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LES FRANCS MACONS DU GRAND ORIENT DE FRANCE NE VEULENT PAS DES FEMMES !


Rédigé le Samedi 5 Septembre 2009 à 08:08 |

Par A SAVOIR : Le Grand Orient de France (GODF)compte de nombreuses loges maçonniques en Martinique. D'ailleurs lors du Cénacle mis enplace dans le cadre du Festival de Césaireville ,ils étaient sortis de leur trous, sous la conduite de l'un des leurs Jean-Claude Asselin de Beauville. Bien sûr,la question sur l'intiation des femmes avaient été posée... mais aucune réponse sérieuse .Les Frères du froid y ont répondu....


LES FRANCS MACONS DU GRAND ORIENT DE FRANCE NE VEULENT PAS DES FEMMES !
Le Grand Orient de France (GODF) s'est prononcé vendredi contre la liberté pour ses loges d'initier des femmes ou d'affilier des "soeurs" d'autres obédiences, lors de son convent annuel (assemblée générale) organisé à Lyon.

Réunis à huis clos, ils se sont également prononcés "à 58,7 %" contre l'affiliation au GODF des femmes initiées au sein de la Grande Loge féminine de France ou de l'une des quatre obédiences mixtes du mouvement maçonnique français.

Le vote s'est déroulé sans débat "dans la mesure où le convent de l'an dernier avait renvoyé cette question aux loges", a précisé un Frère sous couvert de l'anonymat. Selon lui, les discussions ont eu lieu "à la base", parmi les 50.000 membres du GODF, et chaque délégué est arrivé au convent avec un mandat précis.

Ceux de Martinique y étaient évidemment et ont voté si cette question a été envoyée aux Loges.

Les partisans de l'initiation des femmes "le sont au nom des principes mêmes de la maçonnerie", notamment "l'égalité et la citoyenneté républicaine", à l'image de l'ancien Grand Maître du GODF Jean-Michel Quillardet.

À l'inverse, les opposants "semblent considérer qu'il faut rester 'monogenre' lors de l'initiation", long "cheminement" où l'apprenti maçon assiste aux travaux de l'obédience "sans avoir le droit de parler".

Six femmes avaient commencé leur initiation l'an dernier au sein de 5 loges du GODF, sans autorisation, ce qui avait valu aux 169 maîtres maçons concernés une suspension par la Justice Maçonnique.

Une situation qui pose problème.

Notre rédaction rencontrera bientôt monsieur Jean-Claude Asselin de Beauville pour une interview sur cette question et d'autres questions sur le rôle de la maçonnerie en Martinique dans le contexte actuelle.



SOCIETE


1.Posté par LEKERRE le 05/09/2009 18:01
Les Maçons du Grand-Orient de France n’ont toujours pas compris les noces de l'anneau et de la couronne, et à la materia prima.Et aussi la nécessité de repenser les concepts-symboles que sont l'Homme et la Femme en raison d'une vision séparatiste, de plus en plus étendus, de ces éléments primordiaux?

En effet, la façon dont nos contemporains abordent les qualités ou défauts de ces deux êtres relève le plus souvent de la pure aberration réductrice. On peut même dire qu'il s'agit là d'une pernicieuse entreprise menée par une société tendant de plus en plus vers une vision unisexuée de l'être humain.

Peut-être qu'un jour, même si l'horizon semble lointain, une spiritualité vraie reprendra enfin ses droits et permettra d'évoquer la réelle complémentarité de l'Homme et de la Femme, non pour annihiler leurs facultés spécifiques, mais pour les exalter dans un sens créatif.

Dans le passé, des Sages avaient su exprimer cette complémentarité au moyen de l'incomparable symbole du yin et du yang, chacune des "virgules ou larmes" contenant le souvenir du principe essentiel de l'autre partie (petit cercle blanc dans la virgule noire, petit cercle noir dans la virgule blanche). De plus, leur parfaite imbrication dans l'unité du cercle - ou de l'alliance - montrait bien l'unité primordiale vers laquelle tendaient ces deux modalités.

Vu sous cet angle, la juste notion de mariage ou des noces offre peut-être un moyen d'aborder le mythe de la création. Il a fallu en effet que des matériaux se rencontrent en certaines circonstances et s'unissent par affinités pour former les diverses modalités d'être de toute la structure de l'Univers. Et, parmi ces matériaux, pourquoi n'y aurait-il pas eut des éléments d'aspect mâle et d'autre d'aspect femelle?

S'il en est ainsi peut-être avaient-ils cette supériorité, sur l'être humain : ne pas établir de hiérarchie entre les deux modalités? Pourquoi l'auraient-ils fait puisqu'ils n'avaient d'autre motivation que de s'unir pour obéir à la loi de la nature, et accomplir un troisième terme?

