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DE QUI PARLEZ VOUS ET ALLEZ AU BOUT DE VOS POINTS DE SUSPENSION.
LE MUR FACE BOOK DE SONIA LANDEAU
S’il s’agit de moi je vous mets au défi de m’indiquer la moindre carte, la moindre inscription dans le moindre parti politique. ATTENTION ce n’est pas un défaut de posséder une carte de parti, c’est par contre une appartenance.
Une appartenance n’est pas un défaut, mais elle impose des obligations.
Et pourtant je dois connaitre personnellement presque tous les responsables politiques de Martinique. Il en est de même dans le domaine économique, agricole, culturel, religieux, sportif. Je suis de ces gens qui aiment la Martinique (COMME VOUS SANS DOUTE) et qui ont envie de faire grandir ce pays (COMME VOUS SANS DOUTE ET D’AUTRES AVEC) et, qui tous les jours ont envie de dégueuler au regard de la logique du K.O dans laquelle notre pays macère depuis des années.
En ce qui me concerne j’ai choisi de hurler contre l’indifférence, l’arrogance, la bêtise, la méchanceté gratuite, et les malintries et macaqueries.
Vous qui me suivez depuis quelques articles et qui mettez sur votre page les articles qui vous arrangent et qui semblent mettre l’émoi au PPM, merci d’accepter que je dise mon opinion sur ce qui se passe chez vous parmi vos membres.
Une appartenance n’est pas un défaut, mais elle impose des obligations.
Et pourtant je dois connaitre personnellement presque tous les responsables politiques de Martinique. Il en est de même dans le domaine économique, agricole, culturel, religieux, sportif. Je suis de ces gens qui aiment la Martinique (COMME VOUS SANS DOUTE) et qui ont envie de faire grandir ce pays (COMME VOUS SANS DOUTE ET D’AUTRES AVEC) et, qui tous les jours ont envie de dégueuler au regard de la logique du K.O dans laquelle notre pays macère depuis des années.
En ce qui me concerne j’ai choisi de hurler contre l’indifférence, l’arrogance, la bêtise, la méchanceté gratuite, et les malintries et macaqueries.
Vous qui me suivez depuis quelques articles et qui mettez sur votre page les articles qui vous arrangent et qui semblent mettre l’émoi au PPM, merci d’accepter que je dise mon opinion sur ce qui se passe chez vous parmi vos membres.
A CE PROPOS JE NE SUIS PAS UN ORGANE DE PRESSE.
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je suis un blog c’est à dire un espace de liberté où j’exprime mon opinion. Je vous invite vous aussi à faire de même vous avez tant de choses à dire.
Selon moi, nos politiques sont dépassés par la situation. Non exclusivement par ce que le peuple dépité laisse faire sans mettre la main à la patte, sans demander le retour sur investissement du bulletin de vote. sans le vouloir ils se trompent et nous trompent.
Mais aussi parce que nos élus ayant les mêmes croyances que nous reproduisent les mêmes bêtises que nous.
Avez-vous regardé à la télé la violence des propos échangés dans l’hémicycle du CONSEIL RÉGIONAL, dites-moi ce qu’il a manqué pour que DUVILLE ET LETCHIMY en arrivent aux mains à la dernière plénière.
Si ça vous amuse, moi pas !
Dans un pays où la presse industrielle est anesthésiée comment voulez–vous former une opinion publique ?
Moi j’ose dire que cela est insupportable. INACCEPTABLE et je prétends que se sont nos élus qui nous désespèrent. J’en appelle à ce qu’ils se ressaisissent. Car plus que jamais nous avons besoin deux.
CECI EST MON OPINION. Je vous la livre telle qu’elle me remonte du ventre.
Je ne prétends pas faire la révolution seul. Tout seul, avec moi tout seul. Je veux par contre démontrer que ceux qui ont la possibilité de le faire, qui savent écrire sans faute, penser moderne, réfléchir pour dix, préfèrent se couvrir, se cacher pour eux, et sont en réalité les premiers à s’extasier devant le spectacle hideux de nos 60 000 exclus.
VOYEZ-VOUS JE CONSIDÈRE QUE JE SUIS DE CES EXCLUS QUI NE PEUVENT RÊVER D'UNE MARTINIQUE MEILLEURE !
Qui ne peuvent espérer pour leurs enfants des lendemains meilleurs, une Martinique plus juste, une Martinique plus prospère.
Et je le dis aussi fort que je pense, aussi ardemment que tous les combats que j’ai menés avec tous ceux qui me reconnaissent comme leur ami, collaborateur, patron ou sympathisant.
