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LE BEKE BERNARD DE GENTILE CONFIRME SON RACISME ! Par Camille CHAUVET


Rédigé le Lundi 1 Février 2010 à 19:47 |

Rédaction du Naïf : On peut de plus en plus penser que certains békés font l’effort du rapprochement, c’est sans doute le cas de José Hayot,de Patrice Fabre ou de certains fils Ernoult, mais les incorrigibles sont là. Au mariage le marié n’était pas trop nègre …rien que ça !


LE BEKE BERNARD DE GENTILE CONFIRME SON RACISME ! Par Camille CHAUVET
Il m’est arrivé de rencontrer, Bernard Hayot et ses fils, ces derniers sont persuadés que je cultive une violence à l’égard des Martiniquais-békés, j’ai beau lui dire que les provocateurs et les racistes békés existent et que l’exemple de la marche des tracteurs sur Fort-de-France, les propos du patriarche Alain Huyghes-Despointes , l’ambivalence des comportements Roger de Jaham témoignent, mes exemples et mes constats ne pèsent pas grand chose .

A leurs yeux , le mal, la violence sont incarnés par mes propos sur KMT et mes écrits dans le Naïf.
Et la boucle semble se refermer,mais le temps confirme mes mises en évidence.

Face une journaliste venus du froid, les békés racistes causent en toute liberté, le documentaire de Canal Plus n’a pas servi.

Que dit la journaliste de Télérama (Emmanuelle Anizon) : « La famille de Gentile soutient financièrement le même candidat d'opposition, qui se trouve être, le hasard fait bien les choses, ex-directeur de l'office de tourisme de la Martinique. « Un béké, étant donné son "histoire", ne peut intervenir directement dans le jeu politique, regrette Jean-Michel de Gentile.

La population ne l'accepterait pas. Mais cette dissociation entre les pouvoirs économique et politique est sûrement un des drames de la Martinique. »

Son frère Bernard poursuit « Nous les békés fonctionnons en dynastie, construisons pour plusieurs générations.

Nous savons attendre, Un jour, Malsa ne sera plus là. ». On croit penser que les choses évoluent. Il y a quelques semaines, les médias locaux ont titré sur le mariage d'une fille béké avec un « Noir ». Le papa, Roger de Jaham, président de l'association Tous créoles, qui milite pour un rapprochement des Martiniquais, évoque la larme à l'oeil « ce grand jour pour les créoles ». Bernard de Gentile, invité à ce « beau mariage », nous précise tout de même que « le marié était très clair » et ne résiste pas à la boutade : « Ma femme de ménage m'a dit : "Mais c'est un Noir ! Vous n'allez pas assister à ce mariage !" »
Voilà ce que rapporte la journaliste.


b[NDLR : Nous ne sommes pas loin des propos du patriarche raciste Alain Huyghes-Despointes : « Dans les familles métissées, les enfants sont de couleurs différentes, il n'y a pas d'harmonie. Moi, je ne trouve pas ça bien. Nous [les békés] on a voulu préserver la race. ».]b







SOCIETE


1.Posté par Lependu le 01/02/2010 21:19
Le patriarche béké raciste a été poursuivi,Claude Cayol menacé de poursuite et les propos de ce raciste degentile semble passer tranquillement. ... aucune servante n' a tenu les propos de mariage de noir ... noir clair
c'est lui qui fait parler sa servante,sinon il faut poursuivre cette servante métropolitaine raciste.

2.Posté par jean Marc le 01/02/2010 21:34
Preuve est faite : Les békés sont négrophobes et le constat est fait :
par Jacques Chirac : « L’Afrique..."On leur a tout piqué’, culture, matières premières, main- d’oeuvre, et maintenant leur intelligerance et on les dit « bons à rien » !
Par Jean-Marie Le Pen : "Le foncier de Martinique appartient encore pratiquement totalement aux Békés. Personne ne sait cela en France. En 200 ans, depuis la révolution, cela n’a subi aucun changement ».
L’aristocratie colonialiste Békée aux Antilles est soutenue par la métropole, comme pour le scandale de l’exploitation coloniale de l’Afrique par tout le système politique français, droite et gauche confondues.
On appelle ça un lobby hégémoniste, et on peut aujourd’hui le qualifier de négrier, au sens large. C’est le lobby Béké international.

