Accueil
Au Palais Présidentiel Beit Salal, autour de Monsieur AZALI Assoumani, Président de la République de l’Union des Comores au Centre, à gauche Chantal Salinière, Vice présidente de CIOA, Monsieur Saïd Ali Saïd CHAYHANE, ministre des finances, à droite, Léon LUCIDE, président de CIOA et monsieur Hamadi IDAROUSSI, Secrétaire Général du Gouvernement (équivalent du 1 er Ministre).
Effectivement toute cette zone est considérée comme une zone en émergence, et presque tout y est à faire. Commerces, infrastructures, administration santé et bien d’autres secteurs encore. Certains habitués du développement considèrent même que toute cette partie du monde est à l’image de la martinique d’il y a 30 ans.
Il n’est pas rare d’entendre que tel ou tel autre structure Européenne est en passe de vouloir s’implanter. Raison de plus pour signaler le fait que des Martiniquais afro descendants sont en contact avec les instances dirigeantes des pays de cette zone en particulier quand ils deviennent les conseillés spéciaux d’états.
C’est le cas de Léon Lucide, dont nous vous avons déjà parlé à ici MARTINIQUE. Ce dernier, Martiniquais, Ducosais, après avoir réussi l’introduction en bourse de son entreprise de facilitation est maintenant Outre l’apport de ses ressources au gouvernement du pays, pour leur propre usage, et celui de ses entreprises publiques et privées. Il est porteur par le CIOA de son assistance stratégique, financière et opérationnelle aux autorités du pays.
L’enjeu l'élaboration et la mise en œuvre des politiques publics en vue de l’émergence des Comores d'ici 2030. C’est comme si une entreprise de conseil devenait l’un des back office de la CTM.
Nous n’allons pas nous demander pourquoi ce qui est possible ailleurs ne l’est pas ici en Martinique, car ici aussi le CIOA est en convention avec plusieurs partenaires, dont la ville de Ducos sur la question de son territoire numérique. C’est par contre la vérification que le savoir faire Martiniquais peut s’exporter et devenir un model de référence, autant dans le commerce avec GBH que dans le conseil avec le CIOA.
Il n’est pas rare d’entendre que tel ou tel autre structure Européenne est en passe de vouloir s’implanter. Raison de plus pour signaler le fait que des Martiniquais afro descendants sont en contact avec les instances dirigeantes des pays de cette zone en particulier quand ils deviennent les conseillés spéciaux d’états.
C’est le cas de Léon Lucide, dont nous vous avons déjà parlé à ici MARTINIQUE. Ce dernier, Martiniquais, Ducosais, après avoir réussi l’introduction en bourse de son entreprise de facilitation est maintenant Outre l’apport de ses ressources au gouvernement du pays, pour leur propre usage, et celui de ses entreprises publiques et privées. Il est porteur par le CIOA de son assistance stratégique, financière et opérationnelle aux autorités du pays.
L’enjeu l'élaboration et la mise en œuvre des politiques publics en vue de l’émergence des Comores d'ici 2030. C’est comme si une entreprise de conseil devenait l’un des back office de la CTM.
Nous n’allons pas nous demander pourquoi ce qui est possible ailleurs ne l’est pas ici en Martinique, car ici aussi le CIOA est en convention avec plusieurs partenaires, dont la ville de Ducos sur la question de son territoire numérique. C’est par contre la vérification que le savoir faire Martiniquais peut s’exporter et devenir un model de référence, autant dans le commerce avec GBH que dans le conseil avec le CIOA.
Tenant compte de cette information, nous envisageons de vous faire découvrir les Comores, car d’autres opportunités de développement pourraient se faire jour. Voici le communiqué officiel du CIOA dont les deux dirigeants ont été décoré officiellement.
Pour redécouvrir ce qui a déjà été fait en MARTINIQUE cliquez sur la photo.
Ce mardi 25 juillet 2017, a été signée entre l’Union des Comores représenté par son Ministre des Finances, Monsieur Saïd Ali Saïd CHAYHANE, et Léon LUCIDE, Président du Groupe CIOA, la convention d’adhésion du pays au système de mutualisation de CIOA.
Outre l’apport de ses ressources au gouvernement du pays, pour son propre usage, et celui de ses entreprises publiques et privées, CIOA va porter son assistance stratégique, financière et opérationnelle aux autorités du pays pour l'élaboration et la mise en œuvre des politiques publiques en vue de l’émergence des Comores d'ici 2030. Le « Programme Socle », (plan d'action prioritaire proposé par CIOA), doit démarrer sans délai.
Il concerne la réalisation d’infrastructures routières, la mise en place de moyens constructifs innovants pour la construction de bâtiments publics et de logements sociaux, le déploiement de services d'affaires et de services financiers pour les entreprises. Il est attendu de ce programme, la modernisation des structures de l'État, la dynamisation du secteur privé, et la création d’au moins 2 000 emplois.
Depuis son avènement au pouvoir il y a un an, le Président AZALI a fait montre d’une grande détermination pour sortir son pays du sous-développement, notamment, en réglant, un problème chronique dans toute l’Afrique, celui de la défaillance des infrastructures de production d’énergie (qui entraîne des délestages insupportables pour la population et les entreprises), lancé le chantier d’un Centre Hospitalier moderne de 600 lits, et attiré de nombreux investisseurs étrangers.
Outre l’apport de ses ressources au gouvernement du pays, pour son propre usage, et celui de ses entreprises publiques et privées, CIOA va porter son assistance stratégique, financière et opérationnelle aux autorités du pays pour l'élaboration et la mise en œuvre des politiques publiques en vue de l’émergence des Comores d'ici 2030. Le « Programme Socle », (plan d'action prioritaire proposé par CIOA), doit démarrer sans délai.
Il concerne la réalisation d’infrastructures routières, la mise en place de moyens constructifs innovants pour la construction de bâtiments publics et de logements sociaux, le déploiement de services d'affaires et de services financiers pour les entreprises. Il est attendu de ce programme, la modernisation des structures de l'État, la dynamisation du secteur privé, et la création d’au moins 2 000 emplois.
Depuis son avènement au pouvoir il y a un an, le Président AZALI a fait montre d’une grande détermination pour sortir son pays du sous-développement, notamment, en réglant, un problème chronique dans toute l’Afrique, celui de la défaillance des infrastructures de production d’énergie (qui entraîne des délestages insupportables pour la population et les entreprises), lancé le chantier d’un Centre Hospitalier moderne de 600 lits, et attiré de nombreux investisseurs étrangers.
