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Voici ce qui se dit de la Martinique de la Guadeloupe, de la Guyane et de la réunion ! Qui dit cela?


Rédigé le Vendredi 16 Mai 2014 à 13:12 |
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En dehors de la banane et du rhum, la production locale est majoritairement tournée vers la satisfaction des besoins intérieurs.


Voici ce qui se dit de la Martinique de la Guadeloupe, de la Guyane et de la réunion ! Qui dit cela?

La Martinique est une économie qui se caractérise par un marché étroit et des surcoûts d’approvisionnement et de transport se répercutant sur l’ensemble des acteurs économiques.

Le marché intérieur martiniquais connaît toutefois un phénomène de croissance du secteur des services et des savoir-faire uniques dans la zone Caraïbes (informatique, santé, prévention des risques….)

La crise a profondément affecté le modèle de croissance martiniquais, plus que celui de la Guadeloupe… Les risques de rechute de l’économie martiniquaise en 2013 sont élevés. Selon les chefs d’entreprise, l’activité continue de décliner dans la quasi-totalité des secteurs. En revanche, elle retrouve un peu de dynamisme dans le secteur du tourisme.

A fin avril 2013, le nombre de demandeurs d’emploi s’élève à 52 297avec une hausse du taux de chômage.
3 854 créations en 2012 dont 2149 hors auto-entrepreneurs, soit une progression de 0,7% principalement dans les services aux entrepriseset dans les secteurs commerces, transports, hébergements et restaurations. 877 créations d’artisanat, essentiellement dans la construction, la fabrication de produits industriels, et les services administratifs de soutien. 566 défaillances en 2012 soit 0,8% de la moyenne nationale.


VOILà CE QUI SE DIT DE LA GUADELOUPE

Activité économique et entreprises en Guadeloupe

En Guadeloupe, record de chômage, entreprises au bout du rouleau, absence de perspectives... la situation économique et sociale actuelle offre de nombreuses similitudes avec la période de fin 2008, juste avant l'explosion sociale de 2009. Fin juin 2013, le nombre de demandeurs d'emplois inscrits à Pôle emploi s'établissait à 66 000. Fin 2008, il était de 41 980 ce sont donc 18 920 chômeurs supplémentaires qui se sont inscrits en un peu plus de 4 ans. Soit une progression de 31% avec un taux de chômage de 22,9% sur une population active de 163 368 personnes.

44 397 entreprises en Guadeloupe dont 28 607 sans aucun salarié. En 2012, contrairement à la France métropolitaine,les créations d’entreprises chutent en Guadeloupe :5 000 entreprises ont été créées,soit 10 % de moins que l’année précédente.Les créations d’entreprises sont de 1 178 au 1er trimestre 2013, un nombre en baisse sur 2012 avec une dominante sur mes commerces et les services.

Le secteur de l’information et de la communication enregistre la plus forte diminution (- 22 %),suivi des activités immobilières( -20 %).Deux créateurs d’entreprises sur cinq sont des auto-entrepreneurs.Néanmoins, le nombre de créations d’auto-entreprise a diminué pour la première fois depuis la création de ce statut.Neuf entreprises sur dix ont démarré leur activité sans salarié.

QUE DIT -ON DE LA REUNION

Activité économique et entreprises en Réunion

Les chiffres de l‘emploi sont catastrophiques à La Réunion +9,3% sur un an soit 150 510 demandeurs d'emploi, soit plus de 30% de chômage, dont 60% chez les jeunes. Mais le plus inquiétant est encore la baisse de l'offre (-4,4%).

Au 1er trimestre 2013, 1 734 entreprises ont été créées à la Réunion.Après deux trimestres de hausse, les créations d’entreprises diminuent début 2013 dans l’Ile. Cette baisse résultant d’un recul du statut d’auto-entrepreneur. La création d’entreprises hors auto-entreprises progresse de 2,3 %.Seul 41,5% des entreprises créées sont encore en activité 5 ans après. Le secteur de la construction est le plus touché tandis que les secteurs des transports et des TIC résistent. La Réunion est la région où le taux de survie des entreprises est le plus faible, derrière le Poitou-Charentes et le Nord Pas de Calais.

Un taux plus bas que la moyenne nationale (51,5%).

Les entreprises des transports et de l’entreposage sont celles qui s'en sortent le mieux. Suivent les entreprises du secteur de l'information et de la communication, dont le taux de survie est de 61%.A contrario, le secteur de la construction, le plus dynamique avant la crise de 2008, s'avère le plus durement touché, avec un taux de survie de 38%. Le secteur de l'hébergement et de la restauration ou encore du commerce ont également un taux de survie faible (- de 40%).

ET DE LA GUYANE

La conjoncture économique reste peu dynamique en Guyane.

Le chômage continue d'atteindre des sommets dans le département avec plus de 20%. Consommation des ménages en berne, investissements ralentis... mais une inflation contenue.Avec 10 tirs en 2012, c'est encore et toujours l'activité spatiale qui se porte le mieux.

Les exportations d'or sont en hausse, et les professionnels du tourisme, malgré des chiffres en légère baisse s'estiment satisfaits de leur fin d'année. Comparativement à 2012, l'activité de l’hôtellerie a progressé, comme en atteste le taux d'occupation des hôtels qui augmente de 11 points et le nombre de nuitées qui atteint 33 000 nuitées soit + 18 %.

Alors que la Métropole connaît un vingt-unième mois de hausse du chômage, la Guyane fait figure d’élève modèle.Fin janvier, 21 044 personnes étaient inscrites à Pole Emploi, soit une baisse de 1,3% sur décembre (1,2%)

2 260 créations d’entreprise en Guyane en 2012, dont 1 260 hors entrepreneurs, essentiellement dans les secteurs des services aux entreprises, et des commerces, transports, hébergements, et restaurations. 4 266 entreprises artisanales au 1er janvier 2012 avec 793 créations dont 54,4% en auto-entrepreneur.

QUI DIT CELA?




SOCIETE


1.Posté par Roger Tranquille le 20/05/2014 12:21
La balle est dans le camps des gouvernants français et de ceux des collectivités locales qui semblent avoir troquer leur matière grise contre les déclarations tonitruantes sans effet, tout en préservant leur place d'élu local ou national.
Le reste rien à cirer, en tout cas c'est ce sentiment qui ressort, la course aux mandats.
Pour me conforter, il n'y a qu'à voir certains élus locaux ou nationaux qui n'ont jamais eu de patron de leur existence, ne savent pas ce qu'est d'aller au boulot le matin, se contentant de percevoir des indemnités grâce aux vaches à lait que sont les contribuables, et de vivre très confortablement.
De mon point de vue, trop d'élus ne remplissent pas la fonction pour laquelle ils sont élus, et tout cela est déplorable

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