3.Posté par Pour békéland le 01/02/2010 21:41
Merci de nous informer sur cette békaille , vous ne trouverez nulle part ailleurs que sur internet ce terrible constat fait par monsieur Camille Chauvet . Tout est très clair et très objectif. La réalité dépasse toutes les fictions qui ont été imaginées sur ce genre de thèmes. La réalité nous montre que la puissance de l’argent alliée à la hiérarchie contractuelle et aux collusions économiques, et politiques , a le pouvoir d’écraser tout ce qui la gêne sur son chemin, a le pouvoir de bafouer toute démocratie, de se foutre de la gueule de l’ensemble des citoyens, d’instituer en démarche quotidienne et banale l’horreur économique, de nous faire prendre des vessies pour des lanternes.

4.Posté par Kombit de Paris le 01/02/2010 21:56
Le racisme des békés tel que nous le connaissons aujourd'hui s'est développé au cours d'une phase-clé du développement du capitalisme en tant que mode de production dominant à l'échelle mondiale - l'établissement aux XVIIème et XVIIIème siècles de plantations coloniales dans le Nouveau Monde, utilisant une main-d’œuvre servile importée d’Afrique pour produire des biens de consommation tels que le tabac et le sucre, et des matières premières industrielles comme le coton pour le marché mondial.
Peter Fryer a retracé son développement en Angleterre : « Le racisme est apparu dans la tradition orale des Barbades au XVIIème siècle et s’est manifesté sous la forme de publications en Grande-Bretagne au XVIIIème, comme l'idéologie de la « plantocratie », la classe de planteurs de sucre et de marchands d'esclaves qui dominaient les colonies anglaises aux Caraïbes ».
L'exemple le plus influent de cette idéologie est celui fourni par l'Histoire de la Jamaïque (1774) d'Edward Long, mais déjà en 1753 le grand philosophe écossais David Hume, un des géants du Siècle des Lumières, déclarait : « Je suis porté à soupçonner les nègres, et en général toutes les autres espèces des hommes (car il en existe quatre ou cinq différentes), d’être naturellement inférieures aux blancs ».
Le développement de ce que Robin Blakburn appelle « l’esclavage systémique » dans les plantations d'Amérique du Nord et des Indes Occidentales, qui a nécessité la déportation de pas moins de 6 millions de captifs africains dans le seul XVIIIème siècle, est l'un des plus grands crimes du capitalisme. Cela dit, il est courant d'entendre dire que c'est l'existence préalable du racisme qui a rendu possible l'exploitation des esclaves africains. Cette interprétation est contestée par Eric Williams dans son étude classique du sujet : « L'esclavage n'est pas né du racisme; bien au contraire, le racisme a été la conséquence de l'esclavage. Le travail non-libre dans le Nouveau Monde était brun, blanc, noir et jaune ; catholique, protestant et païen ».
En effet, les économies des plantations étaient fondées au départ sur le travail servile de blancs, sous la forme de serviteurs contractuels qui acceptaient de servir comme esclaves pendant trois ou cinq ans en échange de leur voyage d’Europe.ET TOUT CELA CONTINUE SANS QUE VOUS NE FASSIEZ QUOIQUE CE SOIT ALORS FERMER LA GUEULE ET BOUFFER VOS ETRONS COMME DIRAIT CONFIANT LE BEKE INACHEVE... DONC CHABEN

5.Posté par De la Gwada le 01/02/2010 22:18
Peu de békés en Guadeloupe . Les békés, sont descendants de colons, il est aussi en rapport avec la période révolutionnaire de 1794. En effet, Victor Hugues au nom de la République fit guillotiner de nombreux colons guadeloupéens, ceux ayant réussi à garder la tête sur les épaules ayant préféré s'enfuir vers les possessions anglaises… Aujourd'hui, si les descendants de colons, les Blancs pays comme on les appelle en Guadeloupe, ne sont plus très présents, d'autres sont par contre revenus de Martinique (les békés) par le biais du commerce, à travers les monopoles qu'ils possèdent dans le domaine de l'automobile, de l'immobilier et des supermarchés. Alors que sous la Révolution française abolitionniste de nombreux colons avaient été éliminés physiquement tandis que d'autres s'étaient enfuis de Guadeloupe, on peut comprendre pourquoi se soit développée une certaine rancœur chez des Guadeloupéens soumis depuis la deuxième moitié du 20ème siècle à l'exploitation des grands békés de Martinique, descendants d'esclavagistes, via la domination économique. Trop tard pour la Martinique, elle doit composer avec eux.