L'Amour a peut-être été le véritable moteur de l'accomplissement des différents stades de la Création. Ce qui semble parfaitement exprimé par la mythologie égyptienne. Ainsi, selon la tradition héliopolitainne, l'Indifférencié, Atoum, neter primordial, créateur du monde, fait surgir une ogdoade de fonctions créatrices de quatre couples, de quatre noces appelées à n'en former qu'une seule, celle de l'esprit… de la matière principielle.

Dans cette cosmogonie d'ordre principiel, les antagonistes ne sont qu'apparences. Seule la complémentarité des puissances mâle et femelle s'impose. On remarquera que cette théogonie ne se préoccupe pas de la création de l'Homme et de la Femme, mais celle-ci ne pourra que résulter du même principe essentiel.

Selon une autre optique traditionnelle, il semble que la civilisation humaine ait d'abord été dominée par un ordre matriarcal. Ordre découlant du concept de la Déesse Mère. Cette civilisation était agraire et basée sur la sédentarisation. Vint ensuite une civilisation nomade, guerrière, source des invasions qui établit un ordre patriarcal. Celui-ci instaura un Dieu dominant, conquérant, voire vengeur.

Le problème qui reste posé est de situer le moment où il y eut suprématie d'une divinité sur l'autre. Quoi qu'il en soit, ce fait n'est-il pas simplement la conséquence d'une erreur de fondation spirituelle? Ou d'une volonté délibérée de domination d'une puissance de nature masculine? Car, à vrai dire, les récits traditionnels ne sont pas toujours innocents.

La notion de l'Homme et de la Femme fait référence à la tradition d'Adam et d'Eve, l'un des mystères de la Création, comme couple primordial. Son sens symbolique incite à remarquer la différence, c'est-à-dire la dualité consubstantielle à cette Création. Il s'agit d'un partage (plus que d'une division) qui permet le retour à l'unité par une autre voie. Voie non humaine, mais à la portée de la faculté de connaissance de l'être, celle que confère l'Amour.

L'Ancien Testament entretient toutefois une certaine confusion quant à la hiérarchie revenant à l'Homme et à la Femme et la rendue traditionnelle. Dans le premier récit de la Genèse, Elohim dit : "Faisons l'Homme à notre image". Ce qu'il fit. La Bible ajoute: "Il les créa mâle et femelle". Selon ce récit, l'Homme et la Femme paraissent ainsi simultanément. Il leur est même dit: "Fructifier et multipliez-vous". Ces deux êtres sont donc dotés de leur intégrité physique. Et aucune hiérarchie ne semble les distinguer.

Les choses se compliquent avec le deuxième récit selon lequel Yahvé Elohim modèle l'Homme à partir de poussière du sol et lui insuffle une haleine de vie en ses narines. Puis, constatant que la solitude n'est pas bonne pour lui, Il veut lui faire "une aide qui soit semblable à lui". Il prélève alors une côte de l'Homme et la "bâtit en Femme. L'ambiguïté s'installe. L'Homme déclare: "Cette fois, celle-ci est l'os de mes os et la chair de ma chair. Celle-ci on l'appellera Femme parce que d'un Homme celle-ci a été prise".

Pourquoi l'expression "celle-ci"? Y avait-il eut un ou plusieurs essais antérieurs? Pourquoi l'appellation "Femme" justifie-t-elle le fait qu'elle ait été prise d'un Homme? Cela ne paraît pas clair. Peut-être n'est-ce qu'un problème de justesse de traduction. Seuls des Hommes pouvaient inventer pareilles formules qui, par la suite, justifieront commodément bien des interprétations! Et si, dans la réalité extra-humaine, la Femme qui était venue la première? Car enfin nous sommes là en présence d'un dilemme semblable à celui de l'oeuf et de la poule. Comment l'homme pouvait-il engendrer sans l'aide de la femme, à moins qu'il n'ait été androgyne?

Le premier récit biblique paraît spirituellement plus satisfaisant. L'autre semble bien être la conséquence d'une manipulation machiste. Mais, ne nous attardons pas davantage sur cette dispute qui n'avait d'autre propos que d'attirer l'attention sur les pièges pouvant résulter d'une réception trop crédule des données traditionnelles.

La représentation du couple se retrouve dans la plupart des formes de la Création. L'union des deux permet la perpétuation de la vie. Cette notion simple est déjà, à elle seule, un grand enseignement. Il implique qu'il suffit d'agir dans le sens de la vie et de répondre à son sens et à cette règle. C'est pourquoi - dans notre monde quotidien - le mariage (qu'il soit laïc ou religieux) ne devrait pas être pris à la légère. Le rapprochement, puis l'union d'un couple à bâtir est un véritable engagement. Il propose un sens symbolique que le monde actuel a perdu de vue. Mais s'arrêter seulement à cet aspect terrestre serait oublié son sens le plus profond. Celui de la vie sous toutes ses formes.

