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Selon la radio d'Etat je cite
Plus de peur que de mal pour un pêcheur de Sainte-Luce, en difficulté dans le canal de Sainte-Lucie. Parti à la pêche hier matin (samedi 1 er février 2020), à bord de sa yole mais sans radio VHF et seul, il a été sauvé de justesse par le navire de la Marine nationale "Dumont d'Urville". Seul à bord de sa yole, sauvé de justesse hier (samedi 1 er février 2020) par le navire de la Marine nationale "Dumont d'Urville". Son embarcation dérivait depuis plusieurs heures dans le canal de Sainte-Lucie. Fin de citation
Voilà une affaire qui finit bien, mais on peut par contre s’interroger sur les conditions par lesquelles arrive cet incident. On découvre en effet qu'il était seul. Qu'il n'était pas équipé de tous les moyens d'assurer sa sécurité . S'il n'avait pas de VHF on peut se demander pourquoi il n'a pu utiliser son téléphone portable.
Cette affaire mérite d'être creusée pour mieux comprendre l'arbre des risques de cet incident . Pour savoir ce qu'en dit le cabinet du corps préfectoral qui gère les affaires courantes en attendant la nomination du nouveau préfet cliquez sur page suivante.
Voilà une affaire qui finit bien, mais on peut par contre s’interroger sur les conditions par lesquelles arrive cet incident. On découvre en effet qu'il était seul. Qu'il n'était pas équipé de tous les moyens d'assurer sa sécurité . S'il n'avait pas de VHF on peut se demander pourquoi il n'a pu utiliser son téléphone portable.
Cette affaire mérite d'être creusée pour mieux comprendre l'arbre des risques de cet incident . Pour savoir ce qu'en dit le cabinet du corps préfectoral qui gère les affaires courantes en attendant la nomination du nouveau préfet cliquez sur page suivante.
Communiqué de presse: Sauvetage d’un pêcheur dans le canal de Sainte-Lucie Samedi 1 er février 2020, à 17h16,
Le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage ANTILLES-GUYANE (CROSS AG), basé à FORT-DE-FRANCE, reçoit le signal de détresse d’une balise 406 MHZ équipant une yole de pêche basée à SAINTE-LUCE, en MARTINIQUE. Le CROSS AG prend la coordination de l’opération. Après investigation, il s’avère que le propriétaire est parti seul à la pêche, le matin-même.
Il ne peut être contacté, n'ayant pas de radio VHF et étant hors de portée. Le CROSS AG émet des messages (relais de détresse) vers toutes les stations radio qui seraient susceptibles de lui porter assistance. Le navire de la Marine nationale « DUMONT D’URVILLE», en mer à ce moment-là, propose son concours et rallie en 5 heures la zone d’émission de la balise de détresse.
A 21h44, le « DUMONT D’URVILLE» détecte rapidement le navire recherché et le pêcheur est retrouvé sain et sauf. Celui-ci était en panne moteur et dérivait depuis plusieurs heures. Il est récupéré et mis hors de danger à bord du « DUMONT D’URVILLE» qui prend également en remorque son navire et fait route vers la MARTINIQUE.
Ce sauvetage doit principalement sa réussite à la présence à bord d’une balise de détresse (balise 406 MHZ), équipement de sécurité absolument essentiel qui a permis au pêcheur de donner l’alerte et d’être retrouvé.
La préfecture rappelle que la pêche en mer est une activité à risque qui nécessite une vigilance d’autant plus forte lorsqu’elle est pratiquée seul. La yole n’était pas équipée de moyen de radiocommunication VHF permettant de communiquer avec les autres navires ou directement avec le CROSS AG qui coordonne les opérations de recherche et de sauvetage.
Le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage ANTILLES-GUYANE (CROSS AG), basé à FORT-DE-FRANCE, reçoit le signal de détresse d’une balise 406 MHZ équipant une yole de pêche basée à SAINTE-LUCE, en MARTINIQUE. Le CROSS AG prend la coordination de l’opération. Après investigation, il s’avère que le propriétaire est parti seul à la pêche, le matin-même.
Il ne peut être contacté, n'ayant pas de radio VHF et étant hors de portée. Le CROSS AG émet des messages (relais de détresse) vers toutes les stations radio qui seraient susceptibles de lui porter assistance. Le navire de la Marine nationale « DUMONT D’URVILLE», en mer à ce moment-là, propose son concours et rallie en 5 heures la zone d’émission de la balise de détresse.
A 21h44, le « DUMONT D’URVILLE» détecte rapidement le navire recherché et le pêcheur est retrouvé sain et sauf. Celui-ci était en panne moteur et dérivait depuis plusieurs heures. Il est récupéré et mis hors de danger à bord du « DUMONT D’URVILLE» qui prend également en remorque son navire et fait route vers la MARTINIQUE.
Ce sauvetage doit principalement sa réussite à la présence à bord d’une balise de détresse (balise 406 MHZ), équipement de sécurité absolument essentiel qui a permis au pêcheur de donner l’alerte et d’être retrouvé.
La préfecture rappelle que la pêche en mer est une activité à risque qui nécessite une vigilance d’autant plus forte lorsqu’elle est pratiquée seul. La yole n’était pas équipée de moyen de radiocommunication VHF permettant de communiquer avec les autres navires ou directement avec le CROSS AG qui coordonne les opérations de recherche et de sauvetage.