6.Posté par José le 02/02/2010 05:12
Ne nous occupons pas d'eux.Eliminons les dans notre tête,sinon faisons un nouveau 22 mai ,un vrai mouvemnt de libération nationale et le compte sera bon

7.Posté par avenirauxantilles le 02/02/2010 08:32
Qui sont les « békés », ces « créoles blancs » dont vous parlez ? Ils descendent (1) de différents types de colons (2), arrivés d’Europe tout au long de la colonisation, laquelle ne s’est pas arrêtée à l’abolition de l’esclavage. Dans les premiers temps, il y eut quelques nobles cadets de famille, mais surtout des marins, des soldats, des commerçants, des ouvriers, des agriculteurs, des engagés (blanc travaillant 3 ans sur une plantation), des indigents envoyés de force aux Antilles. Les femmes, peu nombreuses au début de la colonisation, étaient pauvres et de milieu modeste ; certaines, orphelines, étaient aussi envoyées de force.

Certaines familles « békés » descendent également d'étrangers tels que des hollandais de confession protestante, chassés du Brésil, qui amenèrent la culture de la canne à sucre. Il y eut aussi des anglais, envoyés pendant les périodes où l’Empire colonial britannique possédait l’île.

A la Guadeloupe, les « békés » de la période de l’esclavage furent en grande partie massacrés en 1794 sous la dictature de Victor Hugues, alors commissaire de la République. Ainsi les blancs présents en Guadeloupe proviennent très majoritairement de la métropole bien après l'abolition de l'esclavage en 1848 et surtout au cours de la seconde moitié du 20ème siècle. De même, à la Martinique de nombreux blancs sont arrivés, après cette date, de toutes régions françaises ou européennes. Ces derniers sont aussi appelés « békés » dans le langage courant. Une très forte proportion des « békés » a disparu, avec la totalité des habitants de Saint-Pierre, lors de l’éruption du Mont Pelé le 9 mai 1902. Encore aujourd’hui des européens arrivent avec un billet d’avion aller sans retour.

Ainsi quel poids ces gens majoritairement modestes, souvent sans instruction, avaient-ils pour décider quoi que ce soit ? N’étaient-ils pas le plus souvent ou bien de simples aventuriers en mal d’exotisme, pour les volontaires, ou bien des exécutants, aucun n’ayant de pouvoir sur les décisions concernant la colonisation et l’esclavage, prises en hauts lieux, dans les salons des capitales ou autres villes françaises ou européennes, dans les Assemblées nationales ?

Des archives notariées nombreuses permettent d’établir, qu’aux Antilles même, des personnes noires libres possédaient aussi des esclaves. Doivent-elles être aussi qualifiées d’« esclavagistes » ? Les colons, volontaires ou non, exploitaient les terres des colonies, possédées par la Métropole, en utilisant la main-d’oeuvre qui leur était envoyée, à savoir les esclaves. L’esclavage était pour ces gens des colonies un fait mondial de société dont tout un chacun, vous le savez, profitait (3). On voit donc que ceux qui doivent être effectivement nommés « esclavagistes », ceux que le dictionnaire de l’Académie Française définit par : « Qui veut maintenir l'esclavage des nègres ou Qui en fait la traite », ne sont pas d’abord à chercher de ce côté-ci, même si l’on doit reconnaître que certains ont participé à ce crime contre l’humanité. N’occultons pas les autres.


(1) Voir par exemple pour le début le la colonisation le livre de Léo Elizabeth : «La société martiniquaise aux XVIIe et XVIIIe siècles, 1664‐1789 », Ed. Karthala, 2003, 526 pages, (dont 24 pages de bibliographie). On y apprend des choses très surprenantes, dès les premières pages.
Par exemple « un blanc peut‐être l’engagé d’un noir libre » page 26 en bas. Ou encore « Dans la catégorie des blancs et assimilés, entre 1660 et 1667, une personne sur quatre vit sous la dépendance d’une autre. », page 31. Ou encore même page : « Plus souvent, le capitaine du navire qui l’a transporté (l’engagé) le vend à l’arrivée à un habitant pour trente six mois, jusqu’à la décision du 28 février 1670. Pour attirer les candidats, la durée du service est alors ramenée à 18 mois ».