Est-il donc utile de créer une hiérarchie entre l'Homme et la Femme, voire une égalité totale? Ces deux pôles complémentaires ont vraisemblablement été composés en même temps avec leurs justes et propres caractéristiques. Toutefois le thème féminin de la matrice créatrice à évoquer le processus de l'Initiatrice. Celle-ci est l'appel permanent de la Création, à naître à chaque instant. Elle demande fécondation de ce qui peut être principe d'alimentation de la vie. Elle est Isis qui rassemble les morceaux (la multiplicité) et permet la création de l'Homme nouveau. Ce processus n'est-il pas la clef de toutes les formes de naissance à soi-même?

L'Homme, et partant, la Femme, sont-ils une finalité de la Création ou simplement l'une de ses composantes ? La question paraît insoluble en l'état actuel des choses. Mais ce n'est pas grave. Ce qui importe le plus est de leur donner leur véritable dimension.

Le péché originel est une erreur chrétienne qui a la vie dure. Cette invention due à saint Augustin (IVe siècle) continue d'empoisonner la compréhension de ce que représente un couple et d'empêcher une véritable et nouvelle perception spirituelle de s'épanouir. Sans la découverte de la Connaissance quelle qualité de vie l'Homme et la Femme pouvaient-ils espérer? Rien ne les aurait distingués du règne animal. Encore que l'on puisse également s'interroger sur l'existence d'une certaine forme de connaissance de ce monde-là.

La quête spirituelle ou chevaleresque de l'Homme passe toujours par la rencontre de La Femme. Il faut bien entendu aller au-delà de l'attirance purement physique. La copulation n'a pas tellement de caractère initiatique. Aussi faut-il préciser que l'initiatrice n'est pas la Femme chargée d'enseigner de subtils plaisirs érotiques. Laissons cela à la tradition tantrique que l'on ne saurait valablement aborder sans une longue pratique de l'hindouisme. Notons toutefois que la pratique du tantrisme est respectable dans la mesure où elle repose sur un désir sincère d'apprendre la gestion des énergies subtiles du corps humain.

L'initiatrice évoque le retour au sein du cocon primordial, ou le rapprochement de la source. Dans ce sens, elle a un effet de purification, de tri (des éléments) et de transformation de l'autre nature non apparente. Autrement dit elle représente avec l'Homme primordial, dans l'athanor-mandorle, le principe de réunification des contraires et leurs métamorphoses que les noces révèlent avec force conduisant à mieux percevoir l'importance du mystère primordial.

Selon une vision généralement admise par les diverses expressions traditionnelles, la vie aurait l'eau primordiale pour origine. Le fait est même implicitement admis par les scientifiques. Cette eau, sorte de matrice, est de nature féminine. Ce concept pourrait éventuellement justifier une tradition reposant sur la primauté de la Déesse Mère. Toutefois, il faut bien que, pour être mère, cet élément ait rencontré un principe fécondant. Le masculin apparaît alors comme un élément complémentaire et la vie ne peut surgir que de la complémentarité féminin-masculin. Toute notion de fausse hiérarchie se trouve dès lors évacuée.

En fait, la création ne pourrait être sans l'accomplissement d'une pluralité de noces. Pluralité en laquelle l'alternance des principes masculin et féminin met tour à tour l'accent sur l'un d'eux sans qu'il y ait pour autant rupture de leur unité principielle. L'éclosion d'une volonté de domination de l'une ou l'autre partie a tout gâté. Persister dans cette voie est donc une perversion humaine qu'il faut absolument éliminer. Et cela pourra se faire que dans la redécouverte de la puissance magique d'une véritable vie spirituelle.

L'Amour, cette incomparable énergie d'ordre principiel, apparaît comme le seul moyen d'unir véritablement ces deux parties fondamentales. Le jeu, sans doute le plus subtil de tous les jeux, comporte une règle. Une règle simple qui consiste à respecter l'autre, une règle qui conduit à s'abandonner un peu soi même au profit de cet autre qui procède de même.

Si je pouvais changer le monde
Je ferais en sorte que l’Amour et sa magie
Résiste à l’épreuve du temps
Que l’Homme et la Femme soient capables d’admettre un jour
Qu’ils ont besoin l’un de l’autre et se sentent plus fort
Grâce à leur présence mutuelle
Et ainsi, qu’ils réussissent à faire un monde
Qui correspond à leurs désirs et à leurs engagements
Pour aller plus loin encore sur le chemin de …L’enchantement.

Un frère de Martinique qui erre sans Orient. Il n’a toujours pas compris pourquoi les indépendantistes Martiniquais sont toujours au Grand Orient de France !!! Hein !!!ah !!!
A quand un Grand-Orient de Martinique.


