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L'homme n'a jamais fait un livre de ses pensées politiques, mais il émarge, attaché, conseiller député, il ne lui manque que le titre de Maire pour pouvoir dire moi je suis le maître du monde.
Photo Facebook andidan pep là epi pep la c'est cela l'andidantité
C'est la même chose au MIM. Les éminences du parti s'adonnent à une guerre sans merci. Un génocide sans merci, où tous les coups sont permis. On a atteint le sommet de la fièvre quand le parti a été mis son injonction de la justice coloniale. L’impensable !
Mais le plus grave c'est la nature des rapports entre les gens du MIM quand des militants ne savent plus faire et plus quoi faire. Marie-Jeanne leur avait vendu Nilor comme le relais, le force montante et voilà que ce dernier a véritablement échappé au contrôle de son maître à penser. Pire, il s'en va avec la Résurrection du MIM, c'est-à-dire la jeunesse. Et voilà que ce qui était l'espérance se transforme en drame. Car cette jeunesse n'a pas apprécié au détour d'un accord électoral d'avoir été reléguée au second rang. Plus grave cette jeunesse montante a considéré qu’elle a été sacrifiée sur l'hôtel de la CTM et a demandé des compensations. Elle n’en a pas bénéficié.
Or en politique, une phrase peut tuer. Un mot de trop peut anéantir, une attitude, un bonjour de moins peut déclencher la foudre. Et comme chacun a son équation, Nilor a la sienne. L'homme est séducteur, séduisant, et sait mettre les gens au service de sa cause, un gant de fer dans une main de velours qui ose lever le doigt pour dire qu'il a le droit de dire non. Et pour preuve, il séduit, il fait sa reine, les journaux en parlent et plus l'homme apparaît pour un croqueur de poules et plus les poules croquent entre ses mains. L'homme n'a jamais fait un livre de ses pensées politiques,personne ne peut juger ce qu'il croit, mais il émarge, attaché, conseiller, député, il ne lui manque que le titre de Maire pour pouvoir dire moi je suis le maître du monde.
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Mais le plus grave c'est la nature des rapports entre les gens du MIM quand des militants ne savent plus faire et plus quoi faire. Marie-Jeanne leur avait vendu Nilor comme le relais, le force montante et voilà que ce dernier a véritablement échappé au contrôle de son maître à penser. Pire, il s'en va avec la Résurrection du MIM, c'est-à-dire la jeunesse. Et voilà que ce qui était l'espérance se transforme en drame. Car cette jeunesse n'a pas apprécié au détour d'un accord électoral d'avoir été reléguée au second rang. Plus grave cette jeunesse montante a considéré qu’elle a été sacrifiée sur l'hôtel de la CTM et a demandé des compensations. Elle n’en a pas bénéficié.
Or en politique, une phrase peut tuer. Un mot de trop peut anéantir, une attitude, un bonjour de moins peut déclencher la foudre. Et comme chacun a son équation, Nilor a la sienne. L'homme est séducteur, séduisant, et sait mettre les gens au service de sa cause, un gant de fer dans une main de velours qui ose lever le doigt pour dire qu'il a le droit de dire non. Et pour preuve, il séduit, il fait sa reine, les journaux en parlent et plus l'homme apparaît pour un croqueur de poules et plus les poules croquent entre ses mains. L'homme n'a jamais fait un livre de ses pensées politiques,personne ne peut juger ce qu'il croit, mais il émarge, attaché, conseiller, député, il ne lui manque que le titre de Maire pour pouvoir dire moi je suis le maître du monde.
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