(2) Au sens Petit Robert de « Personne qui est allée peupler, exploiter une colonie – Habitant d’une colonie ressortissant de la Métropole ».

(3) Vous n’ignorez pas, qu’à la même période de l’esclavage dit « triangulaire », il y avait en méditerranée un non moins terrifiant trafic d’esclaves blancs. Voir Robert C. DAVIS « Esclaves chrétiens, maîtres musulmans » Ed. Jacqueline Chambon, 2006, 420 pages. Il est écrit ailleurs :« Environ un million à 1.250.000 Européens, pour la seule période comprise entre 1530 et 1780 – période de forte activité barbaresque en Méditerranée et dans l’Atlantique – furent enlevés de force au cours des razzias sur les littoraux italiens, français, espagnol,
sicilien, corse en Méditerranée et dans l’Atlantique ». Ou encore : « Au XVIIe siècle, il y eu davantage d’esclave blancs déportés annuellement aux Amériques que d’Africains » : Arnaud Raffard de Brienne : « La désinformation autour de l’esclavage », Ed. Atelier Fol’fer, coll. L’Etoile du berger, 2006. Pages 44 et 45. « Ces références font tomber l’argument selon lequel l’esclavage aurait été la conséquence d’un racisme préexistant à l’encontre des noirs », p. 45.

Qui sont alors les responsables de l’esclavage ? Ceux qui véritablement « avaient colonisé la Martinique au XVIIe siècle » et qui sont les « esclavagistes », les vrais, ceux qui ont mis en place, développé et maintenu le système ? Qui sont ceux qui se sont réellement enrichis ?

Est-il utile de le rappeler ? Ne vivaient-ils pas principalement en France et dans les autres pays d’Europe ? N’était-ce pas eux qui conduisaient depuis leurs métropoles la politique de leurs empires coloniaux gigantesques (la quasi-totalité du globe si on les cumule) et de l’esclavage, en se disputant les pays colonisés, ne donnant par leurs directives que peu de chance de survie aux populations colonisées, à leurs coutumes, à leurs cultures, à leurs langues, à leurs religion…, légiférant depuis leurs capitales, à des milliers de kilomètres, définissant et codifiant les moyens de développer la colonisation et l’esclavage, commanditant des expéditions militaires et négrières, armant des navires commerciaux ou négriers, faisant piller les matières premières par leurs colons…? On connaît le trio et l’ordre dans lequel cela fonctionnait : l’Armée, l’Eglise et le Marchand. Où « Le Code Noir » (4) a-t-il été discuté et voté ? Etait-ce au Parlement français en 1685 à Paris ou bien dans les colonies, en l’occurrence dans les îles, qui étaient chargées et contraintes de l’appliquer, par les relais que représentaient les Conseils Souverains (les Parlements locaux) ?

Les peuples amérindiens qui habitaient les îles, les peuples autochtones de nombreux pays colonisés par les puissances européennes, par exemple en Amérique du Nord et du Sud, n’ont-ils pas été éliminés dans de terribles génocides, par les armées des puissances européennes colonialistes ? Les décisions ne venaient-elles pas de leurs assemblées législatives et de leurs gouvernements pour implanter leurs colons et exploiter les ressources ? Celles-ci étaient, dans le cadre du système de l’Exclusif, transférées sur le continent européen entretenant le système colonialiste et esclavagiste. Pour ce faire, ils déversaient dans leurs colonies des hommes et des femmes, tous n’étant pas nécessairement volontaires, et des esclaves. Je ne m’étendrai pas plus, de nombreuses pages ont été écrites sur la question (5).

Où étaient les plus grands profiteurs du commerce de l’esclavage ? N’étaient-ils pas sur le territoire européen, à titre d’exemple, pour les français, à Nantes (6), à Bordeaux, à La Rochelle, au Havre, dans les grands et chics quartiers parisiens ou autres villes de province ? La colonisation et l’esclavage n’étaient-ils pas essentiels aux économies européennes de l’époque ? Les Français, les Européens ne vivaient-ils pas en nombre non négligeable de cette colonisation, du trafic et du travail des esclaves ? Sinon, pourquoi les avoir mis en place, développés, protégés par des lois, par des textes. On sait bien que certains partaient pour quelques années aux Antilles, afin d’en revenir fortune faite, ce qui leur donnait une reconnaissance sociale et une entrée à la Cour (7).