2.Posté par LE CHEVALIER NOIR le 05/09/2009 19:44
Cé QUOI TOUT CE TEXTE ???
LES FRANCS MACONS DEVRAIENT SE MONTRER PLUS ET NE PAS SE CACHER EN VESTE NOIRE A LA TOMBEE DE LA NUIT. JE LES VOIS PASSER VETU NOIR ALORS QUE LES CIMETIERES FERMENT A 18H ...
CES MERLOTS NE VONT DONC PAS A L'ENTERREMENT.
FONT-ILS DES MESSES NOIRES AVEC LE SANG DES ENFANTS?LES MESNTRUES DE LEURS FEMMES? OU DES JEUNES BREBIS !!!
POURQUOI L'ODEUR DE L'ENCENS DANS LA RUE A TARTENSON?
AU CENACLE ILS S'EMBRASSAIENT 3 FOIS MALGRE LA GRIPPE PORCINE !!!!!!!!!!!!!
LES FEMMES AUSSI SURTOUT DES VIEILLES PEAUX DE VACHES COMME MON ANCIENNE INSTITUTRICE Mme B....N.
ALORS QUE FAITES-VOUS DANS CES TEMPLES AUSSI LONGTEMPS ET DITES NOUS OU SONT LES MORTS CACHES DANS LE SOUS SOL DE TARTENSON, AU MORNE-PAVILLON,A ROCHE- CARREE ,
A DUCOS,AU ST ESPRIT,AU CAP-EST OU LES BEKES ONT UNE LOGE QU'AVEC DES BLANCS.
SI VOUS NE DITES PAS QUI VOUS ETES NOUS FERONS UNE MANIFESTATION A TARTENSON UN SOIR DE PLEINE LUNE AVEC DES CRUCIFIX POUR VOUS SAUVER ET SAUVER LA MARTINIQUE.
ATTENTION AVERTISSEMENT DU CHEVALIER NOIR.

3.Posté par LA PAROLE CIRCULE le 08/09/2009 19:05
A LIRE ET FAIRE LIRE ...pour l'info des non initiés qui doivent eux aussi savoir

Bien que l’initiation, au printemps dernier, de quelques femmes par des frères du Grand Orient de France soit une question d’actualité, elle ne peut être comprise sans l’éclairage de l’Histoire dont je vous rappelle brièvement quelques faits importants.

L’Histoire

1717 : création de la Franc-maçonnerie spéculative, à Londres, par des protestants anglais et français, sur la base des Constitution dites d’Anderson (en fait, une douzaine de personnes) rédigées à partir de documents relatifs aux anciens métiers de la pierre et du bâtiment. D’où, principalement : le symbolisme et les rituels, le secret, l’obligation de croire en Dieu et l’exclusion des femmes.

Apparition de la Franc-maçonnerie en France vers 1727. …. sauf qu’en France, les Constitutions dites d’Anderson sont connues très tardivement et que le caractère national ne peut admettre d'exclure les femmes qui sont partout depuis longtemps, à la chasse et dans les salons, aux conférences du Collège de France et dans les lieux publics, à Versailles où elles occupent des fonctions et dans les cabinets de lecture, aux travaux des champs, dans les boutiques et les ateliers, et que la mode, pour l’heure, est plutôt au déisme. Des loges sont d’abord créées, puis des Grandes Loges. Une organisation en obédience (groupe de loges) se met en place, avec beaucoup de difficultés et de soubresauts, mais nous assistons à un développement fulgurant grâce, notamment, à la haute aristocratie contre laquelle le pouvoir royal ne peut agir. Les groupes et les obédiences en formation s’ouvrent à la grande et moyenne (voire petite) bourgeoisie, font leur choix parmi les différents rites existants ou en créent de nouveaux. De plus, les francs-maçons accueillent et initient les femmes dans des ateliers appelés « loges d’adoption ». Les rituels et le mode de fonctionnement de ces loges diffèrent de ceux des loges masculines, mais les Sœurs et les Frères réunis vivent ensemble et en commun, d’un bout à l’autre, les travaux et les rituels de leur atelier. L’étude des documents (comptes-rendus et rituels) révèle que ces loges, dans la pratique, travaillent chacune à sa manière, selon des modalités que nous pouvons qualifier de mixité ou de semi-mixité, avec le grand sens de la liberté, toute la délicatesse et la galanterie qui caractérise la Haute société éclairée de cette époque-là. Pour les détails, je renvoie à mon ouvrage L’initiation des femmes ou le souci permanent des francs-maçons français, éditions du Rocher. Ceci jusqu’à la Révolution. Les loges se disloquent ou disparaissent lorsque la noblesse émigre et lorsque la fureur sanguinaire venue des bas-fonds pousse la moitié des Français à dénoncer l’autre pour l’envoyer goûter l’invention du frère Guillotin. Pendant des mois, même les têtes bourgeoises ou du petit peuple tombent dans le ruisseau.

