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En effet il a existé une période où l'amiante était considéré comme un matériau magique. Et il était mis dans tous les produits qui devaient être résistants ou être confrontés à la chaleur, au feu et à l'érosion.
Dans le cas de RFO il n'est pas improbable que de l'amiante soit mis dans les matériaux de construction de l'époque. La preuve c'est qu'on en trouve aujourd'hui au moment même où des travaux importants, peut-être même de démolition doivent être envisagés.
La réglementation est stricte: Pour tous travaux de rénovation, un diagnostic du bâtiment doit être réalisé. Dans le cas des locaux de RFO où on semble découvrir cet amiante, nous nous posons la question suivante: Comme le bâtiment ne peut être vendu sans un diagnostic préalable y compris amiante, ceux qui ont vendu le bâtiment et ceux qui l'ont acheté savaient obligatoirement qu'il y avait de l'amiante. Et certainement que le prix de la vente a pris en compte cette donnée. Nous dirons obligatoirement.
Secondement, les directions successives qui ont fait des travaux d'adaptation ou embellissement voire de rénovation, ne pouvaient pas ne pas savoir qu'elles étaient en présence d'amiante, puisque là aussi le diagnostic préalable aux travaux est obligatoire. Alors la seule question qui vaille c'est de savoir quelle teneur en fibre d'amiante disposait l'air ambiant de RFO. Il n'est pas fait obligation de retirer cet amiante si le taux est inférieur à la norme. On peut notamment procéder à un calfeutrage de cet amiante, avec du faux plafond, de la moquette ou tout autre matériau qui peut servir de sarcophage. La difficulté est quand cet amiante est dans la peinture ! Il serait bon pour le personnel de RFO de savoir si les peintures y compris extérieures avaient de l'amiante.
La réglementation est stricte: Pour tous travaux de rénovation, un diagnostic du bâtiment doit être réalisé. Dans le cas des locaux de RFO où on semble découvrir cet amiante, nous nous posons la question suivante: Comme le bâtiment ne peut être vendu sans un diagnostic préalable y compris amiante, ceux qui ont vendu le bâtiment et ceux qui l'ont acheté savaient obligatoirement qu'il y avait de l'amiante. Et certainement que le prix de la vente a pris en compte cette donnée. Nous dirons obligatoirement.
Secondement, les directions successives qui ont fait des travaux d'adaptation ou embellissement voire de rénovation, ne pouvaient pas ne pas savoir qu'elles étaient en présence d'amiante, puisque là aussi le diagnostic préalable aux travaux est obligatoire. Alors la seule question qui vaille c'est de savoir quelle teneur en fibre d'amiante disposait l'air ambiant de RFO. Il n'est pas fait obligation de retirer cet amiante si le taux est inférieur à la norme. On peut notamment procéder à un calfeutrage de cet amiante, avec du faux plafond, de la moquette ou tout autre matériau qui peut servir de sarcophage. La difficulté est quand cet amiante est dans la peinture ! Il serait bon pour le personnel de RFO de savoir si les peintures y compris extérieures avaient de l'amiante.
Ce qui est préoccupant dans cette communication sur cette affaire c'est que le personnel semble découvrir les faits. Il ne pouvait pas ne pas y avoir à RFO un CHSCT. Et donc cette représentation du personnel , ne pouvait pas ne pas connaitre la nature des travaux réalisés et les risques liés à ces travaux donc la présence d'amiante dans le bâtiment.
Par conséquent si cette communication est partagée sur les réseaux maintenant, c'est qu'il y a une volonté désormais, d'en faire une affaire. Il ne serait pas étonnant que dans les jours qui suivent une note interne soit adressée au personnel, voire à l'opinion publique pour faire un éclaircissement. Mais vous découvrirez que si les médias s'occupent des affaires de tout le monde, cela les saoule d'informer les mêmes auditeurs sur ce qui les concerne.
