Donald Trump a été porté à la présidence par les cerbères du système impérialiste. Il est totalement sous leur contrôle. Ce sont les multinationales, les lobbies de l’armement et leur représentation politique qui tiennent les commandes. Avant son élection, Trump n’avait-il pas prétendu que les USA « ne seraient plus le gendarme du monde » ? Derrière la singularité du personnage, ce sont les préparatifs d’une « troisième guerre mondiale » qui suivent leur cours.
L’affrontement est inévitable
Aujourd’hui, les impérialistes occidentaux sont confrontés, d’une part, à la percée des puissances rivales et ce, à un moment où leur système est secoué par des crises financières de grande ampleur, d’autre part, à la constitution d’institutions et de blocs économiques concurrents dont le poids ne cesse de se confirmer au plan international. L’histoire a largement démontré que toutes les grandes guerres se déclenchent quand les contradictions entre bloc rivaux atteignent un seuil critique. C’est le cas actuellement. Les puissances occidentales, n’admettront jamais la fin de leur hégémonie et, à l’évidence, l’affrontement entre puissances rivales est inéluctable.
Ce qui, davantage encore, renforce la détermination des maîtres du système à déclencher la guerre, c’est la menace que font peser sur leur domination les luttes populaires dont les mouvements citoyens sont porteurs. Ils ont bien compris que les cadres politiques et institutionnels qu’ils avaient pu imposer à la société pour la dominer, ne sont plus opérationnels. Ainsi les impérialistes occidentaux mettent-ils en œuvre une stratégie cyniquement pensée et des opérations militaires soigneusement planifiées.
L’un de leur premier objectif a été de faire sauter le verrou du droit international qui s’était imposé après la seconde guerre mondiale*. C’est d’abord le «devoir d’ingérence » prétendument humanitaire qui a servi de prétexte à des interventions militaires illégales. (Notons, à cet égard, la complicité de la social-démocratie française qui, la première, est montée au créneau pour légitimer ce concept.)
C’est, ensuite, au prétexte de lutter contre le terrorisme que tous les principes de la législation internationale ont été et sont toujours transgressés.
Force est de constater, qu’en s’appuyant sur une offensive massive de manipulation de l’opinion - mêlant désinformation et instrumentalisation de l’émotion- les impérialistes occidentaux ont largement atteint ce premier objectif
L’affrontement est inévitable
Aujourd’hui, les impérialistes occidentaux sont confrontés, d’une part, à la percée des puissances rivales et ce, à un moment où leur système est secoué par des crises financières de grande ampleur, d’autre part, à la constitution d’institutions et de blocs économiques concurrents dont le poids ne cesse de se confirmer au plan international. L’histoire a largement démontré que toutes les grandes guerres se déclenchent quand les contradictions entre bloc rivaux atteignent un seuil critique. C’est le cas actuellement. Les puissances occidentales, n’admettront jamais la fin de leur hégémonie et, à l’évidence, l’affrontement entre puissances rivales est inéluctable.
Ce qui, davantage encore, renforce la détermination des maîtres du système à déclencher la guerre, c’est la menace que font peser sur leur domination les luttes populaires dont les mouvements citoyens sont porteurs. Ils ont bien compris que les cadres politiques et institutionnels qu’ils avaient pu imposer à la société pour la dominer, ne sont plus opérationnels. Ainsi les impérialistes occidentaux mettent-ils en œuvre une stratégie cyniquement pensée et des opérations militaires soigneusement planifiées.
L’un de leur premier objectif a été de faire sauter le verrou du droit international qui s’était imposé après la seconde guerre mondiale*. C’est d’abord le «devoir d’ingérence » prétendument humanitaire qui a servi de prétexte à des interventions militaires illégales. (Notons, à cet égard, la complicité de la social-démocratie française qui, la première, est montée au créneau pour légitimer ce concept.)
C’est, ensuite, au prétexte de lutter contre le terrorisme que tous les principes de la législation internationale ont été et sont toujours transgressés.
Force est de constater, qu’en s’appuyant sur une offensive massive de manipulation de l’opinion - mêlant désinformation et instrumentalisation de l’émotion- les impérialistes occidentaux ont largement atteint ce premier objectif