La Franc-maçonnerie se reconstitue d’elle-même après Thermidor, encouragée ensuite par Napoléon Bonaparte, Premier Consul puis Empereur. Il entend la contrôler et voir les émigrés ralliés emprunter de nouveau le chemin des loges dans une France ordonnée et policée qui retrouve enfin l’éclat de la noblesse et de la civilisation. Les loges d’adoption sont placées sous la Grande maîtrise de l’Impératrice Joséphine.

Au cours du XIXe siècle, malgré les changements de régime politique, les obédiences continuent leur route et la présence des femmes, sous des formules diverses (loges d’adoption, tenue d'adoption, avec initiation, sans initiation, invitation permanente, invitation exceptionnelle etc. bref, ce qui est appelé la Maçonnerie des Dames) se perpétue et se développe considérablement. Cependant, lorsque les revendications féministes se font entendre de plus en plus fort, cette Maçonnerie des Dames que l’esprit bourgeois du XIXe siècle a très largement vidée de tout contenu et de toute liberté, pour enfermer les femmes dans l’image sanctifiée de LA Femme Epouse et Mère gardienne du foyer et en faire, de plus, une arme et un enjeu politiques dans sa lutte pour la sécularisation de l'Etat et de la société, cette Maçonnerie des Dames, ne peut satisfaire. C’est ainsi qu’ont lieu, le 14 janvier 1882, l’initiation de Maria Deraismes par une loge de la Grande Loge Symbolique Ecossaise (GLSE), sortie de son obédience pour l’occasion, les dirigeants ayant refusé l’initiation projetée, et la création, en 1893, de la loge mixte le Droit Humain par Georges Martin, frère de la GLSE, et par Maria Deraismes. Toutes les précisions figurent dans mon livre La Grande Loge Symbolique Ecossaise ou l’avant-garde maçonnique, éditions du Rocher. Cette création est totalement indépendante des autres obédiences existantes, Grand Orient de France, Suprême Conseil, Memphis-Misraïm, et n’a aucune relation avec elles. Seul existe le lien avec la GLSE grâce à l’appartenance de Georges Martin et à l'initiation de Maria Deraismes par l’un de ses ateliers.

La fondation en 1894 de la Grande Loge de France par, environ, le 1/3 des loges de la GLSE et par les ateliers scissionnistes du Suprême Conseil entraîne le maintien de quelques loges de la Grande Loge Symbolique Ecossaise qui ne veulent pas renoncer à leur indépendance. Cette GLSE n°2 deviendra mixte en 1901, initiera Louise Michel, Madeleine Pelletier, Nelly Roussel et bien d’autres et lorsque cette minuscule, mais très avant-gardiste, obédience se séparera et ralliera la Grande Loge de France, elle exigera que, pour les Sœurs de la GLSEn°2, la Grande Loge de France recrée des loges d’adoption. Et la GLDF le fera. Ce sont ces loges d’adoption de la Grande Loge de France, issues d’une obédience mixte, qui sont à l’origine de l’actuelle Grande Loge Féminine de France. Par ailleurs, il est très important de souligner que, hormis les loges d'adoption du XVIIIe siècle, toutes les obédiences mixtes qui se sont créées, Droit Humain et GLSE n°2, ainsi que les loges d’adoption de la Grande Loge de France ont toujours travaillé au Rite Ecossais Ancien Accepté (REAA) utilité par les Frères et sans en modifier quoi que ce soit. Ces loges et ces obédiences ont ainsi démontré qu’hommes et femmes peuvent pratiquer, avec bonheur, les mêmes rites. Si j’ai donné à mon ouvrage L’Initiation des femmes le sous-titre de ou le souci permanent des francs-maçons français, c’est qu’il s’agit d’une spécificité due à nos traditions nationales ; que, tout au long du XIXe siècle, les formules selon lesquelles les femmes doivent être présentes dans les ateliers - acceptées, invitées, initiées, admises, tolérées etc. - est un débat constant dans toutes les obédiences ; que la création d’obédiences mixtes (Le Droit Humain, la GLSEn°2) puis le réveil des loges d’adoption par la Grande Loge de France, que le Convent de 1906 reconnaît comme réglementaires, ne met pas fin aux débats, bien au contraire. Les vœux et les conférences en faveur de la mixité se poursuivent. Lorsque les loges d’adoption de la Grande Loge de France acquièrent leur indépendance, chacun se détermine : obédience féminine pour la GLFF en autorisant la visite des Frères, obédience masculine pour la GLDF sans autoriser la visite des Sœurs. La Grande Loge Nationale Française, la Grande Loge Nationale Opéra etc… exclusivement masculines refusent également les visites féminines. Depuis, se sont créées la Grande Loge Mixte Universelle (GLMU), une scission du Droit Humain, et la Grande Loge Mixte de France, une scission de la GLMU. La vie maçonnique est faite de remous. Néanmoins, la question de la mixité et de l’initiation des femmes continue de se discuter au Grand Orient de France.

