise qui compte. Cependant, l’apparence de loyauté prime, car elle trône au sommet de ce milieu détraqué.

En politique donc, le mensonge et la tromperie sont de mise. Ceux qui, par fidélité à leurs principes les plus sacrés, disent ce qu’ils pensent, sont traités en parias par leur propre parti. Autrement dit, ceux qui agissent franchement, commettent un acte ignoble, tandis que ceux qui se taisent ou camouflent leurs intentions, font preuve de respect et de loyauté. On voit bien que ce système réprime la franchise et encourage le mensonge. Tous ceux qui accèdent au pouvoir comprennent rapidement qu’ils doivent jouer le jeu de la perfection et de la franchise, le jeu des faussetés, des insinuations et de la démagogie.

Robert Bourassa, qui fut premier ministre du Québec, l’admettait en disant : « Le jeu partisan est souvent bien ingrat pour la vérité des faits ». Quand on songe au mépris manifeste des politiciens pour la vérité, on reste sidéré devant l’interdiction de prononcer le mot « menteur » à la Chambre des communes ou à l’Assemblée nationale. Dans nos parlements, un politicien peut affirmer n’importe quoi contre n’importe qui, l’accuser sans preuve des pires crimes, sans être passible d’aucune punition.
On appelle cela l’immunité parlementaire. Mais accuser un autre député d’avoir menti, quelle horreur ! Cette interdiction ne paraît-elle pas ironique dans un milieu où le mensonge fait partie du quotidien ?

Le mensonge a gangrené le milieu politique jusque dans ses moindres replis.
Il est donc important de trouver les origines du mal et de chercher à comprendre pourquoi les politiciens mentent comme ils respirent. La réponse nous apparaît bien simple :
Si les politiciens ont recours au mensonge, c’est parce qu’ils sont convaincus de sa rentabilité.
Cette rentabilité n’a-t-elle pas été maintes fois démontrée ? Les politiciens qui sont les plus habiles menteurs sont ceux qui durent le plus longtemps et qui obtiennent le plus de succès. Les hommes et les femmes qui se lancent en politique et pour qui la franchise est une valeur importante, sont écartés dès leurs premiers pas. Certaines personnes diront : « N’y a-t-il pas un seul politicien honnête ? ».
Remarquez que ce n’est pas d’honnêteté dont il est question. Certains politiciens sont bien intentionnés, dévoués et travailleurs. Mais en entrant en politique, les nouveaux venus pénètrent dans une culture qui fonctionne au mensonge et leur réussite dépend de leur adhésion totale à cette culture. La marginalité n’est pas tolérée. « La morale n’a rien à voir dans ce domaine.
Le mensonge fait partie du jeu politique ; c’est une arme dont il faut savoir user intelligemment, sous peine d’être exclu du jeu », écrit l’économiste français Pierre Lenain, émule de Machiavel. Des politiciens honnêtes, il est possible d’en trouver, selon lui, mais des politiciens qui ne mentent pas ? Impossible !

Et pourquoi le mensonge est-il rentable ? Tout simplement parce que le peuple le récompense, car en fin de compte, c’est toujours le meilleur menteur qui gagne. Soit que le peuple n’est pas conscient de la tromperie, (ce qui est très rare) ou soit qu’il l’accepte en maugréant, estimant ne pas avoir le choix, ou soit encore parce qu’il préfère ignorer la vérité. Le peuple sait-il qu’on lui ment ? Il le sait fort bien, dans le sens de la croyance populaire selon laquelle tous les politiciens sont des menteurs.
En même temps, le peuple ne semble pas saisir le mensonge dans toute son ampleur et son raffinement. C’est pour cette raison que les plus habiles menteurs obtiennent tant de succès. Le peuple continue de voter et de s’intéresser, du moins en apparence, à la chose politique.
Arrive une nouvelle figure, un nouveau programme et le peuple reprend espoir et tombe dans le piège pour la millième fois. Cet espoir ne peut s’expliquer que par une méconnaissance de l’étendue réelle du mensonge en politique, car quiconque suit la bête de près, perd rapidement ses illusions.

Il y a-t-il un mince espoir pour que la situation change ? Il est évident qu’on ne peut compter sur les politiciens pour qu’ils se conforment d’eux-mêmes aux exigences de la vérité. La rentabilité du mensonge a été démontrée tant de fois que celui-ci constitue désormais l’alphabet du langage politique. Chez le politicien d’expérience, le mensonge est devenu une seconde nature, un réflexe.
C’est ce réflexe qu’il faut briser. Pour y parvenir, il n’y a qu’un moyen : Renverser le cours de l’histoire et faire en sorte que le discours politique donne désormais des résultats différents. Il faut que la vérité devienne rentable et non pas le mensonge. Seul le peuple a le pouvoir d’effectuer ce changement, en récompensant la vérité et en punissant sévèrement le mensonge.
Finis les faux-fuyants ! Il faut élire des politiciens qui exposent les problèmes en toute sincérité et qui proposent un idéal à atteindre tout en présentant honnêtement les perspectives réelles de solutions. Il ne faut plus accepter la démagogie qui consiste à vouloir « démoniser » l’adversaire à tout prix. Il ne faut surtout pas élire ceux qui proposent des solutions simplistes et qui promettent mer et monde. Ce changement d’attitude nécessite une vigilance de tous les instants, à l’endroit des politiciens et également à l’égard de nous-mêmes qui aimons trop les solutions faciles.
La condition de cette vigilance est la conviction que la vérité fait partie de nos droits ; que nous pouvons et nous devons l’exiger. Les politiciens veulent notre vote ; c’est à nous de le leur faire payer chèrement !

Et bout du petit matin, c'est encore au nom de l'autonomie que l'on commet tous ces crimes....

5.Posté par LECTEUR JE SUIS le 01/12/2009 09:38
Bravo pour ce texte,mais s'ils sont tous des coquins il faut les denoncer et mettre leur vie privée au grand jour
De tous ces messieurs comme il faut... surtout ceux qui viennent des trous a caca il doivent lre ce texte avec attention

6.Posté par glondu georges le 01/12/2009 12:39
comme on peut le constater, je n'hésite pas à m'identifier clairement.
je tiens à féliciter ARSENE DE LA VIGIE pour la qualité de sa réflexion et la pertinance de ses observations.
il a su résumer en quelques lignes la situation actuelle, et nous a fait comprendre que si nous voulons que les hommes politiques changent de comportement vis à vis de la population, c'est à cette dernière à se faire respecter, en écartant du pouvoir toutes celles et tous ceux qui cherchent à les tromper.

7.Posté par Un lecteur assidu le 01/12/2009 17:43
Woulo bravo pour ce texte d'Arsène de la Vigie,que le site devrait reprendre dans une rubrique commentaire sélectionné.Le texte n'attaque personne mais fait le cosntat d'une situation qui vaut aussi pour d'autres pays.
Félicitations c'est ce que l'on attend sur ce site où circule des voyous de toute sortes.

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