J’en arrive presque à considérer qu’il est PARFOIS plus rentable, moins problématique aujourd’hui à la Martinique de rester chez soi, que d’agir.
Et vous voulez que je me taise en plus? Vous me suspectez d’appartenance ?
En réalité n’arrivant pas à ne rien faire, ni à me taire j’ai donc entrepris de commencer ce qui me tenait à cœur depuis longtemps, observer notre société, la décrire, la décortiquer ,l’analyser avec mes mots et porter ma contribution active à sa construction durant cette période semi sabbatique que je me suis imposé.
Selon moi, nos politiques sont dépassés par la situation. Non exclusivement par ce que le peuple dépité laisse faire sans mettre la main à la patte, sans demander le retour sur investissement du bulletin de vote. sans le vouloir ils se trompent et nous trompent.
Mais aussi parce que nos élus ayant les mêmes croyances que nous reproduisent les mêmes bêtises que nous.
Avez-vous regardé à la télé la violence des propos échangés dans l’hémicycle du CONSEIL RÉGIONAL, dites-moi ce qu’il a manqué pour que DUVILLE ET LETCHIMY en arrivent aux mains à la dernière plénière.
Si ça vous amuse, moi pas !
Dans un pays où la presse industrielle est anesthésiée comment voulez–vous former une opinion publique ?
Moi j’ose dire que cela est insupportable. INACCEPTABLE et je prétends que se sont nos élus qui nous désespèrent. J’en appelle à ce qu’ils se ressaisissent. Car plus que jamais nous avons besoin deux.
CECI EST MON OPINION. Je vous la livre telle qu’elle me remonte du ventre.
Je ne prétends pas faire la révolution seul. Tout seul, avec moi tout seul. Je veux par contre démontrer que ceux qui ont la possibilité de le faire, qui savent écrire sans faute, penser moderne, réfléchir pour dix, préfèrent se couvrir, se cacher pour eux, et sont en réalité les premiers à s’extasier devant le spectacle hideux de nos 60 000 exclus.
VOYEZ-VOUS JE CONSIDÈRE QUE JE SUIS DE CES EXCLUS QUI NE PEUVENT RÊVER D'UNE MARTINIQUE MEILLEURE !
Qui ne peuvent espérer pour leurs enfants des lendemains meilleurs, une Martinique plus juste, une Martinique plus prospère.
Et je le dis aussi fort que je pense, aussi ardemment que tous les combats que j’ai menés avec tous ceux qui me reconnaissent comme leur ami, collaborateur, patron ou sympathisant.
J’en arrive presque à considérer qu’il est PARFOIS plus rentable, moins problématique aujourd’hui à la Martinique de rester chez soi, que d’agir.
Et vous voulez que je me taise en plus? Vous me suspectez d’appartenance ?
En réalité n’arrivant pas à ne rien faire, ni à me taire j’ai donc entrepris de commencer ce qui me tenait à cœur depuis longtemps, observer notre société, la décrire, la décortiquer ,l’analyser avec mes mots et porter ma contribution active à sa construction durant cette période semi sabbatique que je me suis imposé.
Je produis donc avec cœur, et jusqu’à nouvel ordre au moins une réflexion par jour que je diffuse.
ET JE SUIS SURPRIS DE CONSTATER les retours positifs, plus de 100 000 mille pages vues pour les chiffres au 26 /02/2014 sur le blog dont je fais l’animation. Et ces nombreuses personnes qui partagent avec moi, la même angoisse, les mêmes interrogations et les mêmes espoirs, qu’en dire, qu’en penser, qu’en faire?
Merci donc de me lire, de ne pas remarquer que mes fautes, mais de comprendre mes idées. Merci de me contester, de me contredire, mais aussi de me renseigner, d’approuver, d’enrichir, de partager, mais surtout, allez au bout de vos points de suspension.
Pasé en bel jounin ti ma fi.
ET JE SUIS SURPRIS DE CONSTATER les retours positifs, plus de 100 000 mille pages vues pour les chiffres au 26 /02/2014 sur le blog dont je fais l’animation. Et ces nombreuses personnes qui partagent avec moi, la même angoisse, les mêmes interrogations et les mêmes espoirs, qu’en dire, qu’en penser, qu’en faire?
Merci donc de me lire, de ne pas remarquer que mes fautes, mais de comprendre mes idées. Merci de me contester, de me contredire, mais aussi de me renseigner, d’approuver, d’enrichir, de partager, mais surtout, allez au bout de vos points de suspension.
Pasé en bel jounin ti ma fi.