Ainsi les Convents voient-ils régulièrement revenir des vœux en ce sens parfois 2, 3, 4 années de suite. Ad nauseam pour certains qui, à un moment donné, demandèrent un vote pour éliminer purement et simplement la question des femmes. Pour mémoire, au cours de ces années dernières, citons le coup de force de 1999. Vingt-cinq ateliers déposent une motion collective relative à la liberté, pour les ateliers, d’initier ou d’affilier des femmes. Par vote, tout à fait régulier, la motion est renvoyée à l’étude des loges. Aussitôt, le Grand Maître déclare la nullité du vote et annonce que, dès le lendemain, un autre vote aura lieu. Plainte etc. etc. A la fin des années 1990, fort de deux cents ateliers, le Collectif pour la Liberté d’initier les femmes (CLIF), fait un important travail d’information et de réflexion. Il réoriente son discours. Pour soutenir le principe de la mixité dans les loges du Grand Orient de France, il met en avant, non plus la notion d’égalité des sexes, mais celui de la liberté des loges d’initier ou de ne pas initier des femmes, sur le modèle de la liberté de conscience. Le CLIF en revient à la formule de 1848, reprise par la GLSE et la GLSE n°2, « le maçon libre dans la loge libre », formule beaucoup plus subtile et respectueuse de la liberté dont, précisément, les Frères se disent les défenseurs. Des vœux en faveur de la mixité reviennent en 2000, 2002, 2007, 2008. La tentative de forcer le barrage en initiant une femme n’est pas nouvelle au GODF. Les essais précédents se sont toujours soldés par un échec. Qu’adviendra-t-il du dernier ?




4.Posté par LA PAROLE CIRCULE le 08/09/2009 19:12
Lisez et si vous êtes assez nombreux vous serez informés.
A 300 fois la suite soyez patient.
La parole circule pas trops pressé...

5.Posté par guillaume Suréna le 21/09/2009 09:00

Quand les francs maçons fondal natal prendrons leur indépendance ou leur autonomie vis à vis de la maçonnerie coloniale et néocoloniale française?

6.Posté par Camille Chauvet le 21/09/2009 14:27
Guillot, n'enfonce pas les portes ouvertes. Les choses seront plus claires pour toi quand tu feras la démarche faites par le frére Victor Choelcher que tu vénéres tant. Sors tes ténèbres et demande à revecoir la Lumère.
La Maçonnerie est universelle. Je te demande de lire attentivement cette REFLEXION.

C'est un initié qui DIT...

Introduction
Le thème de la lumière dans le cadre de nos travaux, trouve tout son sens dans le fondement de base de la F.M. qui vise à la connaissance.
Nous la considérons universelle puis qu'elle éclaire le monde entier, elle s'en racine dans nos différentes cultures. Nous dirons qu'elle est multidimensionnelle selon l'angle d'observation choisi.
La lumière synonyme d'évolution, de clarté, de transparence, de guide ou d'intelligence, est à chaque fois, un facteur positif en opposition des ténèbres ce qui représentent l'ignorance et l'obscurantisme.

La construction

A travers cette planche, ma démarche se veut le reflet de la lumière puisqu'elle est l'aboutissement qui passe par le dépassement de soi en qualité d'apprenti, vers une ouverture au monde qui a été mon étape de compagnon, et maintenant de l'harmonie avec l'univers qui traduit mon nouveau costume de maître. Je sais également que la maîtrise n'est qu'une étape qui m'emmènera vers d'autres étapes, en un mot j'ai gravi quelques marches qui mènent vers la lumière c'est-à-dire la connaissance, mais je continue à tailler ma pierre pour conforter ma place dans la construction de l'édifice

La lumière

Nous pouvons, observer trois types de lumière. Je ne voudrais pas parler uniquement des trois grandes lumière que l'on découvre Tors que le bandeau tombe, et qui nous rappelle sans cesse que comme la lumière du soleil vivifie la nature ou, celle de la lune qui illumine la nuit et guide les pas des voyageurs égarés, celle de l'Orient qui répand sa clarté sur les travaux de la loge et qui cultive l'idéal de la maçonnerie.

J'ai choisi d'évoquer les lumières en trois catégories :

La lumière naturelle
La lumière intérieure
La lumière de la connaissance
La lumière naturelle

Chaque être humain découvre la lumière naturelle : après avoir séjourné quelques mois dans les entrailles de sa mère, le jour de la délivrance a sa naissance. Cette lumière naturelle du jour, qui éclaire nos pas tout au long de notre existence n'éclaire pas forcement notre vie, il nous faudra découvrir une autre forme de lumière, celle de la connaissance qui s'acquiert par l'instruction, l'éducation et l'observation, ou l'apprentissage.

Quand on parle de lumière naturelle, on distingue les sources primaires et les sources secondaires. Les sources primaires produisent de la lumière par elles- mêmes, par transformation d'une énergie chimique (bougie), électrique (lampe, enseigne).