(4) « Le Code Noir ou le calvaire de Canaan », Louis Sala‐Molins. PUF 1987, 292 pages

(5) Voir par exemple :
‐ Sous la direction de Marc Ferro « Le livre noir du colonialisme », Hachette, 1.120 pages
‐ Gilles Manceron « Marianne et les colonies. Une introduction à l’histoire coloniale de la France », 320 pages
‐ Olivier Pétré‐Grenouilleau, « les Traites négrières, Essai d'histoire globale », éditions Gallimard, 2004
‐ Olivier Pétré‐Grenouilleau, « La traite des Noirs », Que sais‐je? PUF, Paris, 1997
‐ Olivier Pétré‐Grenouilleau, « Nantes au temps de la traite des Noirs », Hachette Littérature, Paris, 1998

(6) On avance 1.744 expéditions commanditées de Nantes entre le milieu du XVIIe et au milieu XIXe s. soit 41 % de l’ensemble (4.220) des expéditions françaises pendant la même période (http://les.traitesnegrieres.free.fr/index2.html)

(7) Alain GUEDE : « Monsieur de Saint‐George, Le nègre des lumières », Actes Sud 1999, 400 pages.



8.Posté par Rakam le rouge le 02/02/2010 18:21
Merci Avenir des Antilles, pour ce texte qui nous permet mieux comprendre qui sont ces prédateurs békés qui ont construit leur fortune sur la sueur et le sang des nègres.Faudra-il un jour rendre des comptes aux petits enfants des esclaves?

9.Posté par CCIM. le 03/02/2010 04:02
"Le racisme dans notre pays, c'est une menace permanente."c'est ce dit que Fillon,premier ministre de la république et le Bernard deGentile peut encore tenir de tels propos. Les békés continuent à méprsier les non-békés. C'est la honte !!!

10.Posté par Yoyotte le 04/02/2010 16:01
Salut mon île,

Il faut se rapprocher de "l'excellente" association RespectDom dirigée en France par... Le Président
Jean-François HAYOT. Le siège se trouve dans le... 16ème arrondissement de Paris. Normal, on va pas mettre ça chez les racailles tout de même ! Voir le lien joint.

11.Posté par Yoyotte le 17/03/2010 01:11
La parole est muselée ! Les Français n'ont pas le droit de savoir ! Il suffit de cliquer sur le lien joint pour comprendre. Si l'on sait que l'un des auteurs de cette censure est un gros nègre nwè de Martinique, on peut dire que le poisson pourrit toujours par la tête...

12.Posté par djosy le 17/03/2010 10:27
Les derniers maîtres de la Martinique déprogrammé à la demande d’associations

Planète, la chaîne du bouquet satellite, devait rediffuser par trois fois le programme documentaire de Romain Bolzinger, Les derniers maîtres de la Martinique, dont la sortie sur Canal +, en pleine crise sociale aux Antilles, l’an passé, avait fait défrayé la chronique journalistique et judiciaire. Une première diffusion a bien eu lieu le 5 mars. Par précaution et en vertu de l’action judiciaire à l’encontre d’Alain Huyghues Despointes, la chaîne a diffusé en préambule un avertissement et a coupé les propos litigieux. N’empêche, alertés de cette diffusion, les associations Tous créoles, Respect Dom et Collectifdom ont demandé à Rodolphe Belmer, de Planète, de bien vouloir déprogrammer le film. Roger de Jaham et Nathalie Fanfant lui ont écrit un premier courrier le 2 mars, suivi d’un second rédigé par Me Jim-Michel Gabriel, avocat au barreau de Paris, saisi par Daniel Dalin du Collectifdom et Jean-François Hayot de Respect Dom. La lettre, en copie à Canal +, au CSA, au procureur de Fort-de-France ou encore à Patrick Karam, a été suivie d’effet. Les deux autres diffusions ont été annulées.

FXG (Agence de presse GHM)

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