Par contre les sources secondaires ou objets diffusants sont des objets dont la surface éclairée, renvoie, dans toutes les directions, une partie de la lumière reçue. Prenons l'exemple d'un canard glissant sur l'eau, il diffuse de la lumière dans toutes les direction. Une partie de cette lumière se réfléchit sur la surface de l'eau qui se comporte comme une surface de miroir.

D'ailleurs, si nous nous trouvons sous l'eau comme un poisson nous devrions également voir le canard. Cela signifie qu'une partie de la lumière diffusée par le canard pénètre dans l'eau qui est un milieu transparent comme l'air. Il s'agit du phénomène de réfraction.

Dans ce cas la lumière est passée d'un milieu transparent( l'air) à un autre milieu transparent ( eau).

En tout état de cause, vous comprendrez aisément que je ne puisse pas m'étendre longtemps sur l'aspect scientifique de la lumière car celle-ci a été suffisamment étudiée par les scientifiques.

La lumière intérieure

La lumière intérieur est cette flamme qui entretient le feu sacré existant en chacun d'entre nous. Je la dénomme « la raison » ou plutôt « le bon sens ».

En effet, quelles que soient nos origines, religions ou, catégories sociales, nous avons dans tous les continents des personnes qui ont du « bon sens » et qui expriment leur créativité. « Connais-toi, toi-même » est le début de la sagesse disait le philosophe. Mais, pour parler de la lumière, il est tout à fait indiqué de faire un autre clin d'œil aux ténèbres.
D'ailleurs chacun se souviendra de son passage dans le cabinet de réflexion. Cet endroit inhabituel, silencieux, sombre ou le temps parait à l'infini et qui nous emmène à réfléchir.

La rétrospective qui éclaire la conscience et nous permet de guider nos choix est éclairée par cette lumière intérieure. Combien d'illustres personnalités confrontées à prendre d'importantes décisions dans leur existence, choisissent de s'isoler pour faire appel a cette lumière intérieur avant de rendre public leur choix ?
Il y a également l'ésotérisme. Il existe des mages capables de puiser dans leur lumière intérieure et vous prédire la lumière de votre vie.

Lorsqu'on est détenteur de cette lumière intérieure elle se reflète dans son comportement extérieur non seulement par une présence et une aura incontestable, mais également par des actions positives qui protègent l'être humain et son environnement, mais également démontre le caractère profond de chacun.

A l'inverse, nous avons des personnes foncièrement négatives, méchantes parce qu'en elle subsistent les ténèbres et ceci malgré leur degré d'instruction, d'important moyens financiers. Ils sont incapables d'aimer ou d'aider leur prochain !

Une seule chose compte pour eux, leur égo. Or si nous voulons construire un monde meilleur, il faudrait peut-être trouver en nous cette lumière intérieure qui éviterait des guerres, la famine, l'exploitation de l'homme par l'homme et tous les maux connus qui font légion sur notre planète.

La lumière de la connaissance

La recherche de la lumière de la connaissance se veut universelle quelle que soit les Peuple. En effet, la racine de n'importe quel savoir se trouve dans une seule question : Qui suis-je et quel est le sens de tout ce qui m'arrive?

Donc la lumière et la connaissance sont concomitantes. La lumière est vérité puisqu'elle relève de la réalité supérieure à laquelle ici bas chacun aspire. Le premier de nos sens est la vue, la lumière au- delà de la connaissance à laquelle elle est jumelée reste fondamentalement le socle de la vie végétale, animale et minérale, c'est le facteur premier qui engendre la croissance. Quel arbre pousserait sans l'apport de la lumière ?

Au 18e siècle le mot lumière désigne métaphoriquement le mouvement en Europe des intellectuels et des philosophes. Ce mot évoque le passage de la nuit au jour, de l'obscurantisme à la connaissance rationnelle, cette époque a secoué les jougs qui pesaient jusque là sur les peuples. Les lumières se réfèrent à des manières de penser et de se comporter qui influencèrent beaucoup d'aspects de la vie.

C'était un modèle complexe dans lequel les « faits » historiques, les créations artistiques, les découvertes scientifiques et les spéculations philosophiques réagissaient les unes et les autres et affectaient ensuite les attitudes des hommes quant à l'histoire, aux arts, à la science, à la philosophie et de la religion.

Le siècle des lumières était une époque ou l'on pensait que la culture de l'homme instruit comprenait la totalité de la connaissance humaine. D'ailleurs un écrivain comme Voltaire acquit une réputation européenne tout a la fois comme dramaturge, poète, historien et philosophe en un temps ou l'on ne pouvait distinguer la philosophie de la théologie.

Les questions

Notons que, les hommes que nous sommes tout au long de notre existence, sont confrontés par d'innombrables questions individuelles souvent difficiles à résoudre.

Et nos sociétés qui malheureusement sont plus souvent victimes du mercantilisme, de l'esprit de domination, de l'ignorance, de la jalousie, sont complètement asphyxiées. Heureusement vient le moment ou l'on touche la lumière tant attendue, le bon sens, qui éclaire notre réflexion illumine notre vision en dissipant petit a petit nos questionnements.

Pauvre planète

Par ailleurs, si la lumière reste apparentée à révolution c'est-à-dire au progrès, une question me vient à l'esprit : pourquoi les pays civilisés qui ont atteint un degrés de lumière appréciable s'acharnent-ils vers la course aux armements ?

Comment après avoir doté l'humanité de si belles et grandes inventions, lesdits pays cultivent parallèlement la destruction de la planète affichant un manque de respect de notre environnement ?

La pollution, les armes chimiques et le nucléaire ne sont- ils pas néfastes pour la survie de l'espèce humaine ? Avec les changements climatiques constatés des niveaux de pollution sans précédent provoquent le réchauffement de la planète.

Les gaz dit à « effet de serre », provenant de la combustion des combustibles fossiles ( pétrole, charbon, gaz). Aujourd'hui les premiers signes du réchauffement de la planète sont visibles : inondations, désertifications, dissémination des maladies, disparition d'espèces animales.

Les Indiens d'Amazonie, les pygmées d'Afrique sont ils réellement dans les ténèbres parce que non instruit, parce que non rationnels ?

Et pourtant, ils sont en proie à des multiples, violations de leurs droits les plus élémentaires. Plongés dans une indigence extrême, ils se voient aujourd'hui chassés de la foret, dans leur environnement pourtant naturel et originel, par des sociétés forestières, premières responsables d'une dramatique déforestation.

Conclusion

« Ce que la lumière est aux yeux, la vérité l'est à l'esprit ».

En effet, l'ignorance et les préjugés sont opposés à la vérité comme la nuit au jour. Cette différence de lumière, de moyens de richesses- observées j'usqu'à présent chez tous les peuples civilisés entre les différentes classes qui composent chacun d'eux.

Cette inégalité, que les progrès de la société ont augmentée et pour ainsi dire crée, tient-elle à la civilisation même, ou aux imperfections actuelles de l'art de vivre en société?

J'ai dit.



Guillot, c'est peut-être long,mais franchement ce que font ces merles , ou ces metteurs de régimes de bananes à la place du mort ou ces hommes ... et ces femmes qui embrassent le derrière de Lucifer est vraiment "beau" et "vrai". ILS SONT DEJA DANS LA FRATERNITE UNIVERSELLE DONC LOIN...LOIN...

Fraternellement Guiot.
Vive Romain et Vive Schoelcher
KMILLE





7.Posté par surena guillaume le 21/09/2009 17:01

Parole ,parole, comme disent les italiens.

Leur fraternité est très bizarre en Afrique.

Je ne la trouve pas meilleure que celle que je pratique dans la tradition de mon maitre senneur de père.

D'ailleurs je te trouve plus proche de cette tradition des gens du bord de mer que celle des diners pour occuper des gens qui n'ont rien d'autre à faire.
.
Le frère Schoelcher: je suis pratiquement obligé de le défendre puisque vous les frères vous laissez les voyous le salir. Je ne suis pas sectaire:ce qu'il a fait,en étant franc mac était courageux , je le donne en exemple,je regrette que nous n'ayons pas eu des révolutionnaires de ce niveau. je sais que nous sommes d'accord sur cela. Ce que vous les francs maçons des Antilles n'ont pas compris c'est que l'on peut agir pour le bien du pays sans convertir l'autre,sans porter atteinte aux intérêts de l'autre.Cela s'appelle l'Emulation.

Salut Camille , camarade de combats passés et à venir!

Guillaume Suréna

8.Posté par surena guillaume le 21/09/2009 17:02
Parole ,parole, comme disent les italiens.

Leur fraternité est très bizarre en Afrique.

Je ne la trouve pas meilleure que celle que je pratique dans la tradition de mon maitre senneur de père.

D'ailleurs je te trouve plus proche de cette tradition des gens du bord de mer que celle des diners pour occuper des gens qui n'ont rien d'autre à faire.
.
Le frère Schoelcher: je suis pratiquement obligé de le défendre puisque vous les frères vous laissez les voyous le salir. Je ne suis pas sectaire:ce qu'il a fait,en étant franc mac était courageux , je le donne en exemple,je regrette que nous n'ayons pas eu des révolutionnaires de ce niveau. je sais que nous sommes d'accord sur cela. Ce que vous les francs maçons des Antilles n'ont pas compris c'est que l'on peut agir pour le bien du pays sans convertir l'autre,sans porter atteinte aux intérêts de l'autre.Cela s'appelle l'Emulation.

Salut Camille , camarade de combats passés et à venir!

Guillaume Suréna

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